Libérer ses salariés des managers séduit mais fait débat. L’entreprise libérée, entre communication et imposture. A l’heure où le modèle d’entreprise libérée est glorifié dans les médias, autant spécialisés que grand public, François Gueuze expert en management des ressources humaines, prend la plume pour faire entendre une voix discordante.
Pour ou contre l’entreprise libérée ? A vous de vous forger votre propre avis. L’encadrement intermédiaire ne sert à rien sinon à contrôler en permanence, à la manière militaire, de pauvres collaborateurs asservis. Les fonctions support ne font qu’abriter des parasites vivant grassement sur le dos des « productifs ». Si vous pensez cela, alors le concept d’entreprise libérée est fait pour vous. Bien entendu, mon propos de départ est largement exagéré. Si vous êtes un ardent défenseur de l’entreprise libérée, passez votre chemin car cet article risque particulièrement de vous ulcérer ou allez directement m’insulter dans la zone de commentaires. Mais les questions importent parfois davantage que les réponses. >>Téléchargez notre e-book sur l'e-réputation employeur. Entreprise libérée. Le terme entreprise libérée (en anglais freedom-form company ou F-form company) désigne « une forme organisationnelle dans laquelle les salariés sont totalement libres et responsables dans les actions qu'ils jugent bon — eux et non leur patron — d'entreprendre[1]. »Elle rejoint le champ des approches de gouvernance partagée.
Présentation[modifier | modifier le code] Isaac Getz, dans un article académique de 2009[12], précise qu’à l'instar des architectes qui définissent une construction (par exemple un pont) à partir de sa fonction (permettre un passage par-dessus un obstacle) et non d'un ensemble de caractéristiques structurelles, « l’entreprise libérée est définie aussi à partir de sa fonction » (permettre la liberté et responsabilité d’initiative) et non d’un modèle[13]. Les 7 points qui différencient une entreprise libérée d’une organisation classique.
Chroniques d’experts Organisation Le 28/05/2015 Temps de lecture : 8 minutes Identifier les sept points communs des entreprises libérées permet de comprendre, en creux, ce qui peut dysfonctionner dans les organisations traditionnelles. Qu'est ce que l'entreprise libérée ? L'essentiel sur le concept. Définition de l'entreprise libérée Isaac Getz et Brian M. Carney ont théorisé des pratiques et des concepts observés dans de nombreuses entreprises à travers l'ouvrage " Liberté & Cie : Quand la liberté des salariés fait le succès des entreprises " publié en 2012.
Le principe de ces organisations est de laisser les salariés prendre des initiatives individuelles plutôt que de leur imposer des directives suivies de contrôles. Le postulat de base repose sur un climat de confiance et de reconnaissance collaborateurs dans lequel leurs compétences peuvent pleinement s'exprimer, si et seulement si, une liberté totale leur est accordée. Le système hiérarchique classique est remplacé par une structure plate où les collaborateurs s'auto-dirigent .
Cette démocratie ne signifie pas pour autant l'anarchie. L'autonomie est placée au coeur du système managérial. La phase ultime de l'entreprise libérée est l'holacratie. Téléchargez notre fiche pratique en pdf Bénéfices du modèle. Entreprise libérée : tout ce qu’il faut savoir. En cette période de baisse d'activité dans certains secteurs, de réorganisation des manières de travailler dans d'autres, nous voulons agir à notre échelle pour vous aider à vivre cette période au mieux.
Par solidarité, nous vous proposons de bénéficier d'un temps de questions-réponses sur l'organisation et la pratique du télétravail au sein de votre entreprise (outils, bonnes pratiques, retour d'expérience ...) Ce temps d'échange téléphonique est destiné plus particulièrement aux managers et dirigeants qui pratiquent ou envisagent la mise en place du télétravail. Entreprise libérée: définition, fonctionnement, avantages, mise en place... Petit à petit, les entreprises françaises prennent conscience des changements qui s’opèrent actuellement sur le marché du travail.
L’arrivée des nouvelles générations, les générations X et Y, change la donne et bouscule les vieux concepts du management. Pour croître, réussir et perdurer, les entreprises doivent désormais envisager leur organisation et leur fonctionnement d’une autre façon. Exit, la gestion en bon père de famille et les organisations hiérarchiques pyramidales, et place, aujourd’hui, aux salariés à la recherche d’un nouvel équilibre entre vie privée et vie professionnelle. Désormais, la carrière s’envisage autrement. Entreprise libérée : définition, exemples...
L'entreprise libérée est un mode de management théorisé par Isaac Getz. Cette théorie dont il existe plusieurs exemples pratiques possède des avantages et des inconvénients. Entreprise libérée, nouveau type de management des entreprises. Incarnation d’un nouveau modèle d’organisation et d’une nouvelle façon de manager, l’expression « entreprise libérée », s’étend et conquit de plus en plus d’entreprises.
Nouvelle tendance dans le milieu des ressources humaines il vise à intégrer l’humain au centre du fonctionnement de l’entreprise. Dans cet article, Storhy vous propose de définir ce qu’est l’entreprise libérée et comment mettre en place cette dynamique. Qu’est-ce qu’une entreprise libérée ? Le principe d’une entreprise dite « libérée », est de laisser aux salariés plus d’opportunités pour prendre la parole et s’exprimer sur la vie et le fonctionnement de l’entreprise. Cette prise de position de la part de certaines entreprises reflète l’envie de motiver les collaborateurs de manière concrète.
L'entreprise libérée, ce n'est pas que du bien-être - Capital.fr. Les entreprises libérées (EL) existent depuis plus de soixanteans.
Gore-Tex, Poult, Les Tissages de Charlieu, SGP, Michelin, ministère de la Sécurité sociale belge, CPAM des Yvelines… toutes ont été reconnues, ainsi que leurs patrons, par de nombreux prix de management. Depuis les années 2010, la troisième génération des EL a contribué à l’émergence d’un véritable mouvement de libération des organisations, y compris dans les administrations (1). Jurys, rapporteurs, experts, tous ont analysé les EL de manière très critique. Et les plus exigeants en la matière étaient sans doute les patrons eux-mêmes, lorsqu’ils se sont préparés à libérer leur entreprise. Ce serait, en effet, irresponsable de leur part d’engager à la légère une transformation aussi radicale que celle-ci.