Comment la tentative de putsch du 23 février 1981 a renforcé la transition démocratique en Espagne - Geo.fr. L'image du lieutenant-colonel de la Garde civile Antonio Tejero Molina pénétrant, le pistolet à la main, dans l'enceinte des Cortes (chambre basse du Parlement) à la tête de près de 200 de ses hommes est restée dans l'Histoire.
Une cérémonie doit se tenir mardi au Congrès des députés sous l'égide du roi Felipe VI, dont le père, l'ex-roi Juan Carlos, qui a abdiqué en 2014, joua un rôle clé pour faire échouer la tentative de coup d'Etat dite du "23-F". Juan Carlos, dont l'image s'est énormément dégradée en raison de révélations sur sa vie privée et ses pratiques financières et qui vit depuis août en exil aux Emirats arabes Unis, sera le grand absent de cette cérémonie. Qu'est-ce que la “Reconquista” en Espagne ? - Choses à Savoir. Partage Tweet Email À l’orée du VIIIe siècle, presque toute la péninsule ibérique est sous le contrôle de colons musulmans.
Néanmoins, quelques principautés chrétiennes subsistent et résistent, notamment dans le nord-est de l’actuelle Espagne. Les Brigades internationales de la Guerre d’Espagne, vues par les BD publiées en France – Cases d'histoire. La « Retirada » et l’exil après la Guerre d’Espagne, à travers les BD publiées en France. Les femmes dans la Guerre d’Espagne, à travers les BD publiées en France. La Brigade irlandaise en Espagne : la croisade franquiste du général O’Duffy.
Le 25 février 1937, à l’instar des autres pays membres du traité de non-intervention le Dail irlandais vote l'interdiction du volontariat vers l’Espagne.
Ce motif est ensuite évoqué par O’Duffy pour faire rapatrier sa petite troupe, arguant des difficultés prévisibles pour combler les pertes subies. La Brigade compte bien un officier supérieur tué, semblant attester de combats « acharnés », mais on rapporte bientôt qu’il n’y a en tout et pour tout que 7 morts et 33 blessés. La légende des sept cités de Cibola. Pendant cinq siècles, les érudits ont débattu de ce que de Niza avait vu quand il avait affirmé qu'il avait trouvé Cibola, ou si il a simplement dit aux fonctionnaires espagnols ce qu'ils voulaient entendre...
La grande richesse que les Espagnols ont pris quand ils ont conquis les Aztèques d'Amérique centrale et les Incas de l'Amérique du Sud n'a fait qu'alimenter les croyances que toujours plus de richesses se trouvaient quelque part à l'intérieur de ce qui est maintenant aux États-Unis. Alors, quand le Frère de Niza a dit qu'il avait vu Cibola, les fonctionnaires espagnols étaient impatients de le croire... Flint est moins charitable à propos de la déclaration de de Niza. " Il n'a probablement pas vu [la ville]," dit Flint. " Au lieu de cela, dit-il, le prêtre a probablement raconté un long récit (faux ou vrai), qu'il a entendu des Indiens ".
Au lieu de retourner à Mexico, Coronado a incisté. Sources : un texte de Willie Drye (traduction Yves Herbo) et wikepedia.fr. Francisco Franco. Cette page est peut-être trop longue, ce qui peut poser des problèmes de chargement et rendre la lecture et la navigation inconfortables. Vous pouvez la raccourcir en résumant le contenu de certaines sections et en déplaçant leur contenu original vers des articles détaillés, ou en discuter. Guerre d’Espagne : des Brigades internationales au Secours populaire. Le documentaire Guerre d’Espagne, retour sur l’histoire, des Brigades internationales au Secours populaire sur le processus complexe de leur création ainsi que sur la solidarité d’hommes et de femmes volontaires, engagés militairement sur le territoire espagnol.
Il montre également l’importance des activités de solidarité dans plusieurs organisations de gauche à l’intérieur des frontières de la France. Le film cherche aussi à comprendre qui étaient les volontaires des Brigades internationales, quelles étaient leurs appartenances politiques, leurs origines et leurs motivations. Le portrait de leurs chefs, notamment André Marty et Luigi Longo dit « Gallo », s’accompagne de portraits photographiques de nombre de brigadistes, devenus « mythiques » pour certains, comme le Colonel Fabien ou le Colonel Henri Rol-Tanguy, mais aussi de très nombreux volontaires anonymes ou peu connus (le dictionnaire biographique du mouvement ouvrier « Le Maitron » relate le parcours de certains). Durée : 1h03. La Retirada: la commune se souvient… Impitoyable, le mois de février avec ses tempêtes et ses intempéries rappelle les souffrances endurées par les Républicains espagnols, jetés sur les chemins de l’exil, confinés sur les plages hostiles, fuyant l’offensive franquiste.
C’est le mercredi 5 février que l’hommage leur sera rendu au cimetière de Port-Vendres. En présence de l’association Ffreee (Fils et filles de républicains espagnols et enfants de l’exil), la cérémonie aura lieu à 17 h au pied de la stèle qui scelle la tombe des Républicains espagnols morts sur les bateaux hôpitaux basés dans le port, le Lyautey et l’Asni. Rendez-vous à 17 h 30 au ciné-théâtre Vauban pour des témoignages dont certains inédits. Tout d’abord une interview du commandant Robert, né José Antonio Alonso Alcalde, combattant dans l’armée républicaine espagnole, devenu après le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale résistant, passé au maquis comme chef d’état major de la 3e brigade de l’Ariège.