Levi's : les nouvelles vestes connectées Jacquard by Google arrivent. À partir du 3 octobre, il sera possible d'acheter l'un des deux modèles de vestes connectées conçues par Levi's.
Au cœur de cette innovation, la nouvelle version de la puce Jacquard qui permet de piloter son smartphone à l'aide de gestes effectués sur l'une des manches. Ce n'est donc pas une mais deux vestes connectées que Levi’s lance à partir du mois d'octobre, et la France fait partie des quatre pays européens qui vont découvrir ce vêtement du futur. Vendues respectivement 200 et 250 dollars aux États-Unis (sans doute 200 et 250 euros en Europe), les modèles Trucker et Sherpa Trucker sont des évolutions de la veste lancée il y a deux ans uniquement aux États-Unis. La nouveauté, c'est l'évolution de la puce Jacquard signée Google. Placée au niveau du poignet, de manière très discrète puisqu'elle est moins volumineuse, elle permet de piloter son téléphone par gestes. Attention au lavage Google autorisé à développer à grande échelle ses capteurs de reconnaissance de gestes. Smart Textiles Archives. Quand les objets connectés révolutionnent l’univers santé et bien-être !
Dans la famille des objets connectés, j’appelle les objets connectés dédiés à la santé !
Bracelet digital pour sportif, balance intelligente pour adulte, vêtement connecté pour bébé, glucomètre,… : la liste est longue… et variée ! Aussi bien sur la forme, car ils se présentent en pièces détachées ou comme des accessoires à porter sur soi. Mais aussi sur le fond, car certains sont dédiés à notre bien-être quotidien, tandis que d’autres visent un suivi médical précis. Pireta fabrique des tissus connectés qui se portent réellement. Les vêtements connectés actuels ont un sérieux désavantage : des capteurs qui apparaissent ici et là.
Pireta veut changer cela avec ses nouveaux tissus connectés. La start-up britannique a donc mis au point un processus de fabrication garantissant toutes les fonctionnalités nécessaires aux tissus connectés. Et ce, sans qu’ils ne perdent leurs propriétés textiles. Un nouveau process pour un tissu connecté novateur Pour fabriquer son textile 2.0, Pireta attache une mince (mais résistante) couche de métal directement aux fibres du tissu. La tech a-t-elle vraiment sa place dans le secteur de la mode ? - Maddyness - Le Magazine des Startups Françaises. En fin de semaine dernière, Euveka lançait un véritable appel à l’aide sur la toile.
La startup française, récompensée de nombreuses fois pour son buste robotique capable de prendre les mensurations exactes d’une personne en quelques clics (elle avait notamment décroché le prix de l’innovation dans la catégorie « robots et drones » au CES 2018 et était arrivée finaliste du prix David et Goliath en 2019), a besoin de 300 000 euros afin de pouvoir payer ses 33 salariés à la fin du mois. Un cas isolé dans la Fashion Tech ? Pas vraiment. Dans le secteur de l’impression 3D, le fil peine également à se tisser avec l’univers de la mode.
Malgré une levée de fonds auprès d’investisseurs et une subvention publique, la startup Electroom, incapable de trouver un équilibre budgétaire, a mis la clé sous la porte il y a trois ans. Même les wearables – les vêtements connectés -, peinent à trouver leur cible. Des contraintes techniques trop nombreuses L’impression 3D connaît aussi ses propres limites. Les vêtements connectés d'Anina Trepte. New York - Des robes connectées qui ondulent, des vêtements qui réchauffent, voilà la proposition d'une ancienne mannequin, qui veut mettre la technologie au service de la mode et la rapprocher des femmes.
Il n'y a pas de vent, pas même une brise, mais la robe se gonfle progressivement, avant de retrouver son état initial. Une autre robe se termine par de grands pétales d'argent qui peuvent se redresser, façon floraison. Les robes connectées d'Anina Trepte, ancienne mannequin germano-américaine et fondatrice de la société 360Fashion Network, sont intelligentes et peuvent modifier leur apparence. Elle avait déjà montré certaines des créations réalisées grâce à ses produits dans des salons technologiques, notamment le Mobile World Congress de Shanghaï. Mais pour convaincre le monde de la mode d'investir ce nouveau champ des possibles, « Net », son surnom, a sollicité deux designers pour réaliser chacun trois modèles, présentés lors d'un défilé en marge de la Fashion Week de New York.
Les capteurs NFC des vêtements connectés améliorés. Une étude publiée dans la revue Advanced Itelligent Systems, présente les travaux d’une équipe de chercheurs en Chine ayant développé un moyen d’améliorer la qualité des capteurs NFC (Near Field Communication) sur les vêtements. La technique élaborée par les chercheurs sur les machines de fabrication, offre une meilleure résistance à l’élongation et à la déformation du tissu. Un tissu aux capacités NFC plus résistantes Pour améliorer la fiabilité des capacités NFC dans les vêtements, plusieurs techniques sont en fait combinées au moment du tissage. Un fil électroconducteur indéformable et protégé par à une bobine de fil superposée en zigzag, est ainsi brodé sur un tissu résistant à l’élongation. L’intérêt de cette technique réside dans sa capacité à garantir l’efficacité des technologies de captages d’énergie, et pour éviter d’avoir à ajouter une source externe d’alimentation.
Crédit : Wiley online library – Advanced Intelligent Systems.