Surveillance Issues. Linc.cnil. Comment définiriez-vous les technologies civiques, ou civic tech ?
Quel critère de classement proposez-vous ? Le concept de « civic tech » est difficile à définir dans le contexte français. Populaire aux États-Unis à partir de 2013 et selon un rapport de la Knight Fondation, la civic tech désigne une grande diversité d’initiatives issues de la « société civile » mobilisant les technologies numériques pour contribuer à des missions d’intérêt général.
Les technologies de contrôle à HongKong. Cet informaticien met au point un maquillage qui trompe les logiciels de reconnaissance faciale. Lorsque vous vous baladez sur Instagram, vous arrive-t-il de tomber sur des comptes “pépites” avec un contenu particulier, parfois très étrange, qui vous interpelle, et vous fascine autant qu’il vous dérange ? Et bien, aujourd’hui, nous vous avons déniché des petites illustrations qui sont un peu dans la même veine que celles de Gudim Anton, avec ses BD aux fins absurdes ! On vous présente donc Hunter Scheiderer, un jeune illustrateur de 24 ans, qui crée des petites histoires WTF avec seulement 4 cases. Le petit twist, c’est que ces dessins sont complètement absurdes mais surtout très trash. Du véritable humour noir ! L’artiste dessine presque tous les jours ; la preuve que l’entraînement est la clé pour devenir un bon illustrateur, puisqu’Hunter n’a jamais fait d’école d’art ! Reconnaissance faciale : une étude montre que les algorithmes discriminent plus les femmes noires - Société.
Une étude démontre que les algorithmes de reconnaissance faciale, y compris les meilleurs, ont un taux de réussite plus faible pour les femmes à la peau noire.
C'est la confirmation d'un phénomène profond. L’algorithme de reconnaissance faciale, de l’entreprise française Idemia, est l’un des plus performants au monde. Pourtant, encore en 2019, il a du mal à distinguer les visages de femmes à la peau noire. C’est la conclusion d’une étude très solide du National Institute of Standards and Technology (NIST), publiée début juillet.
Pourquoi il faut relire "Surveiller et punir" de Michel Foucault. Peut-être avons-nous honte aujourd'hui de nos prisons. Le XIXe siècle, lui, était fier des forteresses qu'il construisait aux limites et parfois au cœur des villes. Elles figuraient toute une entreprise d'orthopédie sociale. Ceux qui volent, on les emprisonne ; ceux qui violent, on les emprisonne ; ceux qui tuent, également. La société de surveillance de Foucault. C’est le cas, notamment, d’Alain Damasio, romancier et auteur de la Zone du Dehors, dont les écrits ont été fortement influencés par les travaux de Foucault, et notamment par le concept du panoptique de Bentham.
Audrey Watters — Education Technology and The Age of Surveillance Capitalism (A Review of Shoshana Zuboff, The Age of Surveillance Capitalism) A review of Shoshana Zuboff, The Age of Surveillance Capitalism: The Fight for a Human Future at the New Frontier of Power (PublicAffairs, 2019) by Audrey Watters The future of education is technological.
Necessarily so. Or that’s what the proponents of ed-tech would want you to believe. In order to prepare students for the future, the practices of teaching and learning – indeed the whole notion of “school” – must embrace tech-centered courseware and curriculum. To resist technology, therefore, is to undermine students’ opportunities. Or so the story goes. Shoshana Zuboff weaves a very different tale in her book The Age of Surveillance Capitalism. We have known for some time now that tech companies extract massive amounts of data from us in order to run (and ostensibly improve) their services. Zuboff draws in part on the work of B. Google and Facebook, whose executives are clearly the villains of Zuboff’s book, have keen interests in the education market too. As Zuboff points out, B. France to become first EU country to use nationwide facial recognition ID app. La Quadrature du Net attaque l’application ALICEM, contre la généralisation de la reconnaissance faciale.
Lundi dernier, La Quadrature du Net a déposé un recours devant le Conseil d’État pour demander l’annulation du décret autorisant la création de l’application mobile intitulée « ALICEM », pour « Authentification en ligne certifiée sur mobile ».
En y conditionnant la création d’une identité numérique à un traitement de reconnaissance faciale obligatoire, le gouvernement participe à la banalisation de cette technologie, et cela au mépris de l’avis préalable de la CNIL qui avait pourtant souligné son illégalité. Les récentes déclarations de Christophe Castaner qui a mis en avant cette application pour lutter contre l’anonymat et la haine sur Internet ne peuvent qu’alerter. L’application ALICEM, développée par l’Agence des Titres Sécurisés (ANTS), vise à permettre aux détenteurs d’un passeport biométrique (ou d’un titre de séjour électronique) de se créer une identité numérique pour faciliter l’accès à certains services sur Internet, administratifs ou commerciaux.
Technopolice – Villes et vies sous surveillance. Alexis Poulin sur Twitter : "“Une société de vigilance. Voilà ce qu’il nous revient de bâtir. Savoir repérer au travail, à l’école, les relâchements, les déviations.” Discours de Macron glaçant. Oui vigilance face au terrorisme, mais la société de la surv.