(2) Comment contenir une épidémie : l'exemple du coronavirus ? COVID-19 : notre action – Santé publique France. Notre action de prévention par la production de messages et la mise à disposition d’outils pour tous.
Fiche synthèse - ressource. Diapo support capsule. AT Quelle politique de santé pour faire face à l'épidémie de COVID-19? AT Quelle politique de santé pour faire face à l'obésité? Cours IFSI conceptsSP déterminants santé. Santé publique. Histoire de la SP. IReSP QSP40. En France, le Covid-19 a beaucoup tué dans les villes pauvres. Mieux vaut être riche et bien portant que pauvre et malade : la phrase de Francis Blanche, même prononcée avec le sourire, a pris des allures de dicton.
Le comédien aurait-il pu imaginer que quelques décennies plus tard, un vilain virus donnerait à sa boutade le sérieux d’un résultat scientifique ? Quatre économistes français viennent en effet de montrer que le Covid-19 tue d’abord, et de façon particulièrement importante, les plus modestes. En croisant les données de mortalité, le revenu des communes et les zones de déconfinement, ils mettent en évidence, pour la première fois, par une étude systématique, l’excès de mortalité provoqué par l’épidémie dans les municipalités aux revenus les plus bas.
Leur travail vient d’être rendu public, en prépublication, sur le site d’archives ouvertes HAL. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Covid-19 : « Refuser de prendre en compte les inégalités sociales face à la maladie est suicidaire » Encore fallait-il choisir les bonnes données. Enquête nationale sur l'épidémie du Covid-19. Les 135 000 réponses au questionnaire de mai ainsi que les résultats des 12 000 analyses sérologiques ont permis à la DREES et à l’INSERM d’obtenir les premiers résultats de l’enquête EpiCov.
Cet onglet vous présente les principaux apports de cette enquête : En mai 2020, la proportion de personnes âgées de 15 ans ou plus ayant été en contact avec le virus SARS-CoV-2, responsable du Covid-19, est estimée à 4,5 % en France métropolitaine. Cette séroprévalence était plus élevée à Paris (9,0 %), dans les départements de la petite couronne (9,5 %) et dans le Haut-Rhin (10,8 %).Les personnes qui vivent dans des communes densément peuplées ou dans des logements surpeuplés ont plus de risques de présenter un test positif. Pour plus d’informations : EpiCov dans la presse (sélection d’articles) :+ Les Echos+ Franceinfo+ Ouest France+ France Culture+ Le Figaro.
Le Covid-19, une maladie socialement inégalitaire. Cette photo était attendue depuis longtemps.
Une image tout à la fois large et détaillée de l’impact de la pandémie de Covid-19 en France. Quelle proportion de la population avait été infectée par le virus ? Quelles professions, quels groupes sociaux, issus de quelles origines ? Mais plus largement encore, comment l’épidémie et les règles nouvelles qu’elle nous a imposées avaient-elles pesé sur la vie des Français, dans toute leur diversité ? Graphiques Impact de la mortalité liée au Covid 19 selon les communes. Dress 62 Inégalités sociales face au covid 19. Coronavirus (COVID-19) L’épidémie de COVID-19 en France Le point sur la situation (28 mars 2021) En semaine 11 (du 15 au 21 mars 2021), l’ensemble des indicateurs, déjà à des niveaux très élevés, ont continué de progresser, avec notamment une augmentation de 17% du nombre de nouveaux cas.
Cette accélération touche l’ensemble des régions (excepté la Corse et Provence-Alpes-Côte d’Azur) ; dans cinq départements d’Île-de-France, le niveau d’incidence atteint, voire dépasse, le niveau observé lors de la 2e vague de l’épidémie. La dégradation de l’ensemble des indicateurs entraine, dans plusieurs régions, une très forte tension sur le système hospitalier. Avec la progression de l’épidémie, la tension hospitalière va s’accentuer dans les jours à venir. L’adoption systématique des gestes barrières et la limitation des contacts est indispensable dans le contexte actuel.
Obésité. Le Royaume-Uni annonce un vaste plan de lutte contre l’obésité. « Perdre du poids est difficile, mais avec quelques petits changements, nous pouvons tous nous sentir plus minces et en bonne santé », a déclaré le premier ministre britannique, Boris Johnson.
Hospitalisé au printemps en soins intensifs après avoir contracté le Covid-19, il a imputé plusieurs fois la sévérité de ses symptômes, entre autres, à son poids. Son gouvernement a décidé, lundi 27 juillet, d’un vaste plan de lutte contre l’obésité, après la publication d’une étude confirmant que l’obésité est un facteur aggravant du Covid-19. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Coronavirus : aux Etats-Unis, l’obésité, un facteur aggravant qui pourrait être dévastateur « Aider les gens à prendre de bonnes décisions » La campagne En meilleure santé, lancée par les autorités sanitaires britanniques, « invitera les gens à adopter un mode de vie plus sain et à perdre du poids s’ils en ont besoin », a détaillé le NHS, qui veut lutter contre « la bombe à retardement qu’est l’obésité ».
Obésité et Covid-19. Le lien est avéré entre obésité et risque de complication, à cause des pathologies annexes, mais également indépendamment de celles-ci.
Face à ce constat alarmant – et au-delà du contexte épidémique actuel – le ministère des solidarités et de la santé rappelle l’importance des gestes barrières et renforce sa feuille de route obésité par une série de mesures adaptées. Parmi les dernières qui soient disponibles, une étude menée par les équipes du CHRU de Lille montre que plus de 47 % des patients infectés entrant en réanimation sont en situation d’obésité et que la forme sévère (à savoir un IMC supérieur à 35) augmente significativement le risque d’être placé sous respiration mécanique invasive, indépendamment de l’âge, de l’hypertension artérielle et du diabète.
Le respect du confinement et des mesures barrières est indispensable pour les personnes en situation d’obésité, notamment si leur entourage comporte un cas suspect ou avéré. Obésité : prévention et prise en charge. Contexte En France, 17 % de la population adulte est obèse, ce qui représente plus de 8 millions de personnes.
Maladie chronique évolutive allant de l’obésité simple à l’obésité sévère et/ou complexe, elle est un facteur de risque majeur pour les pathologies les plus fréquentes (maladies cardio-vasculaires, diabète de type 2, etc.). Les conséquences psychologiques et sociales, comme la mésestime de soi, la dépression, la stigmatisation, sont conséquentes et délétères. On constate quatre tendances fortes, propres à la France, qui persistent en dépit des efforts engagés par les pouvoirs publics depuis plusieurs années : L’augmentation de la proportion des personnes évoluant vers une obésité très sévère, qui correspond à un indice de masse corporelle IMC > 40 kg/m².
Plan obésité : les principales mesures de l'offre de soins. Publication des recommandations de la haute autorité de santé (HAS) En octobre 2011, la HAS a publié deux recommandations l’une pour la prise en charge des l’adulte, l’autre pour la prise en charge de l’enfant et de l’adolescent.
Ces recommandations destinées aux médecins traitant ont pour objectif d’améliorer la qualité de la prise en charge médicale de premier recours des personnes ayant un surpoids ou une obésité. Un plan d’action de lutte contre l’obésité infantile en Europe (2014-2020) - Société Française de Nutrition. Pnsp 2018 2019. WP 202044.