Management : Les 4 Temps du Management. Le DRH face aux nouveaux défis managériaux : un optimisme raisonné. NDLR : Ce texte, reproduit ici avec l’aimable autorisation de l’auteur, a déjà été publié par la revue Personnel : Comme nous l’observons depuis des années, Cette période est de nouveau caractérisée par une forte morosité à l’égard des acteurs politiques et économiques car on a rarement vu un désamour aussi marqué vis-à-vis de nos dirigeants quel que soit leur champ d’intervention dans la sphère publique ou privée.
Dans un contexte qui n’incite guère à l’optimisme, le parti pris est ici de montrer que les DRH peuvent avoir de bonnes raisons d’être optimistes face aux défis managériaux qui vont impacter nos organisations – petites et grandes, privées et publiques – d’ici à l’horizon 2020. Sans prétendre à l’exhaustivité, il est possible d’identifier cinq défis face auxquels les DRH ont une vraie marge de manœuvre les conduisant à renforcer leur légitimité au sein d’un Comex : Des valeurs d’entreprise traduites dans l’action managériale quotidienne Un optimisme raisonné.
Responsabilité Sociale et Environnementale. La Défense et la Grande Arche, Puteaux, Paris, France (48°54’ N - 2°14’ E) © Yann Arthus-Bertrand / Altitude Nous sommes désormais 7 milliards d’habitants sur Terre et nous devrions être 2 milliards supplémentaires en 2040.
La demande croissante de biens et services a entraîné une raréfaction progressive des ressources naturelles. Ces dernières sont pourtant indispensables pour nous chauffer, nous déplacer, nous loger, nous nourrir et même nous soigner. Il devient donc nécessaire de repenser nos modèles de développement afin de les pérenniser : ces derniers doivent être économiquement efficaces, socialement équitables mais aussi écologiquement viables. La RSE n’est pas du mécénat. Management des Organisations. Emmaus une association et aussi des entreprises de l’économie solidaire. Une vidéo de 11 minutes . Les 24 styles de management dans le monde. Les styles de leadership et de management varient selon les pays.
On ne dirige pas une entreprise de la même manière en Allemagne, au Japon, aux Etats-Unis, en Suède ou en France. Tout est une question de culture. Dans son livre "When culture Collide", publié en 1996, le linguiste britannique Richard D. Lewis a classé les différences de culture du leadership selon les pays. Cette méthode, (résumée dans les 24 schémas ci-dessous) il la dispense désormais lors de séminaires pour de grandes entreprises. On y apprend notamment, comme le résume Business Insider, que les Britanniques sont plutôt "diplomates", ils aspirent à trouver un compromis juste, tout en étant parfois rudes en affaires. De leur côté, les managers américains sont plutôt agressifs et orientés vers les résultats avant tout. Selon Lewis, ces comportements n'évoluent pas trop avec le temps et restent une bonne grille de lecture, "même dans les pays où la croissance économique est rapide". Un siècle de management. D'Henri Fayol à Michael Porter en passant par Mary P.
Follett ou Peter Drucker, les grandes figures du management ont apporté, chacune à sa façon, leur pierre à l'organisation du travail et de l'entreprise depuis le début du XXe siècle. Le XXe siècle restera comme le siècle du management", écrivait Henry Mintzberg en 1989. C'est en effet dans les années 10 que paraissent les deux ouvrages fondateurs du management moderne: Les principes du management scientifique, de Frederick Taylor, en 1911, et Administration industrielle et générale, d'Henri Fayol, en 1916. Depuis, les problématiques des grands auteurs du management se sont beaucoup complexifiées, faisant notamment intervenir de plus en plus la psychologie.
La question de l'organisation du travail et de l'entreprise ne se posait guère en effet avant l'apparition de la manufacture, qui ne se généralise progressivement qu'à partir du XVIIIe siècle. Accès réservé. Le management conserve ses secrets. L'art de diriger et d'organiser une entreprise conditionne sa réussite.
Le management a donc largement inspiré les auteurs depuis Taylor. Sans qu'ils parviennent à dégager un modèle universel. La réussite ou l'échec d'une entreprise est, pour une part sans doute décisive, imputable à la capacité de ceux qui la dirigent à organiser le travail, à stimuler les hommes, à prendre les bonnes décisions au bon moment, sur la base des bonnes informations.
Alfred Chandler, un historien américain spécialiste de l'analyse des grandes entreprises, voit dans la façon de diriger et d'organiser une entreprise -ce que l'on appelle habituellement le management- la clé de la réussite des entreprises. Il ne suffit pas, en effet, de procéder aux bons investissements dans la production et dans la distribution. Accès réservé. Igor Ansoff, de la planification au management stratégique. Fondateur de la stratégie d'entreprise, Igor Ansoff a mis au point de nombreux outils utilisables pour l'analyse du développement et de la diversification des organisations.
Le nom d'Igor Ansoff est lié à la planification stratégique, une pratique de gestion qui a connu un succès considérable mais de courte durée. La stratégie est restée, la planification a disparu, et Ansoff lui-même est passé à un concept plus souple: le management stratégique. Pour comprendre cette Grandeur et décadence de la planification stratégique (titre d'un livre d'Henry Mintzberg), il faut considérer l'état des sciences de gestion au milieu du XXe siècle. L'organisation scientifique de la production de Frederick Taylor est alors enseignée dans toutes les écoles d'ingénieurs. Accès réservé.