Les usages du livre numérique chez les jeunes. Le livre numérique est devenu un support de lecture de plus en plus utilisé notamment chez les jeunes, habitués aux écrans et ouverts au numérique.
La nouvelle enquête Ipsos se penche sur un point d’actualité : l’usage des livres numériques en France. Le livre numérique : état des lieux en 2011 Le marché du livre numérique est en pleine mutation. D’un coté, les ventes de tablettes numériques et des smartphones explosent et de l’autre, les offres de contenus numériques sont plus riches, actualisées ainsi que diversifiées. Selon l’étude « Notoriété et usage du livre numérique » réalisée en janvier 2011 par Ipsos MediaCT, 8 % de la population française de 15 ans et plus a déjà lu un livre numérique. Les Pratiques culturelles adolescentes.
L’époque actuelle est celle où l’adolescence s’allonge – de 8-15 ans à 15-40 ans, selon les chercheurs 1.
Cet étirement dans le temps est pour partie lié à l’allongement de la durée moyenne des études, lequel semble être une des causes du retard de la décohabitation du domicile parental. Mais, plus profondément, on serait passé, selon le sociologue Olivier Galland, de l’adolescence comme « modèle de l’identification où les jeunes reproduisent la trajectoire de leurs parents » à l’adolescence comme « modèle de l’expérimentation » 2. C’est cette phase « fonctionnelle », ce « temps suspendu », cette « mise entre parenthèses de la vraie vie » – ainsi que l’assouplissement des positions sociales et un certain brouillage des trajectoires individuelles – qui permet de comprendre un bon nombre de comportements spécifiques aux adolescents, au-delà de leurs différences d’origine sociale, en particulier dans leur rapport à la culture. Existe-t-il une culture adolescente ? Le rapport à la culture.
Les musées peinent encore à séduire les adolescents. Les chevelures argentées ont-elle dominé la nuit des musées ?
La nuit a-t-elle été trop calme et pas assez folle ? Les statistiques nous le diront peut-être dans quelques temps. En attendant, France Culture a relancé le débat avec sa très bonne enquête multimédia sur les médiations des musées à destination des jeunes. L'âge de choisir ses sorties Le problème c'est déjà que le terme « jeune » est un peu trop large. Partons du principe que les plus petits n'ont pas encore l'autonomie de leurs sorties. L'importance de l'éducation Les adolescents sont donc assez grands pour choisir d'aller ou pas au musée...quoi que ! Les musées ont donc beaucoup travaillé leur accueil des publics scolaires pour concevoir des visites inoubliables.
L'enquête de France Culture a fait ressurgir un reportage plus ancien (avril 2012) visible sur Francetv education. Une perception erronée des musées Premier point saillant : dans l'idée de ces jeunes, le musée est un musée des beaux-arts. » Comment attirer les jeunes adultes dans les musées. La clientèle des jeunes adultes représente un marché important pour les musées.
Plus d’un Canadien sur cinq âgé de 18 à 35 ans effectue au moins une visite par année dans un tel établissement (PMB 2011). Une étude récente s’est penchée sur ce qui intéresse ces adultes et a démontré qu’un marché potentiel latent pourrait bien se développer grâce aux efforts innovants des institutions. Voici les résultats de cette étude et des exemples d’initiatives de musées qui pourraient interpeller particulièrement la clientèle des jeunes adultes. Le marché des 18 à 35 ans n’est pas simple à conquérir. D’abord, il regroupe trois générations, soit les X, les Y et les C (lire aussi: Qui sont ces C?) Qu’est-ce qui les attire? Outre le thème de l’exposition, qui joue probablement le plus grand rôle dans l’intérêt suscité chez le visiteur potentiel, quelques caractéristiques complémentaires favorisent la venue des jeunes dans les musées, entre autres: Un marché latent?
Les Jeunes et la Culture : profils et comportements. I- PRÉSENTATION DES PRINCIPAUX RÉSULTATS DE L’ ÉTUDE d’Opinionway, Les Jeunes (18-30 ans, soit la génération la plus nombreuse du monde) et la Culture.
Comme nous l’avions analysé dans un billet précédent, sur La Génération Z, ces jeunes ont des pratiques et des intérêts très nouveaux par rapport à ceux des générations précédentes. Et le meilleur moyen de répondre à ces nouvelles demandes sont, bien évidemment, d’intégrer leurs avis avant de décider d’une offre, ou mieux encore , de recruter systématiquement, au sein de vos différentes instances décisionnelles, des jeunes de cette génération! Rien de pire, en effet, que de tenter de penser, parler, proposer » à leur place », comme nous le verrons dans la conclusion une nouvelle fois.Cette étude d’Opinionway a été réalisée en février 2016, à partir d’un échantillon représentatif de 807 jeunes de moins de 30 ans. (Etudiants, jeunes en emploi ou en contrat professionnel, en alternance ou demandeurs d’emploi). . .
Partir en livre. Les livres et les jeunes : la situation n’est pas désespérée. C’est une rengaine décliniste entonnée depuis des lustres. « Les enfants ne lisent plus (…).
Leurs loisirs sont occupés par les sports, et aux moments que les sports leur laissent, par la lecture des journaux », déplorait, le 25 février 1909, un éditorialiste de L’Ouest-Eclair. Déjà, dans l’Antiquité, Sénèque accusait les voyages de détourner la jeunesse de la lecture. Tour à tour, au fil des siècles, ont été pointés du doigt pour leur concurrence déloyale les activités physiques, la télévision, l’écoute de la musique, les jeux vidéos, aujourd’hui les réseaux sociaux. Si la longévité et la plasticité de cette antienne peuvent prêter à sourire, l’érosion de la pratique de la lecture chez les jeunes (mais pas seulement) est un constat consolidé enquête après enquête.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Partir en livre. En outre, la littérature jeunesse est l’un des très rares secteurs de la librairie qui se porte bien. « Les jeunes lisent toujours, mais pas des livres » Si les pratiques culturelles des jeunes ont changé, ceux-ci n'ont pour autant pas arrêté de se cultiver. C'est ce qu'explique Sylvie Octobre, chargée de recherche au ministère de la culture, dans son livre Deux pouces et des neurones, qui paraît mercredi 24 septembre. Dans un entretien avec Campus, l'auteure décrypte, sans parti pris, les usages des 15-29 ans en matière culturelle, très différents de ceux de leurs parents au même âge.
Les jeunes lisent moins de livres et, surtout, lisent moins pour le plaisir. La lecture n'est plus considérée comme la porte d'accès privilégiée au savoir et n'est plus synonyme de plaisir. Ce désamour pour les livres vient, à mon avis, du glissement de notre société de ce qu'on appelait les humanités vers le technico-commercial. Le numérique aussi a changé notre façon de lire : les séquences de lecture des jeunes sont plus courtes, souvent liées à leurs échanges écrits sur Internet, et donc sont très liées à la sociabilité. Laura Buratti. Les jeunes et la lecture - Études et rapports du CNL - Ressources - Site internet du Centre national du livre. Mardi 28 juin 2016, a été présentée une étude du Centre national du livre, confiée à Ipsos, sur les jeunes, dans leurs rapports au livre et à la lecture.
Menée à l’échelon national, elle porte sur un échantillon de 1 500 jeunes, âgés de 7 à 19 ans. Enquête : les jeunes et la lecture. La lecture, une activité qui serait délaissée par les jeunes ?
Rien n’est moins sûr, si l’on en juge par une étude réalisée par l’institut Ipsos pour le Centre national du livre (CNL) auprès d’un échantillon de 1500 jeunes âgés de 7 à 19 ans. Les résultats de cette enquête, qui ont été dévoilés le 28 juin, permettent de dresser, à rebours des idées reçues déclinistes, un état des lieux précis et documenté de la lecture chez les jeunes. « Non seulement les jeunes lisent, mais ils aiment lire !
», se réjouit Vincent Monadé, président du Centre national du livre. Les jeunes, grands adeptes de la culture. INFOGRAPHIES.
Lecture, chant, danse, bricolage, jardinage, cinéma, musée ou spectacle, les 18-30 ans ont tendance à pratiquer plus d’activités culturelles et artistiques que leurs aînés. Devenant ainsi de véritables "omnivores culturels"… Non, les jeunes ne passent pas la totalité de leur temps derrière leur ordinateur ! Les jeunes ne sont pas non plus des êtres isolés et inactifs.
Contrairement aux idées reçues, les 18–30 ans seraient même bien plus cultivés qu’ils ne veulent bien le faire croire. Loisirs et pratiques culturelles des jeunes. Certains travaillent ou cherchent un emploi, d’autres étudient.
Mais pour la plupart, la jeunesse reste et restera le temps des sorties, des soirées, du cinéma aux boites de nuit en passant par les clubs de sport. Les moins de 30 ans ont des pratiques culturelles et de loisirs plus intenses que le reste de la population. Premier loisir propre à cette génération : le temps passé avec les copains. Pour 85 % d’entre eux, c’est une activité centrale. Les loisirs des jeunes paraissent assez homogènes : le cinéma et le sport sont leurs activités préférées. 80 % sont allés au cinéma au moins une fois dans l’année en 2006, contre 51 % de l’ensemble de la population.