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» Comment attirer les jeunes adultes dans les musées

» Comment attirer les jeunes adultes dans les musées
La clientèle des jeunes adultes représente un marché important pour les musées. Plus d’un Canadien sur cinq âgé de 18 à 35 ans effectue au moins une visite par année dans un tel établissement (PMB 2011). Une étude récente s’est penchée sur ce qui intéresse ces adultes et a démontré qu’un marché potentiel latent pourrait bien se développer grâce aux efforts innovants des institutions. Le marché des 18 à 35 ans n’est pas simple à conquérir. Qu’est-ce qui les attire? Outre le thème de l’exposition, qui joue probablement le plus grand rôle dans l’intérêt suscité chez le visiteur potentiel, quelques caractéristiques complémentaires favorisent la venue des jeunes dans les musées, entre autres: les technologies qui permettent de visiter les lieux de façon autonome et agréable (audioguides, applications pour appareils mobiles, écrans tactiles ou tablettes comme support informatif, etc.) Un marché latent? Le groupe des clients habituels rassemble les adultes déjà conquis. Guggenheim Sources : Related:  Pratiques culturelles des jeunes1.2. Les jeunes et le tourismeLes pratiques des jeunes de nos jours.

Les musées peinent encore à séduire les adolescents Les chevelures argentées ont-elle dominé la nuit des musées ? La nuit a-t-elle été trop calme et pas assez folle ? Les statistiques nous le diront peut-être dans quelques temps. En attendant, France Culture a relancé le débat avec sa très bonne enquête multimédia sur les médiations des musées à destination des jeunes. L'âge de choisir ses sorties Le problème c'est déjà que le terme « jeune » est un peu trop large. Partons du principe que les plus petits n'ont pas encore l'autonomie de leurs sorties. L'importance de l'éducation Les adolescents sont donc assez grands pour choisir d'aller ou pas au musée...quoi que ! Les musées ont donc beaucoup travaillé leur accueil des publics scolaires pour concevoir des visites inoubliables. L'enquête de France Culture a fait ressurgir un reportage plus ancien (avril 2012) visible sur Francetv education. Une perception erronée des musées Premier point saillant : dans l'idée de ces jeunes, le musée est un musée des beaux-arts. Alors que faire ?

Musée 21 Comment les musées attirent-ils aujourd’hui les jeunes ? Pour répondre à cette question, nous avons choisi d’interviewer la société Acoustiguide, leader mondial dans la médiation culturelle des musées depuis près de 58 ans. Laetitia Wilfert-Portal, chef d’équipe France, et Jacques Erick Piette, responsable de production, nous dévoilent les trois raisons qui font que vos enfants vous supplieront bientôt d’aller au musée… Un discours qui séduit les jeunes Jacques Erick Piette est formel : pour attirer les jeunes, il faut d’abord adapter son discours. « Maman, maman, j’ai l’impression de pouvoir rentrer dans le tableau ! Mais le discours, c’est plus que du texte. S’il te plait, raconte-moi une histoire ! Pour servir le propos des musées auprès des jeunes publics, rien de tel que de leur raconter des histoires, et de les impliquer dans celles-ci grâce à des jeux. « Les enfants deviennent acteurs de la visite, et non plus simples spectateurs »

□ Qu'est-ce qui captive, ou ennuie, les adolescents au musée ? Les jeunes qui vont au musée s'ennuient si les oeuvres d'une salle affichent toutes le même style. En revanche, ils apprécient les tableaux présentant beaucoup de détails. (Photo: Olivier Chwaiki, Musée des beaux-arts de Montréal) On a tendance à croire que les adolescents ne sont pas intéressés par les musées, mais est-ce vraiment le cas ? Et, lorsqu'ils en visitent un, qu'est-ce qui leur plaît et les incite à revenir ? C'est ce qu'a cherché à savoir Laure Martin-Le Mével dans ses travaux de maîtrise (La maîtrise est un grade ou un diplôme universitaire correspondant au grade ou titre de « maître ». Sa recherche (La recherche scientifique désigne en premier lieu l’ensemble des actions entreprises en vue de produire et de développer les connaissances scientifiques. Le processus de visite comme indicateur d'intérêt Elle a également mené deux entrevues individuelles avec chacun d'eux, l'une avant la visite et l'autre après. Ce qui les rebute, ce qui les attire Le goût de l'art n'est pas inné

Les Jeunes et la Culture : profils et comportements I- PRÉSENTATION DES PRINCIPAUX RÉSULTATS DE L’ ÉTUDE d’Opinionway, Les Jeunes (18-30 ans, soit la génération la plus nombreuse du monde) et la Culture. Comme nous l’avions analysé dans un billet précédent, sur La Génération Z, ces jeunes ont des pratiques et des intérêts très nouveaux par rapport à ceux des générations précédentes. Et le meilleur moyen de répondre à ces nouvelles demandes sont, bien évidemment, d’intégrer leurs avis avant de décider d’une offre, ou mieux encore , de recruter systématiquement, au sein de vos différentes instances décisionnelles, des jeunes de cette génération! Rien de pire, en effet, que de tenter de penser, parler, proposer » à leur place », comme nous le verrons dans la conclusion une nouvelle fois.Cette étude d’Opinionway a été réalisée en février 2016, à partir d’un échantillon représentatif de 807 jeunes de moins de 30 ans. 4- Une génération qui s’estime être beaucoup moins cultivée que la génération précédente! . .

Comment leur faire aimer les musées ? Parce qu'un bon moment avec les enfants, ça peut aussi être une visite au musée, on vous donne 3 idées pour rendre ce moment sympa, attiser leur curiosité et susciter leur intérêt. Astuce n°1 : préparer une enquête géante Le jeu du petit enquêteur fonctionne à tous les coups et permet d'éveiller la curiosité des enfants tout en s'amusant. Il y a plusieurs façons de l'organiser. On peut, par exemple, imprimer les photos de quelques oeuvres (tableaux, sculptures...) depuis le site du musée avant de partir, puis les chercher une fois sur place. Autre solution : on traque un détail (un animal, un enfant, une fleur…) dans le musée. Astuce n°2 : créer son carnet de musées On confie à chaque enfant un petit cahier pour qu'il y colle son ticket d’entrée, la carte postale souvenir de son œuvre préférée, etc. Astuce n°3 : inventer une histoire A lire : « Au musée, les enfants !

Voici comment les jeunes français consomment de l'information sur Facebook Temps de lecture: 7 min Facebook est devenu un lieu central des activités culturelles, informationnelles et communicationnelles sur internet. Au troisième trimestre 2016, d’après les chiffres communiqués par Facebook, il y aurait 30 millions d’utilisateurs actifs mensuels en France dont 24 millions sur le mobile (et 20 millions d’utilisateurs actifs quotidiens). L’exposition à l’information peut y être volontaire (abonnements à des pages médias) ou accidentelle: un ami qui interagit avec un contenu d’actualité (like, partage, commentaire) et donc nous y expose dans notre fil d’actualités, ou alors un groupe auquel on est abonné qui va poster un contenu et/ou chercher à en discuter. Pour cela, nous avons diffusé un questionnaire et mené des entretiens qualitatifs auprès de 18-24 ans, une population fortement connectée qui est en train de construire ses propres pratiques numériques. Les pratiques d’information des 18-24 ans S’informer avec les réseaux socionumériques Conclusion

Les Pratiques culturelles adolescentes L’époque actuelle est celle où l’adolescence s’allonge – de 8-15 ans à 15-40 ans, selon les chercheurs 1. Cet étirement dans le temps est pour partie lié à l’allongement de la durée moyenne des études, lequel semble être une des causes du retard de la décohabitation du domicile parental. Mais, plus profondément, on serait passé, selon le sociologue Olivier Galland, de l’adolescence comme « modèle de l’identification où les jeunes reproduisent la trajectoire de leurs parents » à l’adolescence comme « modèle de l’expérimentation » 2. C’est cette phase « fonctionnelle », ce « temps suspendu », cette « mise entre parenthèses de la vraie vie » – ainsi que l’assouplissement des positions sociales et un certain brouillage des trajectoires individuelles – qui permet de comprendre un bon nombre de comportements spécifiques aux adolescents, au-delà de leurs différences d’origine sociale, en particulier dans leur rapport à la culture. Existe-t-il une culture adolescente ? Le rapport à la culture

Les musées à la conquête des 15–25 ans La nuit est tombée mais le Musée du Quai-Branly est encore noir de monde. À 21 h 30, la soirée « Before » bat son plein. Comme chaque trimestre – la « séance » estivale se déroule vendredi 5 juillet –, le musée invite à découvrir gratuitement son exposition du moment et à participer à une palette d’activités aux noms branchés : DJ set C. Line, workshop tatouages, session de light painting… On l’aura compris, il s’agit ici de séduire les jeunes, qui se sont passé l’info via les réseaux sociaux et sont venus nombreux, parfois en groupe, avant de poursuivre la soirée au restaurant ou en boîte de nuit. « Nous voulons faire du musée un lieu de convivialité, où chacun fait son propre programme. « Pour une fois que je ne m’ennuie pas… « L’ambiance est vraiment sympa. Nocturnes festives, parcours jalonnés de spectacles de danse, de concerts, voire de défilés de mode, les musées rivalisent d’imagination pour séduire ce jeune public qui souvent leur échappe. Modèle anglo-saxon

Sondage OpinionWay pour «20 Minutes»: Une série a déjà influencé la vie de 71% des jeunes de 18 à 30 ans Qu’il est loin le temps où l’on regardait Dallas assis en famille sur son canapé ! Selon un sondage OpinionWay pour 20 Minutes*, 86% des 18-30 ans du groupe MoiJeune regarde des séries au lit, dont 21 % « tout le temps ». A l’occasion du lancement du Festival Séries Mania Lille-Hauts de France ce vendredi, 20 Minutes a mené l’enquête sur le rapport intime qu’entretiennent les jeunes avec les séries télévisées. Au lit avec une série Seuls 14 % des répondants n’ont jamais regardé de séries dans ce havre privé de paix qu’est le plumard. Le plaisir sériel revêt une dimension essentiellement intime. Un épisode en moins si affinité « Chéri, on se mate un dernier épisode ? Heureusement, les séries permettent aussi de se sortir de certaines situations délicates concernant la vie intime : « La première fois avec mon copain, la capote craque. Série à deux, caprice à deux J’peux pas, j’ai série Anéantis à la fin d’une série Les séries, ça change la vie Des copies en séries Des envies en série

Les usages du livre numérique chez les jeunes Le livre numérique est devenu un support de lecture de plus en plus utilisé notamment chez les jeunes, habitués aux écrans et ouverts au numérique. La nouvelle enquête Ipsos se penche sur un point d’actualité : l’usage des livres numériques en France. Le livre numérique : état des lieux en 2011 Le marché du livre numérique est en pleine mutation. Les jeunes et la lecture numérique Les jeunes ont un rapport particulier aux technologies numériques comme nous l’avons vu dans un précédent billet.

Les horizons culturels des jeunes 1 Une vingtaine d’entretiens menés auprès de jeunes de dix à quatorze ans et autant auprès de leurs p (...) 1Les rapports des jeunes générations à la culture ont changé, sous l’effet conjugué d’une mutation de l’offre culturelle elle-même, de la massification scolaire et de la généralisation de l’éducation artistique, et de la massification de l’accès aux pratiques et consommations culturelles. Dire cela c’est ne faire que constater ce qu’une lecture superficielle des données de marché conforte : le secteur de la presse jeunesse est le mieux portant du champ de la presse, il en va de même de celui de l’édition jeunesse ; celui des industries créatives (jeux vidéo en tête) à destination des jeunes publics connaît des développements exponentiels ; des secteurs entiers segmentent désormais une offre « jeune », des plus marchands (téléphonie mobile par exemple) aux plus subventionnés (les offres culturelles et tarifaires des équipements culturels). Mutation du rapport aux objets culturels

92% des étudiants préfèrent lire sur un support papier plutôt que sur tablette L’enquête d’une linguiste américaine révèle que les étudiants préfèrent toujours le support papier pour leur lecture aux livres numériques, tablettes et téléphones portables. Le papier n’est pas mort - du moins, pas encore! C’est ce que révèle une enquête menée par Naomi Baron, une professeur de linguistique à l’université américaine de Washington, et repérée par NBCnews. «Il y a vraiment une composante physique, tactile, à la lecture» Les recherches ont été menées dans le cadre de l’écriture du livre Les mots à l’écran: le sort de la lecture dans un monde digital(Words onscreen: the fate of reading in a digital world, ndlr) qui explore les effets de la technologie sur la lecture et l’apprentissage à travers le monde. «Il y a vraiment une composante physique, tactile, cinétique, à la lecture», explique Naomi Baron dans une interview au magazine américain New Republic. «J’ai une sensation d’accomplissement quand je finis un livre et j’ai envie de le voir sur une étagère»

Partir en livre. Les livres et les jeunes : la situation n’est pas désespérée C’est une rengaine décliniste entonnée depuis des lustres. « Les enfants ne lisent plus (…). Leurs loisirs sont occupés par les sports, et aux moments que les sports leur laissent, par la lecture des journaux », déplorait, le 25 février 1909, un éditorialiste de L’Ouest-Eclair. Déjà, dans l’Antiquité, Sénèque accusait les voyages de détourner la jeunesse de la lecture. Tour à tour, au fil des ­siècles, ont été pointés du doigt pour leur concurrence déloyale les activités physiques, la télé­vision, l’écoute de la musique, les jeux vidéos, aujourd’hui les ­réseaux sociaux. Si la longévité et la plasticité de cette antienne peuvent prêter à sourire, l’érosion de la pratique de la lecture chez les jeunes (mais pas seulement) est un constat consolidé enquête après enquête. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Partir en livre. En outre, la littérature jeunesse est l’un des très rares secteurs de la librairie qui se porte bien.

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