Exposition et Kit d'action Les découvreuses Anonymes. Expo LE FEMINISME. À Toulouse, une affiche du centre de formation des apprentis aux métiers du BTP épinglée pour sexisme. Pour les internautes, le message n'est pas bon.
Publiée il y a plusieurs jours sur les réseaux sociaux, l'affiche qui annonce les portes ouvertes du Centre de formation des apprentis aux métiers du BTP de Toulouse n'est pas passée inaperçue. L'évènement ne débute que le 25 janvier mais l'image fait déjà causer. " Ma fille est inscrite à Pôle emploi et a reçu l'invitation aux portes ouvertes dans la newsletter du mois de janvier, elle était estomaquée de découvrir l'affiche", commente Bérangère, originaire du Gard.
Théorie du genre, explications : le genre n'est pas une théorie. L’expression « théorie du genre », employée pour désigner les Gender Studies, ou « études de genre » en français, est un contresens.
Voilà un fait établi. Les Gender Studies sont un champ d’études interdisciplinaires, relativement nouveau. Elles sont apparues en Amérique du Nord dans les années 1970-1980. Elles rassemblent toutes les questions portant sur les différences de genre, de sexualité, de comportements dans des disciplines aussi diverses que la littérature, le langage, l’histoire, la politique, la sociologie, l’anthropologie, le cinéma, la communication (étude des médias), le droit, la médecine, et la liste continue.
Par exemple, en politique, on étudiera le féminisme. Voilà par exemple, une question qui a toute sa place au sein de ce que l’on appelle les études de genre. La "théorie du genre", c’est quoi ? La "théorie du genre" provoque des remous dans une frange de la société.
Une polémique est née au début de la semaine sur son hypothétique enseignement à l’école dès la maternelle selon certains, par des militants de la cause homosexuelle affirment d’autres. Le ministre de l’Education et la ministre de l’Egalité sont montés au créneau pour couper court à la rumeur. Pourtant, de nombreuses personnes s’inquiètent de cette "théorie du genre" et de ses conséquences, sans nécessairement en connaître le contenu et les origines. Europe1.fr fait le point. >> A lire aussi : Un rapport de l'OMS à l’origine de la rumeur. L’émancipation de la femme par sa robe, toute une histoire. La femme a longtemps été contrainte à la beauté immobile, dans des drapés aux coupes régies par les lois.
C’est par l’étoffe et un ouvrage très illustré de peintures, gravures et photographies historiques – La Robe. Une histoire culturelle. Du Moyen Age à aujourd’hui (Seuil) – que Georges Vigarello nous le rappelle. Car la robe «épouse une vision du monde». Et le monde fut longtemps dominé par les hommes. Lire également: Cette virilité qui fait du mal aux hommes Durant des siècles, la silhouette féminine est ainsi coupée en deux, sa taille soulignée par des laçages et armatures austères destinés à «installer le haut du corps sur un piédestal», les jambes cachées dans des tissus volumineux gênant le moindre déplacement.
55641ac. Le hashtag "Balance ton porc" est-il allé trop loin ? 1.
Il ne faut pas confondre drague maladroite et agression sexuelle “La pulsion sexuelle est par nature offensive et sauvage”, considèrent les signataires de la tribune dans Le Monde. Pour elles, trop de fois l’amalgame est fait entre drague maladroite et agression sexuelle : ainsi certains hommes perdent leur travail parce qu'ils “n'ont eu pour seul tort que d'avoir touché un genou, tenté de voler un baiser, parlé de choses intimes lors d'un dîner professionnel ou d'avoir envoyé des messages à connotation sexuelle à une femme chez qui l'attirance n'était pas réciproque”.
Elles font référence entre autres à Eric Monier, ancien directeur de rédaction de France 2, accusé de harcèlement sexuel par Anne Saurat-Dubois. Après un déjeuner, la conversation avait rapidement dévié sur les préférences sexuelles du dirigeant, rappelle L’Express. 2. 3. 1. 98% des violeurs ne sont pas condamnés 2. “Time’s up” disent les Américaines. 3. Avoir une opinion c’est bien, des arguments c’est mieux. "Balancer" est-il une réponse au harcèlement sexuel ? C'est une réaction en chaîne.
Aux Etats-Unis, les accusations de harcèlement sexuel se succèdent contre le producteur de cinéma américain Harvey Weinstein. En France aussi, la parole se libère, sur Twitter, avec un appel on ne peut plus direct: #balance ton porc ! Balance ton porc ? Non merci ! Il est dans l’air du temps d’embarquer les femmes dans des affrontements directs contre la gent masculine et des combats féministes picrocholins.
Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre et chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, soutient la campagne #Balancetonporc qui a enflammé les réseaux sociaux et dont la vague, loin de s’amortir, augmenterait exponentiellement pour frôler la limite de la guerre des sexes. Ce paysage effervescent de paroles indignées, de témoignages douloureux de femmes qui ont été harcelées, agressées et violées et qui brisent le silence est sous-tendu par une toile de fond mesquine, humiliante et dégradante à l’égard de la femme. La douleur est grande, aussi grande que le silence résigné des femmes et l’hypocrisie des agresseurs, qui, souvent occupent des pôles de puissance dans la hiérarchie professionnelle, sociale, politique, etc.
Représentations des filles et des garçons. ×En naviguant sur notre site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour vous proposer une navigation optimale et nous permettre de réaliser des statistiques de visites.
En savoir plus. Recherche Thématique Les champs marqués d'un * sont obligatoires. Comment lire une image publicitaire avec les élèves ? L'exemple de la représentation de la femme dans la publicité. Pourquoi étudier la représentation de la femme dans la publicité ? Réfléchir à l’image de la femme : une nécessité Qu’il s’agisse d’enseigner en zone défavorisée ou dans un établissement plus privilégié, il semble certain que l’image de la femme se dégrade, y compris chez les plus jeunes. La pauvreté du vocabulaire en un bon indice ("meuf" sert de mot à tout faire). Pour amener progressivement les élèves à évoluer il peut être intéressant de partir de leur culture publicitaire, qui tend à se substituer de plus en plus à l’ancienne culture générale. Le féminin ou le mauvais genre de la publicité. Introduction Une des contraintes du discours publicitaire consiste à « raconter une histoire » en très peu de temps, en très peu de mots et avec des ressources visuelles forcément limitées : si une affiche ou une annonce presse invente une histoire mettant en scène un personnage féminin, le lecteur doit en deviner assez vite les tenants et les aboutissants sans le secours d’un texte narratif qui organiserait linéairement le déploiement du récit.
Devant cette histoire sans parole, on ne s’étonne pas de voir le publicitaire glisser assez vite de l’économie de moyens à la tentation de facilité. Quoi de plus simple en effet que de mettre en scène le produit vanté aux côtés d’une jolie jeune femme souriante et muette ? TERRIENNES : Petite histoire de la condition féminine en 68 conquêtes - TV5MONDE. La condition féminine. Nuit des idées 2019 : « La condition féminine au présent est inédite », selon Camille Froidevaux-Metterie.