Une corde tissée par Néandertal découverte dans une grotte en France. En Ardèche, l'Abri du Maras est connu de tous les spécialistes de Paléolithique moyen.
La grotte a accueilli des Hommes de Néandertal pendant longtemps. Une nouvelle découverte témoigne de l'intelligence de notre cousin. L'Abri du Maras, situé en Ardèche, a été le foyer d'Hommes de Néandertal pendant une longue période. Les archéologues y ont retrouvé de nombreux vestiges, essentiellement lithiques appartenant au Moustérien, du Paléolithique moyen.
Aujourd'hui, c'est une autre trouvaille faite sur ce site qui témoigne du mode de vie des Néandertaliens : une minuscule cordelette trouvée à trois mètres sous la surface. La molaire d’enfant néandertalien de Genay (Côte-d’Or, France). Réflexions sur la variabilité dentaire des Néandertaliens. 1La Brèche de Genay est située sous le promontoire Sud de la Montagne de Cras, sur la commune de Genay (Côte-d’Or), lieu-dit « Montagne de Girault ».
Le gisement fut découvert fortuitement en 1834, et a fait l’objet de nombreux travaux et visites durant les deux derniers tiers du XIX e siècle. Après quelques décennies d’oubli, de nouvelles fouilles furent entreprises par J. Une ancienne lignée humaine « fantôme » exhumée de l'ADN de populations africaines. Comme les Européens portent l'héritage génétique de l'Homme de Néandertal, quatre populations d'Afrique de l'Ouest, étudiées dans une nouvelle publication, conservent aussi des gènes archaïques.
Sauf qu'il s'agit d'une ancienne espèce humaine inconnue. Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Interview 4/5 : pourquoi l'homme de Néandertal a-t-il disparu ? L’homme de Néandertal est un représentant aujourd'hui bien connu du genre Homo. La paléoanthropologue Silvana Condemi évoque pour nous la disparition mystérieuse de cette espèce. L'Homo sapiens est apparu pour la première fois en Afrique il y a environ 300.000 ans. Les vestiges d'une cité antique oubliée depuis 1300 ans refont surface en Ethiopie. En Ethiopie, des archéologues ont mis au jour les vestiges d'une cité nommée Beta Samati qui aurait autrefois constitué un centre important du royaume d'Aksoum.
Parmi les débris, ils ont identifié les restes d'une basilique qui apporte un nouvel éclairage sur l'arrivée du Christianisme en Afrique. Dans les plateaux poussiéreux du nord de l'Ethiopie, une cité antique oubliée depuis plus de 1.000 ans vient de refaire surface. Et elle a révélé des vestiges d'une importance cruciale pour les archéologues. La cité est en effet le fruit d'une des civilisations antiques les plus influentes d'Afrique, celle de l'empire d'Aksoum. Influentes mais aussi énigmatiques. Comment les nationalismes puisent dans les civilisations perdues ou inventées pour se construire ? - Ép. 1/4 - Le goût des civilisations perdues. Dans un petit magasin d’antiquités, qui était en réalité un véritable bric à brac, on peut trouver une série de vieilles photographies encadrées : des portraits d’hommes et de femmes du siècle dernier, des portraits de familles, en noir et blanc, des messieurs au regard sévère et des femmes qui prennent la pose.
Le vendeur avait cru malin - et ça l’était - de placer un écriteau à côté de photographies: « Si vos ancêtres ne sont pas beaux, achetez en de nouveaux ! » Il aurait pu ajouter : « Si vous n’avez pas de photos de vos ancêtres, vous pouvez en acheter ! » Se chercher des ancêtres honorables et un passé prestigieux, c’est ce qu’ont fait les nationalismes pour se construire, car les civilisations perdues sont parfois des civilisations qui ont été inventées pour répondre aux aspirations contemporaines !
Un chewing-gum raconte l’histoire de celle qui l’a mâchouillé il y a 5.700 ans. Lorsque vous mâchouillez un chewing-gum, vous y laissez un peu de votre salive.
Et c'est aujourd'hui un « chewing-gum » vieux de 5.700 ans que des chercheurs ont analysé. Leurs travaux révèlent non seulement les origines de sa mâchouilleuse, mais aussi la couleur de ses yeux, les germes que sa bouche hébergeait et la composition de ses repas. Il a été découvert lors de fouilles archéologiques effectuées par le Museum Lolland-Falster à Syltholm dans le sud du Danemark. Un « chewing-gum » qui a depuis été étudié par des chercheurs de l'Université de Copenhague (Danemark). « Syltholm est vraiment un site unique. Presque tout est scellé dans la boue, du coup, la préservation des restes organiques est phénoménale », explique dans un communiqué un coauteur de l'étude, Theis Jensen, chercheur à l'université de Copenhague.
Un génome humain ancien et complet récupéré : une première ! Des agents pathogènes, des noisettes et du canard. Une splendide fresque indonésienne de 44 000 ans. Une découverte exceptionnelle « C’est sans doute la plus ancienne scène de chasse de l'art préhistorique » connue à ce jour, indique, enthousiaste, l’archéologue québécois Maxime Aubert de l’Université Griffith de Brisbane (Australie), principal auteur de l'étude, fouillant en Indonésie depuis au moins 2014 (1).
Elle représente une scène de chasse préhistorique peinte il y a au moins 44 000 ans, découverte en 2017. Les représentations surnaturelles, mi-humaines, mi-animales, appelées « thérianthropes », suggèrent une culture artistique aboutie, voire les prémices d'une religion. Nos ancêtres s'amusaient avec ce jeu vieux de 4.000 ans. En Azerbaïdjan, un archéologue a mis au jour un jeu de société vieux de près de 4.000 ans.
Un témoignage précieux des interactions multiculturelles ancestrales. Le célèbre archéologue Howard Carter en avait déjà retrouvé un exemplaire datant du XVIIIe siècle avant notre ère dans le tombeau égyptien du pharaon Amenemhat IV. Voici désormais qu’une version plus ancienne encore du "jeu des 58 trous" vient d’être découverte - cette fois en Azerbaïdjan - par un archéologue américain, Walter Crist, chercheur au Muséum américaind'histoirenaturelle de New York. Peuplement préhistorique du Bassin supérieur de la Loire (Le) SANVIGNES LES MINES - humeurs et passions. À la préhistoire, au paléolithique et surtout au néolithique, des lieux-dits "La Tagnerette, la Tour Va, la Vigne, les Chaumes" ont été occupés et des outils en silex retrouvés sont conservés au musée du Mont-Saint-Vincent.
A l'époque gallo-romaine, Jules César est passé sur notre territoire et raconte dans " la Guerre des Gaules", une bataille qui aurait pu avoir lieu au pied de la "Theurée" (colline en celte) entre les Romains et les Hélvètes. Le Dr Laroche en a fait le récit dans un livre écrit en 1929, repris par Monsieur Gaudiaut dans un ouvrage paru en 1997 "De Sine-Vinea à Sanvignes".
Ces livres sont disponibles à la bibliothèque de Sanvignes. Un peu d'histoire... À la préhistoire, au paléolithique et surtout au néolithique, des lieux-dits "La Tagnerette, la Tour Va, la Vigne, les Chaumes" ont été occupés et des outils en silex retrouvés sont conservés au musée du Mont-Saint-Vincent.
A l'époque gallo-romaine, Jules César est passé sur notre territoire et raconte dans " la Guerre des Gaules", une bataille qui aurait pu avoir lieu au pied de la "Theurée" (colline en celte) entre les Romains et les Hélvètes. Le Dr Laroche en a fait le récit dans un livre écrit en 1929, repris par Monsieur Gaudiaut dans un ouvrage paru en 1997 "De Sine-Vinea à Sanvignes". Ces livres sont disponibles à la bibliothèque de Sanvignes. Sine-Vinea est le premier nom connu du lieu. Le château. Un puissant château-fort occupait autrefois la partie nord de la colline, à un endroit où l’on a exploité, bien plus tard, une carrière de pierres dans laquelle on avait trouvé, depuis le XIXe siècle, des emplacements de sépultures avec plusieurs centaines de squelettes, des pièces d’or et d’argent, et aussi des fragments de carreaux décorés en partie de fleurs de lys.