Accouchement, mes droits, mes choix ! Qu’est-ce que la violence obstétricale ? Maltraitance obstétricale : mythe, exagération ou fatalité ? La maltraitance médicale est (vécue comme) un viol. Débat éthique La maltraitance médicale est (vécue comme) un viol par Marc Zaffran/Martin WincklerArticle du 25 février 2014 L’exemple de la table d’opération n’a rien d’exceptionnel : en faculté de médecine, en France, il a longtemps été – et il est encore – d’usage que les étudiants « apprennent » à faire des examens gynécologiques sur des patientes endormies, en salle d’opération.
Je parle d’interventions non gynécologiques, mais s’il s’agit d’interventions gynécologiques c’est pareil car ces patientes n’ont pas été prévenues. Les violences faites aux femmes... par les médecins. Les violences faites aux femmes... par les médecins par Marc Zaffran (Martin Winckler) Article du 25 novembre 2009 Contraception, IVG, Grossesse et accouchement : Les violences infligées aux femmes en France Si le respect qu’une culture ou un pays porte aux femmes se traduit par la représentation de celles-ci dans ses fictions télévisées, il n’est pas moins évident lorsqu’on observe le comportement ou le discours de ses médecins à l’égard des femmes qui les consultent.
En France, comme probablement dans l’ensemble des pays industrialisés, soixante-dix pour cent des personnes qui consultent un médecin sont des femmes. Dans la demande de soins, les femmes occupent donc une place centrale, incontournable. L’accès au soin, c’est d’abord l’accès à l’information et le libre choix des soins. Maltraitances gynécologiques et obstétricales. La conférence ci-dessous a été donnée par Fanny, membre du Bureau des Antigones, à la permanence parisienne du mouvement le 13 octobre 2016, dans le cadre de notre année consacrée au thème Femmes et Féminité.
Dénoncer la violence obstétricale #SMAR2017. «Sans oui c’est non, même quand j’accouche!»
Cette année, dans le cadre de la Semaine Mondiale pour l’Accouchement Respectée (SMAR), on parle de consentement et de violence obstétricale. Déjà depuis quelques jours on voit circuler sur les réseaux sociaux le slogan «Sans oui c’est non, même quand j’accouche!» Violences obstétricales : quand l’accouchement vire au cauchemar, aujourd’hui, les femmes en parlent. Ce devait être « le plus beau jour de sa vie ».
Mais, deux ans après, Hélène a encore du mal à raconter la naissance de sa fille. Elle en a fait une dépression. Non seulement parce qu'elle a cru mourir mais aussi parce que la clinique, près de Valence (Drôme), a refusé de lui présenter des excuses. « Quelques mois plus tôt, j'avais subi une chirurgie mammaire, j'ai été cent fois mieux traitée qu'à la maternité », raconte-t-elle. Son accouchement ne s'est pourtant pas fait en urgence - une explication souvent donnée pour justifier ce que l'on appelle désormais les violences obstétricales -, sa césarienne était programmée. Quand l’accouchement se vit dans la violence. Humiliations, gestes brutaux et actes médicaux imposés: de plus en plus de femmes prennent la parole pour dénoncer les «violences» vécues pendant leur accouchement.
Maltraitances obstétricales : "Souvent, une parole rassurante suffit" Césarienne décidée à la convenance de l’équipe, épisiotomie pratiquée sans consentement, douleur prise à la légère voire carrément niée, paroles infantilisantes ou culpabilisantes… Petit à petit, le voile se lève sur les maltraitances gynécologiques et obstétricales.
De plus en plus de femmes osent dénoncer des conditions d’accouchement qui, pour certaines, relèvent du traumatisme. Mais on entend encore peu la voix des sage-femmes sur ce sujet. À l’occasion de la semaine mondiale de l’accouchement respecté, du 14 au 20 mai, nous avons recueilli le témoignage de l’une d’entre elles. Des remarques souvent malheureuses face aux futurs parents. 10 femmes nous racontent les violences obstétricales qu’elles ont subies. Quand la culture du viol s'immisce dans la salle d'accouchement. Césariennes à vif, épisiotomies imposées… Le grand tabou des violences durant l'accouchement. L'accouchement, le plus beau jour de la vie d'une femme ?
"C'est en tout cas l'impression qu'on a quand on lit les témoignages de jeunes mamans sur Internet", reconnaît Ana. Mais pour cette trentenaire qui a eu un garçon en mars, la réalité a été un peu moins heureuse. "La venue au monde de mon fils a été l'une des pires expériences de ma vie. Abus dans la salle d'accouchement. L'accouchement, une violence dont les femmes ne sortent pas indemnes. «Plusieurs mois après mon accouchement, je me suis mise à ressasser des idées noires.
Je me disais que c’était ma faute si la naissance de ma fille s’était mal passée, que je ne savais pas accoucher. Et que par conséquent, je n’étais pas faite pour être mère.» Le problème avec le compte-rendu d'accouchement des pères sur Twitter. La mode consistant, pour certains jeunes pères, à nous gratifier sur Twitter du récit de l'accouchement de leur compagne, mais à la première personne, est absolument horripilante.
Ça peut paraître rigolo, touchant et sans grandes conséquences, mais cela participe pourtant à un phénomène qui n'a rien d'anodin: faire des papas des héros de l'accouchement, alors qu'aux dernières nouvelles, ils restent techniquement parfaitement dispensables. Et reléguer les femmes au rang de second rôle, passive et résignée. Et pas super rigolote. De ces femmes, on ne connait d'ailleurs souvent pas le nom. L’histoire de ma copine Cécile. Attention : cette BD parle de violences médicales. Merci à Cécile, Fabienne et mon poilu pour leurs sources et leur relecture Anne Frye, sage femme américaine engagée, parle de clitorotomie pour bien souligner ce qu’est réellement la pratique. Episiotomie : vos réactions. L'expression abdominale existe encore et c'est dramatique. Le 12 juin dernier, dans une interview publiée pour le magazine ELLE, le Pr Israël Nisand, président du Collège National des Gynécologues et Obstétriciens de France (CNGOF) a déclaré: «L’expression abdominale n’a plus lieu.
Si elle a lieu, c’est une faute technique et une faute professionnelle grave. Si vous connaissez un seul gynécologue qui a pratiqué l’expression abdominale, je l’appellerai personnellement pour lui dire de ne plus le faire. Le corps de la femme, temple sacré ou objet public ? « Il n’y a qu’un seul temple dans l’univers… c’est le corps humain. » Je me suis toujours sentie en accord avec cette phrase de Thomas Carlyle.
Mais après plusieurs années à en constater de nombreux démentis, j’en viens à me demander si le temple ne serait pas plutôt le corps de l’homme – celui avec un petit h. Les pieds dans les étriers. "Il me fait un bisou sur un sein" : maltraitance gynécologique, vos témoignages. Grossophobie médicale, parlons-en ! Vous avez vécu une expérience difficile : recours. Bibliographie violence obstétricale. Vous souhaitez travailler sur les violences obstétricales ? La prévention et l’élimination du manque de respect et des mauvais traitements lors de l’accouchement dans des établissements de soins : déclaration de l'OMS.
Luttes féministes autour du consentement. Violence obstétricale : émergence d'un problème public en France. Préconisations provisoires contre les violences obstétricales et gynécologiques. Violences obstétricales : comprendre, prévenir, réparer. La secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes a commandé un rapport au Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes pour faire la lumière sur le phénomène des violences obstétricales. Violences obstétricales : soignant·es et patientes, y faire face. Pour une analyse anthropologique des violences gynéco-obstétricales. Le titre en dit long : « Prévention et élimination du manque de respect et des maltraitances durant l’accouchement dans un établissement de santé » (en anglais, the prevention and elimination of disrespect and abuse during facility-based childbirth). Le consentement médical (1/2) Le consentement médical (2/2)
Accoucher dans la violence 1/2. Accoucher dans la violence 2/2. Maltraitance gynécologique. La relation soignant-soigné (4/4) : Consentement et violence en obstétrique et psychiatrie. Edictée en 2002, la loi Kouchner (Loi n° 2002-303) relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé est claire : «toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé.
Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.» Le gynécologue et la sorcière. Cervyx. Violences gynécologiques et obstétriques. Grossesse & Liberté. Mon corps, mon bébé, mon accouchement ! Marie accouche-là. CIANE : Collectif interassociatif autour de la naissance. AFAR : Alliance francophone pour l'accouchement respecté. Obstetric Violence in the Age of Plastics - Sara do Vale. Doctors violate American women’s rights in delivery rooms every day. Your body, your baby, your birth. Informed consent – a redundancy? Dutch research shows communication is crucial in childbirth. Dear OB, it’s not your vagina. Overmedicalization of Childbirth is a Breach of Women's Human Rights. Positive childbirth: birthing a better story. Um, how the hec do I make 'evidence based birth choices'?! Wombs as crime scenes: what happens when pregnant women lose their civil rights.
Home birth or C-section, pregnant women’s rights should be paramount. We need to talk about obstetric violence. Babies need better births. Despite differences in culture, US and India fall short in childbirth in similar ways. Birth Trauma: Psychological Trauma of Childbirth in Our Time. The doctor’s dilemma: is it ever good to do harm? Symphysiotomy – Ireland’s brutal alternative to caesareans.
Forced episiotomy: Kelly's story. Caroline Malatesta opens up about birth trauma, bait-and-switch advertising of Alabama hospital. One Born Every Minute. They Are People First, Then Patients. Birth Monopoly. Exposing the Silence Project. ImprovingBirth. Human Rights in Childbirth. The Positive Birth Movement. Birthrights. Informed consent and refusal.