BYOD : Une école intègre les objets connectés dans sa charte d’utilisation des appareils mobiles. Une innovation qui pourrait faire des émules dans des établissements scolaires francophones : l’école Alex Manoogian, école arménienne de langue française à Montréal (Canada) vient d’intégrer à sa charte d’utilisation du réseau sans-fil et de l’utilisation d’appareils mobiles – en pdf (à destination des élèves et du personnel éducatif) la thématique des objets connectés : à savoir les montres intelligentes et lunettes connectées.
Extrait : « L’École souhaite favoriser l’utilisation des ordinateurs, des tablettes, des baladeurs numériques, des lunettes et des montres intelligentes (ci-après appelés appareils mobiles) appartenant aux élèves et enseignants tout en encadrant cette utilisation par une Charte visant à sensibiliser et à responsabiliser l’utilisateur. » Pratiques BYOD pour les élèves et les enseignants Certes, on connaissait jusqu’alors la tendance BYOD au sein de lieux partagés de type coworking ou centre de télétravail.
Education: faut-il autoriser le téléphone portable à l’école? Jean-Claude Domenjoz Selon la Haute école zurichoise en sciences appliquées, 97% des jeunes vivant en Suisse possèdent un smartphone.
Mais à l’école, les téléphones portables restent habituellement interdits, alors qu’ils présentent nombre de ressources et d’applications pour apprendre et communiquer. Dès lors, Jean-Claude Domenjoz ose LA question qui dérange. Selon l’étude JAMES 2014 (Jeunes activités médias – enquête Suisse) réalisée par la ZHAW (Haute école zurichoise en sciences appliquées), 87% des jeunes en Suisse utilisent leur smartphone pour surfer sur l’internet, 88% pour écouter de la musique, 68% pour prendre des photos ou filmer, 61% pour échanger des courriels, 53% pour jouer à des jeux. Près de 90% des jeunes ont un compte sur un réseau social, quel que soit leur âge. L’étude JAMES est réalisée depuis 2010 auprès de 1000 adolescent(e)s de 12 à 19 ans des trois régions linguistiques. Encadrer le téléphone cellulaire à l’école : des impacts positifs sur la productivité des élèves. Selon des chercheurs britanniques, le fait de limiter, d’encadrer, voire d’interdire les téléphones cellulaires à l’école, aurait des impacts positifs sur l’apprentissage des élèves.
Le débat sur l’utilisation des téléphones cellulaires à l’école ne date pas d’hier. Certains y sont favorables, en affirmant que ces appareils ouvrent des possibilités pédagogiques intéressantes. D’autres souhaitent à l’opposé qu’ils soient interdits dans les classes et même à l’école. Bannir les téléphones = 5 jours d'école de plus par année! Un récent article de discussion rédigé par le Centre for Economic Performance de la London School of Economics and Political Science dresse un portrait plutôt négatif des téléphones cellulaires à l’école. L'Agence nationale des Usages des TICE - Le BYOD : pour quel projet pédagogique ?
Par Karine Aillerie * BYOD (ou BYOT) est l’acronyme de l’expression anglophone « Bring your own device/technology ».
Plusieurs traductions francophones ont été proposées, telles que : AVAN (« Apportez votre appareil numérique »), PAP (« Prenez vos appareils personnels ») ou AVEC (« Apportez votre équipement personnel de communication »), retenue par la Commission générale de terminologie et de néologie française. Ce phénomène est apparu aux états-Unis au tournant des années 2000. Il est contemporain de la multiplication des équipements personnels et mobiles, de la diffusion des pratiques connectées dans les divers contextes sociaux (personnels, famille, école, travail…). Concrètement, il s’agit pour l’individu de recourir à ses équipements propres, en contexte professionnel ou scolaire, afin de poursuivre des objectifs professionnels ou scolaires (Alberta Education, 2012).
Un dossier incontournable sur l'AVAN (BYOD) Les technologies de l'information et de la communication font maintenant partie intégrante du quotidien des jeunes.
Le constat est indéniable et l'école l'a en partie compris. Une part importante du corps professoral y voit ainsi la possibilité d'intégrer les téléphones et tablettes que possèdent les apprenants comme des «ardoises» 2.0 avec leurs diverses applications. Ainsi, ils sont de plus en plus à choisir d'aller dans le « BYOD » (Bring your own device), connu également sous le nom « BYOT » (Bring your own technology), ou en français le AVAN (Apportez votre appareil numérique). La logique : puisque les familles sont de plus en plus nombreuses à posséder un appareil intelligent ou un ordinateur portable, il suffit de demander aux élèves d'apporter celui-ci afin de s'en servir en classe et économiser sur l'achat de technologies.
Toutefois, le processus se fait lentement parce qu'il n'est pas si simple de mettre en place le AVAN. Réfléchir sur la mise en oeuvre. N’oubliez pas d’apporter vos portables ! Il peut être intéressant alors de détourner le matériel que possèdent la plupart des élèves.
Cette pratique est désignée par le terme BYOD, « Bring Your Own Device », ou AVEC, « Apportez votre équipement personnel de communication ». La plupart des smartphones sont livrés avec divers capteurs et équipements utilisables à des fins pédagogiques : l’appareil photo pour conserver des traces d’une visite, exploiter les images ; le micro pour transformer le smartphone en sonomètre mais aussi en dictaphone pour prendre des notes ; le lecteur multimédia pour de la baladodiffusion ; le GPS pour déterminer des positions et calculer des distances et vitesses et, bien entendu, la connexion à internet. « C’est pas nouveau !
» Dans le cadre de ces activités, je demande préalablement aux élèves d’apporter leurs smartphones et les fais travailler par groupes de deux à quatre selon l’activité. La démarche d’utiliser du matériel élève dans le cadre éducatif n’est pas nouvelle. Quels sont les avantages ? Pourquoi utiliser les « BYOD » dans une classe. 8 Shares Share Tweet Email L’idée est intéressante, mais est-ce aussi facile qu’on le dit ?
Le BYOD représente-t-il une ouverture technologique de l’école ou plutôt une complexification pédagogique? Selon plusieurs études récentes, l’utilisation d’un outil précis dans une salle de classe présente déjà des difficultés de gestion au quotidien. Pourtant, certains établissements scolaires (Outre-Atlantique) ont fait le choix du BYOD. À titre d’exemple, le Peel District School Board, en Ontario, propose depuis 2013 aux élèves d’utiliser leur propre appareil. Afin d’intégrer au mieux le projet BYOD dans les écoles, le conseil scolaire a même mis en place des outils pour aider les parents et les élèves. Une vidéo explicative, un guide pour les parents, un code de conduite numérique et un ensemble de ressources pour les parents viennent ainsi aider l’intégration dans les classes. DOSSIER : Le BYOD : entre perspectives et réalités pédagogiques.
DOSSIER : Le BYOD : entre perspectives et réalités pédagogiques. Par Aurélien Fiévez et Gabriel Dumouchel Un dossier conjoint de L’École branchée et de Carrefour éducation.
Illustration par Mélanie Leroux. Le truc le plus simple que je connaisse pour partager un hyperlien à vos étudiants! Ça fait un bail que je n'ai rien blogué.
Je vais tenter de m'y remettre. Mon rôle à l'université va un peu changer prochainement et je compte faire de mon blogue l'un de mes outils de travail quotidien. Iyan 3D - Make your own Animation Movie on your iOS Device. Les différents modèles d’intégration du BYOD. (suite du dossier, par Aurélien Fiévez, en collaboration avec Gabriel Dumouchel) L’enseignant a le choix des outils et des plateformes qu’il veut (et peut) utiliser dans sa salle de classe.
En fonction de la liberté qu’il donne aux élèves, différents modèles d’intégration du BYOD se dessinent. Un guide du ministère de l’Éducation de l’Alberta initie cette réflexion en mettant en évidence les différentes configurations possibles d’une infrastructure BYOD. Dans le cadre de ce chapitre, nous avons ajusté ce modèle en fonction de nos constatations et de nos recherches afin de créer un modèle d’intégration du BYOD (figure 1).
How to integrate mobile learning/BYOD to your training? - EI Design. Let us consider this scenario. Brian, a sales manager in an IT company, travels a lot as part of his job. He meets his customers very frequently to sell his company products. He often has to rush to meet the customers directly from the airport. During meetings, customers often ask him about the specific features of the products. Brian is stuck in such situations as he doesnot have every detail with him. Your employees work remotely most of the time, for example sales executives You are clear that mLearning will add value toyour organisation and not just act as a replacement of the existing eLearning You can tackle the challenges of required responsiveness to the number of devices, platforms, and screen resolutions You want to enable your employees to access the tips and best practices anytime, anywhere and at their own pace Let us look at the concept of BYOD, which allows you to integrate mLearning in business trainings.