Le renseignement anglais ouvre les sources de sa base de données orientée graphe. Le GCHQ, la principale agence anglaise de renseignement, vient d’ouvrir le code de l’un de ses outils. Nommé Gaffer, il est disponible désormais sous licence Apache 2.0 dans un dépôt GitHub. Bien qu’il existe une évidente dimension de restauration d’une image largement écornée, ce choix pourrait témoigner d’une certaine volonté de transparence. Cependant, il faut distinguer l’outil lui-même des données qu’il peut contenir. Le GCHQ (Government Communications Headquarters), est l’équivalent anglais de la NSA américaine. La mise en relations en grandes quantités Il est donc probable que ce déficit flagrant d’image soit intervenu dans la décision de publier les sources de Gaffer, une base de données orientée graphe. Écrit en Java, Gaffer est une infrastructure conçue pour stocker de grandes quantités de données afin de gérer de larges graphes.
Un outil du GCHQ basé sur un autre de la NSA Faire d'une pierre deux coups Vincent Hermann. Artificial neurons enable robot to navigate like human. The human brain consists of a tapestry of neurons that simulate an internal model of the external world. With this mental picture, we are able to navigate through life’s terrain. Now, a robot has been given a similar cluster of virtual cells to help it move and respond to its environment. Researchers in Singapore simulated two types of cells, place and grid cells, which are used for navigation by the brain.
Rather than simulate the cells physically, the researchers created a two dimensional model of the neurons with software. The two dimensional neurons enabled a small, two wheeled robot to stroll through some open office space.(1) “Artificial grid cells could provide an adaptive and robust mapping and navigation system, said Haizhou Li, a professor at the Agency for Science, Technology and Research, who led the study study. The work is important because it illustrates how machines may be able to mirror more complex brain activity. Sources include: Mashable.com. Inside Facebook's Artificial Intelligence Lab. But that’s not to say that there hasn’t been progress made. Right now, LeCun is excited about work on a “memory” network that can be integrated into present convolutional neural networks, giving them the ability to retain information. He likens the new mode of memory retention to short term and long term memory in the brain, governed by the hippocampus and cerebral cortex respectively.
(LeCun actually detests CNNs being compared to brains, instead preferring a model of a black box with 500 million knobs.) The memory module allows researchers to tell the network a story, and then have it answer questions about the story later. For the story, they used J.R.R. Tolkein’s Lord of the Rings Well, not the entire book, but short summaries of major plot points.
(“Bilbo took the ring.”) The FAIR team is developing this context around a project called “Embed the World.” With this system, LeCun says that we can start to “replace reasoning with algebra.” In current tests, the AI shows promise. Un ordinateur fonctionnant comme un cerveau humain? Une startup affirme avoir trouvé le Graal. INFORMATIQUE - Vous avez certainement déjà entendu parler de l'ordinateur quantique. Un calculateur qui pourrait être 3000 fois plus puissant que nos appareils actuels et sur lequel la Nasa et Google travaillent de concert. Mais certains ne croient pas à ce futur. Parmi eux, Alex Nugent a une autre idée derrière la tête: fabriquer des ordinateurs imitant le fonctionnement du cerveau humain. Sa startup, Knowm, a ainsi annoncé début septembre une découverte qui pourrait révolutionner ce champ de recherche récent, également investi par HP et IBM depuis quelques années. Ces ordinateurs fonctionnant comme des cerveaux utilisent des "memristors".
Mais pour les memristors, à l'instar de nos réseaux de neurones, ceux-ci se souviennent des connexions établies précédemment entre eux, même si l'appareil est éteint. "Une porte ouverte à l'intelligence artificielle" Le memristor a été découvert théoriquement en 1971, mais n'a été créé qu'en 2008 par une équipe de chercheurs travaillant pour HP. Et maintenant, Google annonce l’immortalité pour la fin du siècle. Atlantico : Ray Kurzweil a théorisé la loi du retour accéléré. Elle fait écho à la loi de Moore du nom du co-fondateur d’Intel qui affirmait en 1965 que la puissance des ordinateurs allait croître de manière exponentielle. Que signifie la loi du retour accéléré ? Comment fonctionne-t-elle ? Laurent Alexandre : C’est une extension de la loi de Moore à toutes les technologies liées aux nanotechnologies, aux biotechnologies, à l’informatique et aux sciences cognitives (les NBIC). Elle consiste à dire que toutes les activités humaines vont croitre dans les décennies qui viennent de façon absolument explosive comme la puissance des ordinateurs a cru de manière explosive depuis 1965.
A son époque, Gordon Moore estimait que sa loi s’arrêterait en 1975. Or, en 2015 elle tient toujours. On observe déjà cette courbe exponentielle en génétique. Vincent Pinte Deregnaucourt : Les "Lois de" sont des objets empiriques mais au demeurant scientifiques, qui permettent de théoriser des concepts. Robert Redeker : les robots tueurs, l'utopie de Google et la déshumanisation de l'Homme. FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Dans une lettre ouverte, des scientifiques demandent l'interdiction des armes autonomes tandis que le géant Google poursuit sa quête d'immortalité.
Le philosophe Robert Redeker répond aux questions de FigaroVox. Professeur agrégé de philosophie, Robert Redeker est écrivain. Son dernier livre «Le progrès, point final?» Vient de paraître aux éditions Ovadia. PROPOS RECUEILLIS PAR ALEXANDRE DEVECCHIO @AlexDevecchio Dans une lettre ouverte, des scientifiques et intellectuels, dont Stephen Hawking et Noam Chomsky demandent l'interdiction des «armes autonomes offensives sans contrôle significatif d'un être humain.» Robert Redeker: Cette citation est remarquable parce qu'elle pointe une forme inédite de guerre, jamais envisagée: la guerre des objets contre l'homme.
Pour la première fois, nous allons devoir cohabiter sur la terre avec une espèce que nous avons créée. Nous nous retrouvons dans un monde à trois: les machines, les animaux et les hommes. Japanese robot Pepper is launching - Business Insider. Quand la Haute finance se lance à l’assaut de votre patrimoine génétique ! Le dieu-argent de la haute finance est un dieu gourmand voire vorace. Il n’a jamais de sensation de satiété. Ce 21ème siècle est son heure. Il s’est coup sur coup approprié sans grande difficulté le marché de l’emploi, a saboté le concept d’Etat-Nation, a privatisé les services publics, a démantelé les institutions publiques de plus en plus soumises aux besoins impératifs du marché mondial, a confisqué les capitaux de retraite et autres épargnes, a mis la main sur les ressources naturelles mondiales, a siphonné les monnaies nationales et les excédents des balances publiques, etc.
La privatisation de la planète et de ses ressources est ainsi une réalité difficilement contestable. Les exploits du dieu-argent sont innombrables. Le plus déterminant pour l’avenir de l’humanité serait la réussite du renversement déjà bien engagé de la suprématie des législations nationales en sa faveur.
L’enjeu : La privatisation de la VIE et de l’immortalité. Le transhumanisme 1. 2. 3. . « 6. . « 4. « 5. "Intelligence artificielle" militaire: pourquoi les scientifiques s'inquiètent. Empêcher "le jour du Jugement dernier". Voilà ce que plus de 1000 experts en robotique et en intelligence artificielle, mais aussi des intellectuels et philosophes, sont bien décidés à faire. Leur lettre ouverte mettant en garde contre les "armes autonomes" et "la course au développement d'une intelligence artificielle militaire" (la lettre complète ici) a rapidement fait le tour du monde, ou du moins d'Internet, et a engendré de nombreux débats.
A l'appel d'Elon Musk, entrepreneur cofondateur de SpaceX et de Tesla Motors, John Carmack, l'un des développeurs de jeux vidéo les plus connus au monde, répond: "Cela semble bien trop inéluctable. Argumenter contre serait futile". "Même si c'est inéluctable, nous devrions au moins tenter de retarder l'avènement de l'intelligence artificielle militaire. En guerre contre les "robots tueurs" La différence avec les drones actuels -pilotés par des hommes- ou les missiles téléguidés?
La réflexion n'est pas nouvelle. La preuve? Le futur que Google nous prépare. Eric Schmidt, le PDG de Google, ne se présente pas comme dirigeant d’entreprise. Il ne parle pas business, mais révolution et vision du monde. Son avant-dernier livre, The New Digital Age, se conclut ainsi : « Notre ambition est de créer le meilleur des mondes. » Et Google ne se contente pas de paraphraser Aldous Huxley. Il se donne aussi les moyens de sa puissance. Avec, tout d’abord, une assise économique phénoménale. Écarter l’État et ses règles comme la solidarité et la justice… Son influence est telle qu’elle en devient une force politique. Le projet politique de Google est centré sur la méritocratie, le culte absolu de l’excellence. « Une vision du monde, qui se retrouve dans leur manière d’organiser le travail », note Yann Le Pollotec, chargé de la révolution numérique au PCF.
. « L’une des bibles des libertariens américains, explique Dominique Cardon, est l’ouvrage d’Ayn Rand Atlas Shrugged. . « Il y a un messianisme scientiste chez Google, poursuit Dominique Cardon. Entretien avec Thierry Berthier. A propos des ruptures technologiques financées par la Darpa. Thierry Berthier est Maitre de Conférences en Mathématiques à l'Université de Limoges.. En dehors de tâches d'enseignement, il anime le site Cyberland: Cyberespace, cyberdéfense, cybersécurité. Stratégies, Concurrences, duels et projections algorithmiques. Il est membre du comité de pilotage de Europe-solidaire.euCyberland Jean-Paul Baquiast pour Automates Intelligents (AI) Cher Thierry Berthier, depuis plusieurs mois déjà vous publiez le cyberland.centerblog.net qui est devenu une source précieuse, en français, permettant de porter un oeil critique sur les développements les plus récents des systèmes dits notamment de cyberdéfense et de cyberattaque.
Ceux-ci sont devenus aujourd'hui, sans que nous en soyons vraiment conscients, des acteurs considérables du monde numérisé dans lequel nous vivions. Mais vous ne vous limitez pas à cela. Ces développements ne surviendront pas spontanément. AI. TB. AI. TB. AI. TB. AI. TB. AI. TB. AI. TB. AI. TB. AI. TB. AI. Japon, au pays des robots humanoïdes - Vivre avec les robots. Pepper first emotional humanoid robot to be sold in Japan for $1,600 — RT Business.
S. Korean bot wins DARPA’s robotic disaster simulation contest — RT USA. Conscience artificielle, rêve ou obsolescence humaine programmée ? - Faut il avoir peur de l'avenir? Si nous pouvons lire les émotions et les sentiments sur un visage et les interpréter d'après nos programmes de mimétismes culturels et éducatifs de conditionnements mentaux binaires ...
Eh bien une caméra munie de capteurs connectée à un algorithme puissant peut faire la même chose que l'humain standard et même beaucoup plus ... C'est-à-dire qu'une IA peut reconnaître les mimiques faciales, l'intonation de la voix, le langage, la gestuelle du corps et même la température corporelle, et interpréter tous ces paramètres de manière cognitive via ses algorithmes, pour parvenir à une interactivité tout à fait normale avec l'être humain ... Qui vous dit que sur FB ou ailleurs sur le net, vous n'avez jamais discuté avec un Bot* en croyant que c'était une personne? Allez savoir? Certains philosophes, religieux me diront ; "oui mais la machine n'aura jamais de conscience" Certains athées et humanistes invoqueront le test de Turing... Alors pourquoi pas une machine? Bien à vous. Automating walking is the first step to a dystopian nightmare.
If we're really going to outsource walking -- as a professor in Germany proved earlier this year is possible (with the help of some electrodes) -- we'll end up automating all physical activity, from chewing to smiling. This is a dystopian future that Evan Selinger, associate professor of philosophy at Rochester Institute of Technology, hopes we will never want. Back in ancient Greece, Plato told the story of a man who gazed so intently at the stars that he walked right into a well. Supposedly, Thales was "so eager to know the things in the sky that he could not see what was there before him at his very feet". Flash forward to today, and scientists have finally found a way for us to avoid the fate of an absent-minded professor. But before we get too excited about enhanced navigation, we should pause to consider why commercial applications might encourage us to embrace something awful: an alienated relation to our own embodiment.
A safe utopia, or automated dystopia.