Sans argent, sans réseau et sans diplôme, il crée son entreprise. Rien ne le prédestinait à devenir chef d’entreprise.
Cinq métiers menacés par la digitalisation et la robotisation de l'économie. La digitalisation de l'économie menace de nombreux emplois parmi les moins qualifiés et les plus pénibles.
C'est ce qu'affirme une étude de l'institut Sapiens, un think-tank fondé, entre autres, par l'essayiste Laurent Alexandre. L'auteur de l'étude, l'économiste Erwan Tison, affirme ainsi que «s'il existe une alternative technologique à un emploi humain, celle-ci sera systématiquement choisie, dans une optique de gain de productivité». En s'appuyant sur les chiffres de la Direction de l'animation, de la recherche, des études et des statistiques (DARES), du ministère du travail, l'étude donne un classement des cinq métiers les plus menacés par ces évolutions technologiques.
Hôtellerie : en attendant des jours meilleurs, les grandes chaînes soignent leur trésorerie. Pour faire face à la crise du coronavirus, le groupe Accor a annoncé le 4 août 2020 la suppression de 1 000 emplois sur un total de 18 000 dans le cadre d’un plan d’économies de 200 millions d’euros.
Son PDG, Sébastien Bazin, ne prévoit pas un retour au niveau d’activité de 2019 avant fin 2022, voire début 2023. Le secteur de l’hôtellerie, comme plus largement celui du tourisme et du transport, est durement touché par la crise. Ainsi selon un rapport des Nations unies publié début juillet, le secteur du tourisme mondial pourrait perdre jusqu’à 3 300 milliards de dollars, soit l’équivalent de 4,2 % du PIB mondial annuel, si l’interruption se poursuivait pendant 12 mois.
Dans ces conditions, comment les chaînes hôtelières parviennent-elles à survivre financièrement ? Pour tenter d’apprécier leur situation, nous avons sélectionné cinq grands groupes hôteliers internationaux : Accor (France), Intercontinental (Royaume-Uni), Hilton, Hyatt et Marriott (États-Unis). Une activité très dégradée. Réussir la mise en place d'une GPEC en entreprise.
La Gestion Prévisionnelle de l’Emploi et des Compétences (GPEC) permet de mieux gérer sa stratégie de ressource humaine (RH).
Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) : quand les RH deviennent stratégiques. Si la prise en compte de l’évolution des technologies est intégrée presque intuitivement aux stratégies d’entreprises, une vision réellement prospective des compétences fait encore souvent défaut.
La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est l’inconnue qui permet de résoudre l’équation entre prévision RH et grandes orientations stratégiques. Certaines entreprises ont le défaut de se focaliser exclusivement sur les innovations techniques, en oubliant que l’efficacité économique repose avant tout sur le fait de disposer de la bonne personne, au bon moment (ou au bon endroit) avec les bons outils. A trop s’intéresser à l’efficacité de l’outil, certaines entreprises oublient qu’il ne sert à rien sans un homme ou une femme qui le connait, le comprend et le maitrise. Et puisque les outils évoluent de plus en plus vite, il faut que les compétences et les expertises progressent au même rythme. Quand la gestion des ressources humaines devient stratégie. Réussir la mise en place d'une GPEC en entreprise.
TPE/PME : 10 astuces pour gérer efficacement votre trésorerie. Accueil Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter Actualités La trésorerie, c'est à dire la somme d'argent immédiatement disponible, est le nerf de la guerre d'une entreprise.
La grande majorité des dépôts de bilan est liée à sa mauvaise gestion. Il est donc crucial de la suivre et de la maîtriser - même si la tâche semble complexe et ingrate. Voici 10 pistes pour l'optimiser. 1. Une bonne gestion commence par un bon outil : doter son entreprise d'un logiciel efficace de comptabilité et de gestion commerciale, comme la solution Sage 50Cloud Ciel, destinée aux TPE et artisans, est un préalable. 2. Les retards de paiement sont fatals à beaucoup d'entreprises. 3.
Essayez au maximum de prévoir vos rentrées d'argent des mois à venir. 4. Et si on corrigeait les indicateurs financiers des effets de la crise ? La crise du coronavirus constitue un véritable choc financier pour les entreprises.
En réaction à cela, les indicateurs servant à mesurer la performance des sociétés vont-ils subir une métamorphose ? L’imagination des financiers est sans limites et la crise actuelle permet à certains d’entre eux de proposer un nouvel indicateur financier, l’« EBITDAC », qui pourrait s’imposer en Europe dans les mois à venir. Ce nouvel indicateur, qui commence à apparaître dans les communications des résultats financiers de certaines entreprises, permet de présenter le résultat de l’entreprise simplement en retraitant ce dernier des effets du coronavirus. De l’EBITDA à l’EBITDAC Avant la crise, les directions financières étaient communément habituées à utiliser l’EBITDA (earnings before interest, taxes, depreciation, and amortization) pour présenter leurs résultats.
Cet indicateur fondamental et international est dans l’esprit de tous les financiers. Gagner la confiance des banques. Réaliser un diagnostic financier de son activité : Comment ? Pourquoi ?