Comment mettre en place des travaux de groupe ? Mettre en place des travaux de groupes dans la classe n’est pas chose facile, et la première expérience se révèle être souvent peu fructueuse et très bruyante.
Ne pas abandonner mais retenter l’expérience car c’est l’occasion d’apprentissages : autonomie, coopération... QUELS OBJECTIFS AUX TRAVAUX DE GROUPE ? (d’après Meirieu) La finalisation : le but prioritaire du travail en groupe n’est pas d’accéder à des apprentissages précis (qui feront l’objet des séances suivantes) mais d’accéder à "un besoin de savoir" : « Sur quelles difficultés le groupe a-t-il buté ? Que convient-il d’apprendre maintenant pour que chacun soit capable d’affronter ces difficultés tout seul ? La socialisation : il s’agit de savoir organiser un travail en commun, de planifier les étapes, d’intégrer chacun dans le groupe. La confrontation : il s’agit ici d’utiliser l’interaction entre pairs afin de déstabiliser des représentations. Synlab 2015 cooperation. Coopérer et mutualiser en histoire pour comprendre et analyser une carte (niveau 5ème) — HEG.
Trouver la bonne organisation. De nombreux pédagogues soulignent les bénéfices apportés par le travail de groupe au sein de la classe.
Chacun d’eux en préconise une organisation précise. Or, certaines organisations testées en classe ne sont pas toujours satisfaisantes. Les pratiques collaboratives dans l'éducation - François Taddei. Paris Innovation Review – Nos systèmes éducatifs sont-ils toujours adaptés à un monde qui change à une vitesse sans cesse plus grande, qui est de moins en moins vertical et hiérarchique et de plus en plus horizontal et collaboratif ?
François Taddei – Nos systèmes éducatifs sont fondés sur la résolution de problèmes classiques. Typiquement, pour entrer dans une grande école, il faut passer des concours qui consistent pour l’essentiel à résoudre des problèmes ordinaires. Or il y a d’autres formes d’intelligence, comme la résolution de nouveaux problèmes. Par exemple, dans les start-up, les hackerspace ou encore les communautés d’informaticiens, les participants sont jugés sur leur capacité à faire quelque chose que les autres n’avaient pas fait jusque-là, ce qui est très différent de faire la même chose que d’autres ont déjà fait mais plus vite. La troisième forme d’intelligence, encore supérieure aux deux autres, est la capacité à définir soi-même un problème.
Quand les élèves coopèrent : des enseignements plus efficaces ? Les occasions d’inciter les élèves à apprendre et travailler ensemble ne manquent pas.
Elles peuvent s’intégrer dans des cadres bien définis, comme un exposé de groupe, ou surgir au fil du quotidien, par exemple quand un élève demande de l’aide pour un exercice et que l’un de ses camarades vient spontanément l’aider. Certaines coopérations prennent la forme de jeux, d’autres de discussions à caractère philosophique, ou encore de conseils coopératifs – ces réunions où chacun est démocratiquement associé aux décisions de classe. Mais, quels qu’ils soient, tous ces échanges seraient plus bénéfiques que des approches uniquement individuelles ou compétitives. Comme le dit d’ailleurs un proverbe africain : « Seul, on va vite, ensemble, on va loin. » À condition de prendre un certain nombre de précautions. Sans accompagnement, des cas de coopération peuvent très bien se renverser en accélérateurs d’inégalités.
Un encadrement nécessaire La solidarité, une « loi naturelle » ? La coopération entre élèves c'est efficace ? "La recherche montre que les élèves qui bénéficient de dispositifs de coopération entre pairs vont avoir de meilleurs apprentissages et que les apprentissages se transfèreront quand ils travaillent de façon individuelle".
Invités par le Cnesco et l'IFé dans le cadre d'une conférence virtuelle, Céline Buchs et Yann Volpé (Université de Genève) ont fait le point sur les dispositifs d'apprentissage entre pairs. S'ils s'avèrent efficaces et s'ils préparent les élèves aux "compétences du 21ème siècle", ils demandent aussi aux enseignants des compétences et un travail d'organisation important. Une réponse à l'hétérogénéité Qu'entend on par coopération entre élèves ? Céline Buchs et Yann Volpé ont présenté le 17 janvier, dans le cadre d'une conférence virtuelle suivie par près de 700 enseignants, le travail de groupe et le tutorat entre élèves. Coopération et collaboration. Pédagogie coopérative : apprendre à coopérer, coopérer pour apprendre. - Accueillir les différences. Les cahiers pédagogiques vous proposent de télécharger 13 fiches pour organiser la coopération dans votre classe.
Tout à fait intéressantes, et à consulter avant de vous lancer. N’hésitez pas à descendre dans cette page pour retrouver les valeurs de la coopération, comprendre les étapes nécessaires à l’organisation de l’apprentissage en coopération ainsi que des ouvrages recommandés. Clic sur l’image “C’est à plusieurs qu’on apprend tout seul”… Jolie maxime, je trouve… Retrouvez dans ce document des paroles d’experts de la coopération, de la pédagogie qui répondent à 11 questions d’enseignants dans le cadre d’un chantier d’écriture réflexive. Chaque expert a les mêmes questions. C_est_a_plusieurs_qu_on_apprend_tout_seul_-_paroles_d_experts Coopérer, en cours d’anglais, en classe de 2nde. Enseignante en anglais à Don Bosco, j’ai la chance que mon établissement accueille, depuis trois ans, Anne sur notre créneau hebdomadaire de concertation pédagogique, les lundis de 11h15 à 13h.
Groupe grille. Www.cahiers-pedagogiques.com/IMG/pdf/Roux.pdf. Apprendre à travailler en équipe. N°424 Le travail de groupe. Trouver la bonne organisation. Apprendre à travailler en groupe. [ Accueil ] Module ECJS.
Panorama des outils de travail collaboratif : définition et grands types. Origine des outils collaboratifs Historiquement, le problème de la division du travail date de deux siècles, et avait donné naissance au travail à la chaîne : on peut améliorer la cadence de production des ouvriers en affectant à chacun une unique tâche qu'ils sont chargés de répéter.
Cependant, la nécessité de faire travailler ensemble des individus dispersés dans le temps et l'espace est devenue de plus en plus pressante ; mais les technologies de l'information et de la communication ont permis de résoudre cette problématique à l'aide des outils de travail collaboratifs. L'expression "travail collaboratif" est attribuée à Yochai Benkler, professeur de droit à l’université de Yale. (source : wikipédia)Les premiers outils de travail collaboratif commencent à apparaître à la fin des années 80 avec notamment Lotus Notes d'IBM.
Microsoft Exchange, le principal concurrent, apparaît en 1996. Définition. Pourquoi le travail en groupe? Roux.pdf. Comment mettre en place des travaux de groupe ? Méthodes pédagogiques pour développer la compétence by Groupe De Boeck. Travailler en groupe oui mais comment. Dossier Professeur un atout pour les élèves en P.P.C.P. des avantages multiples et variés § pour les élèves § pour la relation enseignant - élèves § pour les enseignants § engagement - détermination § exploration - tâtonnements § transformation - traitement § présentation - appropriation.
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