Cousinef. Faut-il reconsidérer la médiation documentaire ? 2010 Rapport GRCDI. Definition s culture informationnelle 2010. A.Serres Ecole defi culture informationnelle. A.Serres Problematique culture informationnelle. Formes ludiques formes educatives. Seminaire GRCDI 2012 texte E.Schneider. A crit principal 11.11. Les loisirs culturels des 6-14 ans. Contribution à une sociologie de l’enfance et de la prime adolescence. Introduction.
La lecture à l’épreuve de l’adolescence : le rôle des CDI des collèges et lycées. 1 Il semble inutile ici de citer des noms ou des références.
Chacun saura aisément les reconnaître, s (...) 1Portée par le développement d’une politique d’offre publique et les effets de la massification scolaire, la lecture s’impose désormais comme une pratique socialement et culturellement moins exclusive et par conséquent moins distinctive. Se diffusant par le biais de la scolarisation, elle s’est accompagnée d’une baisse sensible du nombre des « petits » lecteurs conjuguée à une diminution du noyau de ceux qui formaient les « grands » lecteurs et témoignaient symboliquement de la valeur de la pratique (Patureau, 1992 ; Baudelot et al., 1999). 2 Pierre Bourdieu (1979) évoquait à ce propos les droits d’entrée symboliques (tradition familiale, f (...) 2Il ne suffit pas, en effet, d’une plus grande proximité de l’offre publique de lecture pour que celle-ci se traduise par une égalité d’accès, notamment pour ceux qui en sont culturellement les plus éloignés2.
Base = 875 élèves. Les adolescents et la lecture, quinze ans après. Les jeunes ne lisent plus : avant-hier à cause de la bande dessinée, hier à cause de la télévision, aujourd’hui à cause d’internet.
Sans s’interroger ni sur la transformation du verbe lire en verbe intransitif, ni sur ce passé mythique où les adolescents, tel le petit Marcel de la Recherche qui, plongé dans sa lecture, laissait s’égrener les heures au clocher de Combray, auraient été passionnés de lecture, les discours de déploration ricochent de génération en génération. Et pourtant, pourrait-on rétorquer, des séries comme Harry Potter ou Twilight, mais également les romans de Pierre Bottero, de Meg Cabot, de Timothée de Fombelle sont de véritables best-sellers, sans parler des mangas, même malgré leur essoufflement récent 1. Mesurer les évolutions Tentons néanmoins l’exercice, à partir de deux enquêtes longitudinales : la première débute il y aura bientôt vingt ans 3. . « Tu regardes la télévision : – Jamais ou presque jamais ; – 1, 2 ou 3 fois par mois ;
Information, pouvoir d'agir, compétences, capacités : autour des mots autonomisation et empowerment. Douze propositions pour l'élaboration d'un curriculum info-documentaire by Alexandre Serres. Culture adolescente vs culture informationnelle. Les adolescents sont devenus, avec l’avènement du web 2.0, des producteurs de contenus et de documents en ligne.
Ils reprennent, sur internet, des images médiatiques qu’ils s’approprient, transforment et publicisent dans différents cadres d’autopublication, à la fois personnels et communautaires. Les blogs, forums de discussion, sites personnels ou encore sites de partages d’images et de vidéos [1][1] Flikr, Youtube, Dailymotion… deviennent les lieux de recompositions d’images, d’activités dites de « redocumentarisation », où de nouveaux documents-images sont créés à partir de documents déjà existants dans les médias. Nous proposons donc d’explorer la « culture informationnelle » à travers les pratiques numériques informelles des adolescents.
Nos observations et analyses nous ont conduit à nous intéresser au concept de « culture informationnelle ». S’ajoutant aux savoir-faire techniques et informatiques, les pratiques informationnelles interrogent la culture informationnelle. Seminaire GRCDI 2012 texte A.Serres. Un exemple de translittératie : l'évaluation de l'information sur internet / E-dossier de l'audiovisuel : L'éducation aux cultures de l'information. Titulaire du Capes de Documentation en 1992, enseignant dans les filières documentaires à l’Université Rennes 2, docteur en Sciences de l’information et de la communication en 2000,Alexandre Serres est depuis 2002 maître de conférences et coresponsable de l’Unité régionale de formation à l'information scientifique et technique (Urfist) de Bretagne-Pays de la Loire.
Membre de l’Équipe d’accueil 3207 PREFics (Plurilinguismes, représentations, expressions francophones, information, communication, sociolinguistique) à l’Université Rennes 2, il consacre l’essentiel de ses travaux à la culture informationnelle, la didactique de l’information, l’évaluation de l’information sur Internet et la formation des étudiants et des doctorants à l’information scientifique. Il a été membre du Comité éditorial et scientifique de Formist, et a participé aux travaux de l’ERTé (Équipe de recherche en technologie éducative) « Culture informationnelle et curriculum documentaire » de Lille 3. 1. 4. 10. 11. 13.
Quelle compétence informationnelle pour les usages juvéniles du Web ? 1Les pratiques connectées quotidiennes des adolescents ont fait l’objet de plusieurs enquêtes générales [Bevort Bréda 2006 ; Piette et al 2007 ; Kredens Fontar 2010].
Ont été mises à jour leurs pratiques de jeu, de communication et de socialisation, largement affectées au temps du loisir, mais aussi leurs pratiques d’information largement présentes et ce dans de très divers contextes (école, maison, maison de quartier....). Marqueurs de la sociabilité juvénile et de l’écart entre l’école et la maison, les pratiques de jeu et de communication sont les plus remarquées. Il nous paraît cependant nécessaire de dégager les pratiques d’information des usages juvéniles numériques ordinaires. Cela, dans un premier temps, pour mieux les connaître en tant que telles. Ensuite, du fait des enjeux sociopolitiques qu’elles portent. Cadre méthodologique 4Les pratiques d’information sont relatives à un « écosystème » informationnel et médiatique, incluant, entre autres, l’Internet. Faut-il reconsidérer la médiation documentaire ? L'approche par la médiation documentaire nous montre au regard des diverses recherches de ces dernières années, un ancrage très fort autour de préoccupations à dominante sciences de l'information et de la documentation, où les préoccupations communicationnelles restent encore peu interrogées.
Pourtant, la médiation recoupe également des propriétés de catalyse dans les diverses situations de communication, où les messages, les multiples interrelations, les dispositifs se révèlent être des illustrations de la conception médiatrice de la situation mise en oeuvre par le professionnel de l'information, l'usager, etc. Les tendances collectées confirment encore une faible centration sur les enjeux communicationnels de la médiation de la part des professionnels de la documentation. Penser la médiation documentaire revient également à considérer que les outils et les documents sollicités sont des formes d'accompagnements voulues par le professionnel. 2003-3 : Les adolescents : Sommaire. 2005-6 : Formation des usagers : Sommaire. 2007-6 : Nouveaux outils pour la recherche : Sommaire. 2010-5 : Pratiques socioculturelles : Sommaire. Développer les compétences dans les pratiques documentaires. Accueil > Publications > Les hors-série numériques > Développer les compétences dans les pratiques documentaires Commander ce numéro Un dossier composé pour une part de textes inédits, pour une autre part d’articles issus de nos archives : comme une occasion de revisiter les problématiques récurrentes dans le rôle des documentalistes en les confrontant à des nouveautés comme la généralisation des outils numériques et le socle commun de connaissances et de compétences.
La documentation est-elle une discipline d’enseignement au même titre que les autres ? Quelles missions pour le professeur documentaliste parmi ses collègues enseignants, dans l’établissement ? Quelles notions, compétences spécifiques aux pratiques documentaires ? N°470 - Les élèves et la documentation. N°486 - Culture de l’école, cultures des jeunes. Accueil > Publications > Les dossiers des Cahiers > N°486 - Culture de l’école, cultures des jeunes Coordonné par Nicole Priou janvier 2011.
N°498 Apprendre avec le numérique. 500 Apprendre au XXIe siècle. 508 Apprendre à chercher, chercher pour apprendre. Conceptions des élèves. ERTA Culture info rapport final Paris 22 01 2010. « Ce n’est pas s’appauvrir que de lire la littérature jeunesse aujourd’hui. Clémentine Vallée, enseignante de français au collège Pierre de la Ramée de Saint-Quentin, est passionnée de littérature jeunesse et partage sa passion sans compter heures et deniers.
Souvent peu considérée, cette littérature embrasse pourtant tous les genres dans des styles qui n’ont rien à envier à la littérature pour adultes. Explorant ses richesses dans sa classe et dans un club lecture, Clémentine Vallée est allée plus loin encore en créant avec son mari le site « Des livres et vous ». Rencontre avec une passionnée pour qui donner le goût de lire est un moyen sûr de rendre le chemin de la réussite accessible. Le site de Clémentine Vallée est le fruit de neuf ans d’expérience dans l’enseignement, de questionnements, de tâtonnements pour amener ses élèves à lire avec plaisir.
Au lycée, enseigner la littérature classique posait peu de difficultés mais en arrivant au collège, elle n’a pu que constater le faible appétit de ses élèves pour les livres. Clémentine Vallée Monique Royer. Butlen Max. Les politiques de lecture et leurs acteurs, 1980-2000. 1Proposant une vaste synthèse problématisée et remarquablement informée des diverses politiques de lecture élaborées et mises en œuvre en France au long des vingt dernières années du xxe siècle, l’ouvrage de Max Butlen – actuellement maître de conférences à l’université de Cergy-Pontoise et directeur adjoint de l’IUFM de Versailles – fera date à plusieurs titres.
Clairement doc: Club-lecture : comment faire venir (et faire lire...) les grands ? Et s'il suffisait de faire un club où on lit ? Ne riez pas ! Finalement, est-ce qu'on lit PENDANT mes clubs ? On cherche, on écrit, on rédige, on vidéote, on sonorise, on fait des photos, des reportages avec les photos, on fait des sélections, des affiches, on range les livres, on les couvre, on fait des pages Internet... Il faut dire que je cours après les lecteurs, et que si je fais un club-lecture classique, j'attends le chaland ! Donc j'ai pris le pli de les attirer avec des activités détournées. Mais les "grands" cherchent autre chose. Alors je me suis dit : pourquoi pas des gâteaux et des jus de fruits (merci le FSE), un créneau réservé 4e-3e, des RDV espacés de 3 semaines ou un mois (surtout pas toutes les semaines comme un club classique), et un jour qui change, tiens, pour ne pas tomber sur le même cours à chaque fois (soit on le rate et on le rattrape avec l'accord du prof concerné, soit tant pis on viendra la prochaine fois, ça tombera un autre jour).
De clubs lecture en ateliers de livres-objets, de concours en festivals. Propositions des professeurs-documentalistes du bassin du Haut-Grésivaudan (38). Rédaction : Laurence Piantino, collège Belledonne (Villard-Bonnot), et Françoise Silvestre, collège Marcel Chêne (Pontcharra, 38). Parce que l'envie de lire ne vient pas toute seule, parce qu'il faut la provoquer, stimuler la lecture est un axe de travail majeur dans les projets des CDI ou de politique documentaire en collège ou lycée. Dans les établissements scolaires, il ne s'agit, d'ailleurs, pas simplement de plaisir de lire, mais de compétences à développer autour de la langue écrite et de connaissances à acquérir dans toutes les disciplines. C'est pourquoi ces actions sont souvent menées en collaboration avec les enseignants, majoritairement de français, il est vrai. Aux origines du club de lecture.
La révolution industrielle a posé avec une ampleur sans précédent le problème de la formation des individus dans une société évoluée où les compétences techniques sont un élément essentiel de la vie collective. Le débat idéologique ouvert sur l'instruction publique par la Révolution française ne sera sans doute jamais clos. Les classes dirigeantes, lorsqu'elles ne rejetaient pas l'idée d'instruire les masses laborieuses, considéraient avec inquiétude l'institution de l'école primaire imposée aux communes par la loi Guizot (1833). L'école enseignait à lire, à écrire et à compter, mais elle ne préparait pas à l'exercice d'un métier et négligeait entièrement l'éducation morale.
C'est certainement la veillée qui a été le berceau de la lecture publique. Elle était un élément essentiel de la culture populaire. Dans les milieux populaires semi-alphabétisés de la France du siècle dernier, la lecture collective à haute voix est une manifestation spontanée. Un club lecture protéiforme et connecté ! Faire vivre un Club Lecture, c’est avoir envie de partager nos lectures et nos avis sur les livres. C’est aussi apprendre à argumenter et à accepter les opinions différentes. A l’heure des réseaux, c’est en plus prolonger la vie du club sur la toile et contribuer à la formation des élèves aux TICE tout en liant travail sur la forme et sur le contenu. Nous avons donc décidé, en accord avec les élèves, de varier nos échanges, nos découvertes et restitutions ! 1- Un club ouvert sur l’extérieur Nous programmerons des visites dans des bibliothèques, des librairies, salons mais aussi associations de promotion du livre comme Croqu’Livre, et autres lieux où le coeur des livres bat.
Au-delà des rencontres il faut aussi amener les jeunes à formaliser leurs avis, impressions, leur apprendre à trouver des entrées du livre, à fouiller l’histoire et à déployer des arguments. 2- Un club ouvert sur les réseaux Nous proposerons la mise en ligne de leurs critiques sur le site collaboratif Babelio. Fiches actions dynamique lecture 2013. Promotion de la lecture loisir : les actions qu'un professeur-documentaliste peut mener seul. Il aura fallu que j’attende mes 18 ans de doc pour m’avouer à moi-même que je pouvais être légitime dans l’organisation de projets lecture pour les classes, en dehors de l’enseignement du français. Je pense d’ailleurs que mes collègues l’ont accepté avant moi.