Liban. Syrie. Iran. Irak. Afghanistan. Palestine-Israël. Islamic State - Caliphat. 25 October 2014Last updated at 19:05 ET In June the leader of Islamic State declared the creation of a caliphate stretching across parts of Syria and Iraq - Abu Bakr al-Baghdadi named himself the caliph or leader.
Edward Stourton examines the historical parallels and asks what is a caliphate, and what is its appeal? When Islamic State (IS) declared itself a caliphate in June this year, and its leader Abu Bakr al-Baghdadi, claimed the title of caliph, it seemed confirmation of the group's reputation for megalomania and atavistic fantasy. Al-Baghdadi insisted that pledging allegiance to this caliphate is a religious obligation on all Muslims - an appeal which was immediately greeted by a chorus of condemnation across the Middle East.
But is it dangerous to underestimate the appeal of IS? The last caliphate - that of the Ottomans - was officially abolished 90 years ago this spring. Why do so many Muslims subscribe to this apparently unrealisable dream? The Mongol siege of Baghdad, 1258. Al-Qaida grand vainqueur du printemps arabe. - Des suspects arrêtés par l'armée au Caire le 15 aoüt 2013.
REUTERS/Amr Abdallah Dalsh - La fermeture, sans précédent, de 19 ambassades américaines en réponse à l’interception de communications qui semblaient indiquer que des dirigeants d’al-Qaida planifiaient une opération de grande envergure contre des cibles américaines a relancé le vieux débat: L’organisation terroriste est-elle morte ou plus vivante que jamais? Ce n’est pourtant pas la question qu’il faut se poser, car se la poser revient pour l’essentiel à ne pas se demander ce qu’il faudrait pour affaiblir al-Qaida au Proche-Orient. Les attaques terroristes menées par al-Qaida ne sont qu’une des facettes de son objectif grandiose. L’organisation aspire à mener un mouvement de masse des Musulmans en direction de sa conception (salafiste) du Djihad (la guerre sainte). Publicité L'échec des transitions démocratiques est une victoire pour les salafistes.
Proche-Orient: les dividendes de la paix iront à la Chine. - Le Premier ministre chinois Li Keqiang et le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou à Pekin en mai 2013.
REUTERS/Kim Kyung-Hoon - Vous vous souvenez quand le conflit israélo-palestinien faisait les gros titres tous les jours et que les États-Unis partaient en guerre pour assurer leur approvisionnement en pétrole et en gaz du Moyen-Orient? A l’époque, les problèmes politiques de la région étaient de première importance pour les Américains. Mais aujourd'hui, maintenant que l'autonomie énergétique est en vue, qui a de véritables enjeux au Moyen-Orient? Au premier abord, les intérêts américains semblent bien évidemment toujours impliqués. Publicité. Les Kurdes, les oubliés du conflit ? Les grands médias occidentaux sont très rares à se faire l'écho des violences religieuses dont sont victimes depuis plusieurs semaines les Kurdes du nord de la Syrie ("Rojava" pour les Kurdes à savoir le Kurdistan de l'ouest - la zone ethnique du Kurdistan est divisé entre quatre pays, Iran, Irak, Turquie, Syrie).
Il est pourtant notoire que les groupes armés affiliés à Al-Qaida ont ouvert un nouveau front pour revenir sous les projecteurs au Moyen-Orient. Selon des médias kurdes et l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), les milices du Front Al-Nosra et celles de l'Etat islamique en Irak et au Levant mènent des sièges et des offensives contre les comités de protection du peuple kurde (YPG, milice kurde) et tuent, kidnappent, dépouillent, séquestrent et torturent des civils comme des combattants. Le rôle déterminant de la Turquie Jusqu'à présent, les Occidentaux ont mis leurs pas dans ceux de la Turquie. De plus en plus de violences religieuses.
Face aux islamistes, construire des contre-pouvoirs. La démocratie n’est pas la tyrannie de la majorité : pour freiner les tendances autoritaires des islamistes au pouvoir, les peuples doivent vite inventer des contrepoids.
Les islamistes sont-ils capables de jouer le jeu de la démocratie et, plus encore, celui de l’alternance politique ? D’ailleurs, en ont-ils envie ou est-ce que les assurances qu’ils donnent ne sont qu’une façade trompeuse ? On le sait, ces questions ne datent pas d’hier. En Algérie, elles ont été (provisoirement ?) Tranchées de façon radicale, pour ne pas dire sanglante, dans les années 1990.
Bien entendu, il ne s’agit pas de joindre sa voix à celles et ceux qui triomphent sur l’air du “on vous l’avait bien dit !”. Un air d’autoritarisme Il y a quelques années, Erdogan a déclaré que la démocratie était comparable à un bus qui doit bien s’arrêter quelque part. Erdogan ne cesse pas de rappeler sa double légitimité pour répondre aux critiques dont il fait l’objet.
Guerre Iran-Irak. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La guerre Iran-Irak, connue en Iran sous le nom de Guerre imposée (en persan : جنگ تحمیلی, Jang-e-tahmili) ou Défense sacrée (en persan : دفاع مقدس, , Defā'e moghaddas), en Irak sous le nom de Qādisiyyah de Saddam (en arabe : قادسيّة صدّام) est une guerre qui a opposé l'Iran à l'Irak entre et . Elle a également été appelée guerre du Golfe persique jusqu'à la deuxième guerre du Golfe entre l'Irak et le Koweït en 1990-1991, puis a pris le nom de première guerre du Golfe. Elle a fait entre 500 000 et 1 200 000 victimes. Historique politique[modifier | modifier le code] En 1979, le Shah d'Iran est renversé par la révolution islamique. C'est pourquoi, Saddam Hussein redoutant l'ascension de Khomeini et son regain de popularité dans le monde musulman, attaque l'Iran le , sous le motif du désaccord frontalier. Cependant, en dépit de la puissance de l'armée irakienne, le conflit s'enlise rapidement. La fronde contre l’Iran chiite. Jouissant jadis d’une bonne image auprès des peuples arabes, Téhéran a vu sa cote d’amour s’effondrer à cause de sa volonté de mainmise sur le Moyen-Orient. 11 avril 2013 | Partager : La revue américaine Foreign Policy a récemment fait état d’un sondage effectué dans 20 pays arabes, d’où il ressort que l’opinion favorable dont jouissait la République islamique iranienne au sein des populations arabes a connu dans la plupart des pays de la région une chute sévère depuis son apogée de 2006.
L’étude évoquée par FP souligne que la position de Téhéran à l’égard de la guerre syrienne [soutien au régime d’Assad] a été pour l’opinion arabe “la goutte qui a fait déborder le vase”. Les conclusions de ce sondage ne sont pas surprenantes, surtout à la lumière de l’exacerbation généralisée des tensions sunnito-chiites. Comment pourrait-il en être autrement, vu la ligne de conduite des mollahs khomeynistes qui cache mal l’“impérialisme” pratiqué dans l’ensemble de la région ?
Shah d'Iran. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Mohammad Reza Chah Pahlavi ou Muhammad Rizā Shāh Pahlevi (en persan : محمد رضا شاه پهلوی), né le à Téhéran et mort le au Caire, Il était le deuxième et dernier monarque de la Chambre des Pahlavi Homayouni de la monarchie iranienne est le dernier chah d'Iran qui régna du au (événement dit du 22 Bahman 1357). Contraint à l'exil le , il fut remplacé par un conseil royal et renversé par la Révolution iranienne. Mohammad Reza Pahlavi n'a jamais abdiqué officiellement[2]. Mohammad Reza succéda à son père, Reza Chah, lorsque ce dernier fut contraint d’abdiquer en septembre 1941, peu après l'invasion anglo-soviétique. À la tête d'un empire occupé, soumis au bon vouloir de Churchill et Staline, le jeune chah fut également confronté aux tentatives sécessionnistes dans les provinces du nord-est et aux rébellions tribales dans le sud du pays.
Carte sunnites chiites.