La morale peut-elle reposer sur l’émotion? La photo d’un enfant mort sur une plage aura donné un visage (enfoncé dans le sable) à la misère humaine.
What the Image of Aylan Kurdi Says About the Power of Photography. The heartbreaking photograph of a dead 3-year-old boy, whose body washed up in Turkey on Sept. 2, has already had an impact on policy, with the U.K. agreeing on Friday to take thousands more refugees.
The image itself also marks important new ground, photography experts tell TIME. Aylan Kurdi and his 5-year-old brother, Galip drowned after their overloaded boat capsized off of the coast of Turkey. Aylan’s body was discovered on one of Turkey’s beaches in the Bodrum Peninsula. Images of the ghastly find, photographed by Nilufer Demir from Turkey’s Dogan News Agency, were shared on social media and on the front pages of newspapers around the world, particularly in the U.K. and in Europe. As they spread, and as individuals and organizations faced the decision of whether and how to publish them, those pictures have ignited a new kind of conversation about the crisis. Front Pages Around the World Memorialize Drowned Syrian Boy Aylan Kurdi Bouckaert hopes Levi Strauss is right. Pour le JDD, des photographes décryptent le cliché du petit Aylan. Un enfant mort, noyé, la tête contre le sable, au bord de la mer.
Cette photo du petit Aylan, qui tentait avec ses parents de fuir la Syrie via la Turquie, a fait le tour du monde. Photo d'Aylan Kurdi : "Libération" et la photographe s'expliquent. Comment la photo d'Aylan s'est propagée sur les réseaux sociaux. VIDÉO - L'image du corps sans vie d'un petit garçon syrien a fait le tour de la planète grâce aux médias et aux réseaux sociaux.
Lorsqu'elle l'a vu, elle s'est sentie «glacée». Nilüfer Demir est la photographe turque à l'origine du cliché d'Aylan Kurdi, un enfant syrien de 3 ans retrouvé mort mercredi matin sur une plage de Bodrum, en Turquie. «Nous nous baladons régulièrement sur ces plages depuis quelques mois. Mais hier (mercredi), c'était différent», expliquait-elle jeudi à la chaîne d'information CNN-Türk. «Nous avons d'abord vu le corps inanimé du plus petit garçon, puis celui de son frère aîné. Vous utilisez un bloqueur de publicité Pour poursuivre la lecture de nos articles, nous vous proposons deux solutions : Photo d'Aylan, l'enfant kurde : le point de vue d'un historien. FIGAROVOX/TRIBUNE - Pierre Rigoulot inscrit la photo du petit Syrien mort dans la lignée de ces photos qui ont bouleversé l'humanité.
Pierre Rigoulot est directeur de l'Institut d'histoire sociale. Un gosse. Migrants : la guerre des images. Mort d’Aylan : mensonges, manipulation et vérité. Depuis la publication de la photo du petit Aylan, le 2 septembre, les hommages se sont multipliés, entraînant également des tentatives de manipulation.
Quand l’image change de camp - L'image sociale. Entre le 19 août et le 13 septembre 2014, les vidéos de l’exécution brutale par décapitation de trois otages américains et britannique, James Foley, Steven Sotloff et David Haines, ont été diffusées par l’organisation terroriste ISIS/EI, comme autant d’éléments d’une stratégie de communication concertée.
Extrait de la vidéo de l’exécution de David Haines, diffusé par BFMTV, 14/09/2014. Hervé Gourdel, la mort qui nous fige : comment les djihadistes ont tout compris des secrets pour produire chez nous l’effroi maximum. Notre réaction face à la mort n'est pas la même dans toutes les situations, nous sommes tout particulièrement émus par celle du Français Hervé Gourdel, décapité ce mercredi 24 septembre, et même davantage que par des meurtres de masse tel que le génocide rwandais par exemple, et ça les djihadistes de l'Etat islamique l'ont bien compris.
Comment nous faire peur Hervé Gourdel a été décapité ce mercredi. Vidéo d'exécution d'Hervé Gourdel : les différents traitements des médias français. Pour traiter l'exécution de l'otage français Hervé Gourdel, les télévisions ont fait des choix différents, certaines refusant de diffuser la moindre image en provenance des islamistes.
C'est un débat récurrent dans les médias. Faut-il ou non montrer les images des vidéos d'exécution d'otages ? Cette question s'est de nouveau posée avec une dramatique actualité hier après-midi, après la mise en ligne d'une vidéo montrant la décapitation du touriste français, Hervé Gourdel, par un groupe islamiste algérien. La diffusion à la télévision de l'exécution est évidemment inenvisageable. Le débat n'est en revanche pas tranché dans les médias en ce qui concerne la diffusion de certains extraits ou captures d'écran. Contenu partenaireUne place de cinéma à gagner immédiatement ! Médias : comment parler de l’« Etat islamique » LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Christophe Ayad En repoussant les limites de l’horreur, les djihadistes de l’organisation Etat islamique (EI) et de leurs émules algériens de Djound Al-Khilafa (« Soldats du califat »), qui ont assassiné l’otage français Hervé Gourdel mercredi 24 septembre, bousculent les médias chargés de traiter de ces questions.
L’EI a, en effet, surpassé dans la cruauté, et surtout dans sa mise en scène, tous les groupes terroristes connus à ce jour. Une rhétorique et une idéologie moyenâgeuses, filmées avec le professionnalisme et l’esthétique des séries américaines dernier cri ou celle des jeux vidéo les plus violents, notamment dans le cas du film de propagande Flames of War (55 minutes). Faut-il diffuser les images de l’exécution d’un otage ? « Marketing Stratégique, Opérationnel. Communication. Nous avons tous entendu parler de l’exécution de Hervé Gourdel, ce ressortissant Français, guide de Haute Montagne, partie en Kabylie pour réaliser un trek et enlevé par un groupe terroriste. Une grande question se pose, les médias doivent-ils diffuser les images de son exécution particulièrement barbare ? Questions et analyse sur l’exécution du journaliste américain kidnappé en Syrie James Foley.
Autres articles Résistance 71 22 Août 2014 Nous avons attendu quelque temps avant de faire quelques commentaires sur ce dernier évènement qui est fait pour empêcher les gens de penser et les faire réagir sur une base émotionnelle. Quoi de plus émotionnel en effet que l’exécution quasi “en direct” d’une personne kidnappée par des malfaisants ? … Cette vidéo analytique de Paul Joseph Watson ( ) permet de poser quelques questions essentielles, sans y apporter de réponses pré-conçues.