Les catégories de film. Toutes les références ciné dans Scream Queens. La première saison de Scream Queens vient de s’achever sur FOX.
Au-delà de la gaudriole, la série parodique est aussi un vivier de références aux grands classiques du cinéma d’horreur. Spoilers. Créée par le trio Brad Falchuk, Ryan Murphy et Ian Brennan, Scream Queens jongle habilement entre le slasher et la comédie horrifique. Décomplexée, voire carrément gonflée, cette première saison sera peut-être aussi la dernière. Le sort de la série est encore, à cette heure, incertain. Annulée ou renouvelée, Scream Queens aura eu le mérite d’exercer nos zygomatiques tout en rendant hommage à de nombreux films de genre (et une série !). #1 Halloween Les clins d’œil commencent dès le casting. Au moindre cri strident de l’une de ces belles effarouchées, c’est le sursaut assuré. Trente-sept ans plus tard, Jamie Lee Curtis s’approprie les mimiques de celui qui l’a traquée jadis. . #2 Heathers #3 Massacre à la tronçonneuse Difficile de passer à côté. . #4 Orange is the new black #5 The Shining #7 Hellraiser.
Blue-ruin-petits-meurtres-entre-ploucs. Blue Ruin est angoissant dès la première image.
Une dominante de bleu donne le ton : couleur froide, elle rappelle le titre du film, à sens multiples. On pense d'emblée à la voiture, vieux tacot bleu ciel (une ruine bleue, en somme.) Histoires de bagnoles Au début du film, cette Pontiac est quasi-personnalisée grâce aux prises de vue. Elle évoque la Plymouth aux pulsions meurtrières de Stephen King. Affiche de Christine, de John Carpenter Macon Blair est très convaincant en figure christique perdue, assassin amateur qui inspire la sympathie sans même que l'on connaisse son histoire. Macon Blair au volant de la Pontiac dans Blue Ruin Dennis Weaver dans Duel, de Steven Spielberg (téléfilm de 1971) Poursuivi par un camionneur forcené, le protagoniste de Duel angoisse sur la route pendant deux heures de suspense. Des meurtres en bleu et rouge Au premier meurtre de Dwight, le rouge vient se mêler au bleu et donne au film un côté Dario Argento qui ne manque pas de sel.
Bruce Willis et Samuel L. David Robert Mitchell pays tribute to John Carpenter with It Follows. At the heart of It Follows, a low-budget horror film by David Robert Mitchell, lies a tantalizing open-ended metaphor—a deadly curse passed from one person to another through sexual intercourse.
Once cursed, the victim is pursued by a creeping, shape-shifting demon that kills anyone it touches; the demon moves so slowly, however, that you can easily avoid it if you keep moving. Nonetheless, the cursed must remain vigilant because the demon can blend into any environment and almost always takes the form of an ordinary-looking person. Just as the demon never reveals its true appearance (if any), so too does Mitchell evade any clear theme. The movie takes place in some middle- and lower-middle-class Detroit suburbs whose populations are almost entirely white, and the main characters are all naive teenagers. Does the demon symbolize suburban fears of crime-ridden Detroit? That's not to say that Mitchell has trouble directing horror.
Entretien : Joe Dante, maître du film de genre. Les 7 règles de Guillermo del Toro pour faire un bon film d'horreur. Envie de faire des films d’horreur ?
Guillermo del Toro va vous guider en sept règles, ou idées, à avoir en tête avant d’allumer la caméra. On ne présente plus Guillermo del Toro. L’Échine du Diable, Hellboy, Le Labyrinthe de Pan, Pacific Rim, la série The Strain et, depuis hier dans les salles françaises, Crimson Peak, il en est le réalisateur. Côté production, il est aussi responsable de L’Orphelinat et du flippant Les yeux de Julia. Bref, côté horreur, le réalisateur mexicain sait se défendre. À l’occasion de son passage à Paris, on lui a demandé un truc tout simple : les règles pour faire un bon film d’horreur. "We should split up." Les Génériques de films d’horreurs.