2015 Abolitionnisme - Abolitionism. Ce dossier propose un examen de l’abolitionnisme dans le champ pénal.
Les contributions de Ruggiero, Charbit et Ricordeau, Carlton et Russell et Delisle et al. analysent les idées et dilemmes au cœur du projet abolitionniste. Les articles de Mathieu, Nagel, Saleh-Hanna et Chartrand problématisent la criminalisation et la peine et montrent le besoin d’alternatives à la répression étatique. Les textes de Aubert et Mary, Dubé et Carrier et Piché critiquent l’abolitionnisme et discutent l’avenir de la pensée et de l’action abolitionnistes. This special issue examines abolitionism in the penal field. Articles by Ruggiero, Charbit and Ricordeau, Carlton and Russell, and Delisle and colleagues examine key ideas and dilemmas animating abolitionist work. Alliance de recherche sur les discriminations - Ressources. Enquête - revue socio. Le blog de la revue Territoires. Les Éditions RAISONS D'AGIR. Carnet de recherche visuel, par André Gunthert. Les usages ordinaires des images L’histoire de l’art comme les visual studies privilégient une approche autonomiste des images, bien loin de leurs usages réels.
Utilisées comme supports de récit ou espaces de projection, les images interviennent dans la culture ordinaire de façon décorative ou utilitaire, à des fins principalement référentielles, comme des outils de transaction ou de naturalisation des formes culturelles. Seule la prise en compte de la globalité des dispositifs, des circulations intermédiales et de l’interaction avec la réception permet de comprendre les particularités et les forces des ressources visuelles. A travers une série d’études de cas, le séminaire se donne pour objectif de dégager les conditions théoriques d’une analyse du rôle du visuel dans la culture.
Blog:
Revue du mauss. Les émeutes urbaines à l’épreuve des situations locales. 1 Ainsi, les affrontements avec la police constituent un facteur discriminant.
Ils ont été particuliè (...) 2 Selon les données du ministère de l’Intérieur, 9790 véhicules de particuliers ont été incendiés dur (...) 1La vague d’émeutes urbaines survenue en France dans les cités de banlieue à l’automne 2005 aura surpris tout le monde. Jamais en effet des troubles de cette nature n’avaient connu une telle ampleur en France – mais aussi en Europe –, tant par leur intensité que par leur durée et leur échelle. Durant près de trois semaines, on a assisté non seulement à des affrontements violents 1 avec les forces de l’ordre, mais surtout à des milliers de voitures brûlées et à des centaines de bâtiments dégradés ou détruits dans près de 300 communes 2 Jamais aussi l’émeute n’avait connu une telle médiatisation, que ce soit par les médias locaux, nationaux et internationaux, les chaînes de télévision, la presse écrite ou sur le Net. 3C’est de là dont je suis parti.
Publications. La racaille en politique. Racaille.
Ouvrons le dictionnaire (allemand). Nous y trouvons : « Lumpen ». Le ministre de l’Intérieur français a donc repris à son compte le vocable de mépris et de haine qu’employaient Marx et Engels pour qualifier la plèbe que le gouvernement provisoire avait lancée contre les ouvriers, en 1848. À leurs yeux, ces gueux étaient définis par leur caractère d’être hors-classe, hors-classement, d’être en dessous de tout ; en dessous même du prolétariat. Pour Nicolas Sarkozy, il s’agit également d’individus qui ne peuvent être rangés dans une catégorie sociale particulière, sauf celle d’être des « jeunes défavorablement connus des services de police ».
Partons sur les traces de cette population particulière au point d’être définie par son incompressible marginalité. Le contentieux police/jeunes, et le tournant des années quatre-vingt dix. Virtual Library: Sociology: Journals and Newsletters. Érudit. Persée. Revue SES : articles socio. Ent'revues : la Revue des revues. Revues.org : portail de revues en sciences humaines et sociales. Agone. Cette livraison de la revue Agone traite du problème de l’immigration en France mais pas du point de vue des étrangers.
L’idée est de voir comment les « élites » ( la presse, les politiques, les fonctionnaires, le patronat, les syndicalistes, les universitaires...) arrivent à créer un « problème», à le rendre visible et/ou redoutable, à en occulter certains aspects… Au XIXe siècle, on ne parlait que de migrations - à l’intérieur de la France, de la campagne vers les villes. Dans les années 1870-1880 on commença à parler d’immigration car les étrangers ont commencé à faire peur et sont devenus un thème important, aussi bien dans la presse que dans les discours des politiques. Gérard Noiriel dans « Naissance d’un problème 1881-1883) » raconte très bien comment cela s’est passé et pourquoi ce thème est devenu un « problème ». Antoinette Richard Libresens n°181, janvier-février 2008 Images de l'immigré Gérard Noiriel ausculte la naissance du « problème » migratoire. René Diaz Michel Rogalski. Liens Socio.