Amy Cuddy: Your body language shapes who you are. 5 conseils pour un travail de terrain efficace. EmailEmail Ça y est !
Vous êtes prêt pour vous rendre sur votre terrain. Vous avez passé un certain nombre d’heures dans les bibliothèques, peut-être avez-vous déjà forgé quelques hypothèses sur votre sujet de recherche, et maintenant, vous allez confronter vos premières idées à la « réalité ». C’est un moment décisif dans une recherche : alors, comment être sûr de ne pas passer à côté de quelque chose d’important ? De poser les bonnes questions, de faire les bonnes observations, de s’adresser aux bonnes personnes ? 1. Cela paraît évident… mais c’est loin de l’être. Et ce que vous allez vraiment devoir investiguer et vérifier sur le terrain. Une fois réalisé cet exercice de sincérité, vous êtes prêt pour définir de quels éléments vous avez besoin : des données objectives (des faits) ? 2. Les données de terrain s’accumulent très vite, vous pourriez vous trouver débordé assez rapidement. 3. Comment faire pour ne pas se laisser enfermer dans ce rôle?
4. 5. Une question au coeur de votre recherche (partie 2) EmailEmail Si vous avez lu la première partie de l’article, vous savez pourquoi il est fondamental de garder en tête une question centrale lors des différentes phases de votre travail, et de la reformuler régulièrement.
Mais comment être sûr de poser une bonne question ? C’est ce que nous allons voir à présent. Pour tout ce qui suit, je me suis beaucoup inspirée du « Manuel de recherche en sciences sociales » de Van Campenhoudt et Quivy (éditions Dunod). J’en profite pour vous en recommander la lecture. Une bonne question de départ Au tout début d’une recherche, on est intéressé par un sujet, mais on ne sait pas par où commencer. Claire ; évitez les formulations très vagues comme : « Quels sont les changements récents dans la vie des habitants de X… ? La question doit être assez large pour laisser toutes les pistes de réponses possibles. Un exemple vaut mieux que mille discours : voici une bonne question de départ, que nous rappellent Van Campenhoudt et Quivy : Une question au coeur de votre recherche (partie 1)
EmailEmail Pourquoi est-il indispensable d’avoir en tête une question centrale quand on réalise un mémoire ou une thèse ?
C’est ce que nous allons voir aujourd’hui. Un travail de recherche, qu’il s’agisse d’un mémoire ou d’une thèse (ou tout autre type de travail d’analyse) a tendance à être foisonnant ; car il s’agit d’approfondir l’étude d’un sujet et d’en chercher les tenants et les aboutissants. Or il arrive que, pendant une soutenance par exemple, l’un des jurés demande au candidat quelle est la question principale de sa recherche… Par là-même, on lui demande une ultime synthèse de son questionnement ; cette synthèse peut donner sens à tout le travail. Il est difficile pour le candidat de répondre de façon satisfaisante s’il n’a pas fait, tout au long du processus de recherche, l’effort de résumer son questionnement, d’en rechercher l’essence.
Question de recherche, problématique… De quoi parle-t-on ? Rédiger : comment s'y mettre? EmailEmail Ça y est, le moment est arrivé… Vous vous mettez à la rédaction !
Une montagne se dresse devant vous : quelques centaines de pages à écrire, au cours desquelles vous allez devoir tisser votre argument de manière claire et documentée. Cela fait un peu peur, il faut avouer ! Et cette peur peut vous faire perdre beaucoup de temps. Voici un petit florilège de conseils pratiques et méthodologiques pour s’y mettre pour de bon et avec moins d’appréhension.
Découpez la tâche On ne gravit pas une montagne en un jour mais en planifiant des étapes. C’est aussi au quotidien que vous devez découper votre travail : donnez-vous des objectifs à court terme. Libérez-vous des blocages Il y a plusieurs causes de blocage et de ralentissement possible dans l’écriture de votre thèse. Le perfectionnisme peut aussi vous jouer des tours.
HSN. DSED. DSUE.