Problem loading page. Dossier de presse pacte territoire sante 2 261115. Télémédecine : le ministère des Affaires sociales et de la Santé ouvre les expérimentations dans neuf territoires pilotes - Communiqués de presse - Ministère des Affaires sociales et de la Santé. Marisol touraine déserts médicaux 2012 - Bing video. Carte interactive de la fracture sanitaire - UFC-Que Choisir.
Protocole Analyse réalisée à partir des données publiques de l’Assurance maladie sur la localisation et les tarifs des médecins de 4 spécialités (généralistes, gynécologues, ophtalmologistes, pédiatres) relevées, en février et mai 2016, sur Le tarif retenu est celui le plus souvent facturé par le médecin pour une consultation simple.
En cas d’absence de tarif indiqué pour un praticien, le tarif retenu est le tarif départemental moyen des médecins de même secteur et de même spécialité. Parallèlement, la population de chaque commune a été retravaillée pour tenir compte de la demande de soins spécifique des différentes tranches d’âge, et ce pour chaque spécialité étudiée. Par ailleurs, nous avons tenu compte, pour chaque commune, des praticiens installés jusqu’à 30 minutes de route pour les généralistes, et jusqu’à 45 minutes pour les spécialistes. Ces éléments ont permis de définir une densité de médecins disponibles pour 100 000 habitants. Déserts médicaux - Conventionnement des médecins - UFC-Que Choisir. Après son adoption en Commission des affaires sociales, les députés s’apprêtent à examiner en séance un amendement au Projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS), instituant une condition au conventionnement de nouveaux médecins dans les zones déjà largement dotées.
Celui-ci ne serait possible qu’en cas de cessation d’activité d’un médecin précédemment installé. L’UFC – Que Choisir appelle les députés à ne pas céder aux pressions des lobbys médicaux et à confirmer en séance le vote de cette mesure indispensable pour enfin combler la fracture sanitaire. Une offre insuffisante de médecins de ville pour 20 millions de Français Dans une étude publiée en juin dernier, l’UFC – Que Choisir a analysé, commune par commune, l’offre médicale disponible pour les Français. Une situation qui s’est aggravée depuis 2012, puisque l’accessibilité des généralistes s’est dégradée pour plus du quart de la population.
Revaloriser la médecine générale: une condition incontournable pour traiter et prévenir les déserts médicaux - Frédéric Bizard. « La lutte contre les déserts médicaux sera l’une des priorités du quinquennat » a déclaré Marisol Touraine le 1er juin 2012 en ajoutant qu’elle privilégiait la concertation et le dialogue plutôt que la contrainte.
Quels sont les véritables enjeux de ces déserts médicaux ? Une répartition de l’offre de soins qui va se dégrader fortement dans les 5 prochaines années L’analyse de la situation réelle de l’accès aux soins sur tout le territoire démontre que celui-ci reste encore convenable grâce en grande partie au professionnalisme des médecins présents sur le terrain qui comblent les lacunes existantes en offre de santé. Cette situation risque de se dégrader rapidement et sensiblement dans les années à venir si des mesures pertinentes ne sont pas prises. D’abord, le nombre de médecins est historiquement élevé sur l’ensemble du territoire avec près de 214 000 médecins actifs, dont 104 000 médecins généralistes et 110 000 médecins spécialistes.
Frédéric Bizard. Les députés veulent restreindre la liberté d'installation des médecins. Les députés ont voté mercredi matin en commission un amendement qui stipule que dans les zones denses, un jeune médecin ne pourra s'installer en étant conventionné à l'assurance maladie que lorsqu'un médecin libéral de la même zone cessera son activité.
C'est un coup de couteau porté à la liberté d'installation des médecins! Les députés ont adopté mercredi en commission des affaires sociales une mesure dissuadant les médecins libéraux de s'installer dans une zone où exercent déjà de nombreux praticiens. Une mesure censée lutter contre les déserts médicaux... Le gouvernement a aussitôt dénoncé cet amendement proposé par sa propre majorité. L'entourage de la ministre des Affaires sociales, Marisol Touraine, a fait savoir que l'exécutif, qui n'était pas représenté lors de l'examen en commission du projet de budget de la Sécurité sociale au cours duquel a été adoptée cette mesure, y était «fermement opposé».
Mesures coercitives.