Aviation durant la Première Guerre mondiale - wikipédia. L'aviation militaire française en 14-18. Traditions des escadrilles de l'Armée de l'air. Archives de l'aéronautique militaire de la première guerre mondiale.pdf. Avions militaires 14/18. Les avions de cette période furent d'abord utilisés dans un rôle d'observation, pour régler le tir de l'artillerie ou pour déposer et récupérer des agents derrière les lignes ennemies, les pilotes n'ont alors que leur arme individuelle à bord.
Pourtant dès septembre 1914, grâce aux renseignements fournis, l'aviation va permettre de gagner la bataille de la Marne. Les premiers essais de bombardement ont lieu dès août 1914, avec par exemple des Voisin de 140 CV et les avions sont progressivement munis de mitrailleuses. Chasseurs de la guerre 14-18 - avionslegendaires.net. Les ''As'' oubliés de 14-18. Histoire de l'aviation française de la 1ère guerre mondiale.
Complémentaires avec le site, Les Cahiers des As Oubliés de 14-18 paraissent quatre fois par an.
[Le concours d'aviation militaire de 1911] [1912-1913: "Donnez des aéroplanes à la France"] [L'aviation aux manoeuvres, 1910-1913] [1914: l'aviation entre en guerre] [Célestin Pégoud: Roi de l'air et Premier As] [Hiver 1914: Voler entre dunes et tranchées] [Bombarder et chasser: l'impossible rupture] [De l'Etoile à la Cigogne: l'escadrille 103] Un premier "bond" de l'aviation. A) L’aviation et la guerre (1914-1918) A l’aube de la grande guerre, la France mobilisait, sur le front occidental, 156 avions et l’Angleterre 63, soit un total de 219 appareils.
L’Allemagne en possédait 258. Ces avions étaient des monoplans et des biplans dont la vitesse maximale approchait les 120 km/h. Les avions les plus performants plafonnaient à 3000 m. Ces appareils étaient fabriqués en série mais aucun n’était armé. Le premier combat aérien a lieu le 5 octobre 1914, et la victoire revient aux français Quénault et Frantz ayant abattu un équipage allemand. Le rôle de la chasse, plus spectaculaire, est aussi plus connu. Liste d'as de l'aviation.
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Normalement, le statut d'as s'obtient au bout de cinq victoires en combat aérien et ce en référence au nombre de signe sur la carte a jouer « As ». Mais ce comptage ne prend pas en compte les victoires « probables » (la victoire n'a pas été confirmée par d'autres observateurs que le pilote), ou bien les comptent comme une demi-victoire. Manfred von Richthofen.
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Manfred Albrecht, baron von Richthofen (Breslau, - Vaux-sur-Somme, ) est un aviateur allemand qui est resté une légende de l'aviation de la Première Guerre mondiale. Du temps de cette guerre il était connu en France sous les surnoms de « Petit Rouge » ou de « Diable Rouge » mais depuis ce temps le surnom que lui donnèrent les aviateurs britanniques (the Red Baron, « le Baron Rouge ») a finit par s'imposer dans le monde entier pour se référer à lui, au point de remplacer en popularité son nom authentique. Avec quatre-vingt victoires confirmées, il est l'as des as officiel de la Grande Guerre. Hauptmann dans la célèbre Jasta 11, sa célébrité est liée à celle de son Fokker Dr.I peint d'un rouge vif, ce qui lui valut son surnom. Georges Guynemer. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Georges Marie Ludovic Jules Guynemer, né le à Paris 16e [1] et mort le à Poelkapelle (Belgique), est l'un des pilotes de guerre français les plus renommés de la Première Guerre mondiale [2]. Biographie[modifier | modifier le code] Origine familiale et enfance[modifier | modifier le code] Par sa mère, Julie Noémi Doynel de Saint-Quentin, issue d'une famille aristocratique, Georges Guynemer est un descendant des rois de France Louis XIII et Louis XIV, par Bathilde d'Orléans (1750-1822), mère du duc d'Enghien[3]. Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code] Armée de terre (France) Entièrement professionnalisée depuis le départ des derniers appelés en 2001, l'armée de terre compte en 2010 un effectif de 123 000 militaires d'active (hors légionnaires)[4].
Son budget est de 8,3 milliards d’euros en 2011. Organisation. Service militaire en France. Sous l'Ancien Régime, le service militaire est réservé à des professionnels.
Néanmoins, à partir de 1688, le roi oblige ses sujets à fournir des milices provinciales pour compléter ses troupes ; les miliciens provinciaux (dont le nom a varié) ont souvent été désignés par tirage au sort. 5 septembre 1798 : au Conseil des Cinq-Cents, le député Jean-Baptiste Jourdan fait voter la loi qui rend le service militaire obligatoire. Mobilisation française de 1914. Ordre de bataille de l'armée française en août 1914.
Commandant en chef des armées : général Joseph Joffre ;major-général : général Émile Eugène Belin ;aides-majors : généraux Henri Berthelot (2e et 3e bureaux) et Céleste Déprez (1er et 4e bureaux) ;chancellerie : lieutenant-colonel Gaston Dupuis ;chef du 1er bureau (organisation et équipement) : colonel Bernard ;chef du 2e bureau (renseignement) : lieutenant-colonel Dupont ;chef du 3e bureau (opération et instruction) : lieutenant-colonel Ferdinand Auguste Pont ;chef du 4e bureau (étapes et transport) : général Henri Linder ;direction de l'arrière : général Édouard Laffon de Ladebat[14].
Une artillerie lourde mobile est mise sous les ordres du groupe d'armées du Nord-Est, soit quinze batteries de canons de 120 mm long et six batteries de mortiers de 220 mm[15]. 1 armée La 1re armée, surnommée « Armée de Dôle », est commandée par le général Auguste Dubail (remplacé le 5 janvier 1915 par le général Pierre Auguste Roques)[17]. Plan XVII. Plan XVII de 1914 Le plan de mobilisation et de concentration XVII de l'armée française est préparé sous forme d'ébauche générale (ce document est appelé Bases du plan XVII) par l'état-major au début de l'année 1913, sous l'autorité du chef d'état-major général, ce dernier le présentant devant le conseil supérieur de la guerre qui le valide lors de la séance du 18 avril 1913 ; le ministre de la Guerre Eugène Étienne l'accepte le 2 mai 1913[6], puis les différents documents sont préparés et envoyés aux unités à la fin de l'hiver (par exemple les généraux désignés comme commandants d'armée se voient adresser le 7 février 1914 une directive[7] par le général Émile Belin, major-général de l'état-major en remplacement d'Édouard de Castelnau[8]).
Mobilisation Active En 1914, le territoire français (métropole et Algérie française) est subdivisé en 21 régions militaires. Réserve et territoriale. Composition organique de l'armée française en 1915. Composition organique et structurelle de l'armée française en 1915 Notions générales extraites des Cahiers de la Guerre n°12, de 1915 L'escouade 14 à 15 soldats, groupés sous la supervision d'un caporal (caporal chef à 2 galons rouges), forment une escouade.
La constitution, l'organisation de l'armée française en 1914. L'armée française de l'été 14. Que chaque français, les yeux fixés sur les luttes que l'avenir réserve, soit digne de vaincre et prêt à payer de son sang le bien-être, la sécurité et l'honneur de ceux qui viendront aprés nous - Almanach du Drapeau de l'année 1900 Une Bataille perdue est une bataille que l'on croit avoir perdue - Joseph de Maistre Contact Dans ce que l'on a appelé ultèrieurement la belle-époque, et qui a mené l'europe au faîte de sa puissance technique, militaire, commerciale, coloniale, l'aspect militaire est essentiel. La guerre était à l'époque une éventualité normale, et les conflits entre grande nations ne pouvant toujours être résolus pacifiquement, une nation résolue à garder son indépendance, son droit, son honneur, se devait d'avoir une armée forte. La France, tirant les leçons de la terrible et humiliante défaite de 1871, va mettre plus d'une génération à reconstituer son outil militaire, à commencer par le service militaire obligatoire.
Annexes. Composition des unités de l'armée française - 14-18.pdf. Les armées françaises dans la Grande guerre. Premier volume... / Ministère de la guerre, état-major de l'armée, service historique. Les armées françaises dans la grande guerre - gallica - 81 volumes. Zouaves, tirailleurs et coloniaux dans la grande guerre. Panorama des troupes coloniales françaises dans les deux guerres mondiales. ABENON René et JOSEPH Henry E., Les dissidents des Antilles dans les Forces françaises libres combattantes, 1940-1945, Fort-de-France, Association des dissidents de la Martinique, 1999. AGERON Charles-Robert, Histoire de la France coloniale, A. Colin, 1990. AGERON Charles-Robert, « Le drame des harkis en 1962 », Vingtième siècle, n°42, avril-juin 1994. AGERON Charles-Robert, Les Algériens musulmans et la France (1891-1918), tome II, Paris, PUF, 1978. AIT AHMED Hocine et SISSUNG Maud, Mémoires d’un combattant : l’esprit d’indépendance (1942-1952), Paris, Messinger, 1983.
ALEXANDRE Rodolphe, La Guyane sous Vichy, Paris, éditions caribéennes. ALEXANDRE Rodolphe, La révolte des tirailleurs sénégalais, Cayenne, 24-25 février 1946, Paris L’Harmattan, 1995. American battle monuments commission, American Armies and Battlefields in Europe, Washington DC, United States Army, Center of Military History, 1992. ANDRIVON-MILTON Sabine, La Martinique et la Grande Guerre, Paris, L’Harmattan, 2005. HURE R. Enseigner la mémoire ? - L'Armée coloniale indigène pendant la 1ère guerre mondiale. Le recrutement des troupes indigènes À la veille de la 1ère guerre mondiale, les troupes indigènes, ex-troupes de marine devenues troupes coloniales en 1900 ( d'où la présence d'une ancre marine sur leurs uniformes ) étaient composées de tirailleurs recrutés sur la base du volontariat et devenus soldats de métier, en Indochine, en Afrique orientale ( Madagascar, Côte des Somalis et Djibouti ), en Afrique équatoriale et occidentale, en Guyane, dans les Antilles et les territoires du Pacifique.
Les troupes coloniales d'Indochine en 1914-1918. Les troupes coloniales dans la Grande Guerre Emmanuel Bouhier * Les troupes coloniales ont joué pendant la guerre 1914-1918 un rôle de tout premier plan. Elles ont fourni, d’une part, des formations blanches et indigènes importantes, et, d’autre part, des cadres à l’armée métropolitaine. Dès 1912, l’envoi des troupes indochinoises en France avait été envisagé, en vue de participer à un conflit européen.
Le général Pennequin pensait que les forces ainsi expédiées d’outre-mer pourraient atteindre 20 000 hommes. Les Vietnamiens et la première guerre mondiale dans les collections de l’ECPAD.pdf. Les Bataillons de Tirailleurs Indochinois (B.T.I)* Bonjour Pour faire plaisir à Mme Jupiter qui est d'origine vietnamienne,et aussi parce que ces bataillons nous ont marqué lors de leur implatation dans les villes de Perpignan et de Narbonne. La force noire - 1857-1965.pdf. Les tirailleurs sénégalais en 1917.pdf. Les tirailleurs de A à Z - Tirailleurs. Tirailleurs sénégalais. Les soldats coloniaux de 14-18, éternels oubliés ? Délaissés par la République, les soldats coloniaux de 14-18 ont été les grands absents des monuments aux morts qui ont couvert le territoire français. Eternels oubliés, ils l’étaient encore des commémorations du Centenaire jusqu’à l’ajout tardif de l’opération « Frères d’armes », bienvenue, mais qui aborde partiellement leur histoire.
Les tirailleurs kanak dans la première Guerre mondiale. Histoire. Les camps de troupes coloniales de Fréjus - Saint-Raphaël durant la première guerre mondiale. Le camp Du Courneau. La mémoire de 14-18 par les étudiants de l'IJBA. Dès octobre 1914, l’Etat Major des Armées décide d’accroître le recrutement des troupes africaines. En France métropolitaine, deux sites, celui de Fréjus – Saint Raphaël et celui du Courneau en Gironde permettront l’accueil, l’entraînement et la réorganisation des bataillons tirailleurs sénégalais. Retour sur le camp dans le bassin d’Arcachon qui a accueilli 16 000 tirailleurs sénégalais d’avril 1916 à juillet 1917. 16 000 tirailleurs Sénégalais sont passés par le camp de Courneau durant la Grande Guerre. 940 y sont morts.
Un taux de mortalité très élevé. Navires de la Grande Guerre. La Coloniale - les troupes de marine. Non officiel. Héros maritime de la première guerre mondiale. Sépultures des fusiliers marins dans les Flandres 14-18. Les fusiliers marins pendant la guerre 14-18. Mémorial national aux marins morts pour la France. Musée de Tradition des fusiliers marins et commandos. Matricules dans la Marine. Alliés de la Première Guerre mondiale - Triple-Entente.
Corps d'armée australien et néo-zélandais - ANZAC. Histoire militaire de l'Australie pendant la grande guerre - wikipédia. Les Australiens sur le Front occidental 1914-1918. La Nouvelle-Zélande sur le front occidental 1916-1918.pdf. Le Canada et la Première Guerre mondiale. Vétérans canadiens - La Première Guerre mondiale. L'album de la grande guerre - Canada. Bibliothèque et Archives Canada - Première Guerre mondiale. Chronologie de l'histoire militaire canadienne - La première guerre mondiale. Le corps expéditionnaire canadien en 1914-1919.pdf. Les Canadiens de la crête de Vimy au canal du Nord_14-18.pdf.
L'Afrique du Nord dans le guerre 14-18.pdf. La grande guerre en Belgique. 1914-18 en Belgique. L'armée belge 14-18 - 31 07 au 31 12 1914.pdf. Troupes Indiennes 1914-1915. Les troupes indiennes sur le front d’Artois. L'Empire Britannique sur le continent - mémoire 14-18. La montée en puissance de l’armée britannique. Les Portugais dans la Grande Guerre. Le Portugal dans la Grande Guerre. Hommage aux troupes britanniques - 14-18. Les Chinois dans le Nord de la France. Les travailleurs chinois dans la grande guerre. Triplice - Triple alliance. Armée de terre de l'empire allemand de 1870 à 1919. Ordre de bataille de l'armée allemande en 1914. Troupes coloniales et indigènes allemandes 1890-1918. Mobilisation allemande de 1914. Plan Schlieffen. Kaiserliche Marine - La marine allemande. Allemagne - Croiseurs cuirassiers classe SCHARNHORST.