Sans titre. #AlertePollution Rivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter ! Un village caché au coeur de la forêt amazonienne. Et une zone protégée du Brésil, dans l’Etat du Matto Grosso du Sud. En théorie et sans doute plus pour longtemps, les indiens y sont les maîtres. C’est là que ce sont réunies depuis quelques jours plusieurs dizaines de chefs de tribu indiennes. Hier, entre des séries de danses rituelles, les chefs indiens ont annoncé une union sacrée contre la politique environnementale du président. Purement et simplement. Bolsonaro a annoncé qu’il allait autoriser les compagnies minières à s’installer sur les territoires indiens. Le chef indien le plus célèbre, Raoni, un des plus anciens défenseurs connus de la forêt, veut aller à Brasilia porter la résolution des chefs indiens au Parlement. Pour le moment personne. La déforestation de l'Amazonie a augmenté de 85 % en 2019 par rapport à l’année précédente. Sans titre.
L’assassinat le 1er novembre d’un militant indien sur ses propres terres, théoriquement protégées par un statut fédéral, confirme les signes annonciateurs d’une destruction pure et simple de ces peuples, s’indigne le quotidien Estadão.
Quand on se réveille avec, aux informations, la nouvelle de l’assassinat d’un Indien lors d’une embuscade, on sait que la journée sera lourde. Nos pensées oscillent entre la perte de toute foi en l’être humain et l’état des lieux de notre action, concrète, pour lutter contre ce genre de situations, au-delà de l’indignation générale sur les réseaux sociaux. L’assassinat de Paulo Paulino Guajajara, 26 ans, nous laisse hébétés. Car aux côtés de la tristesse s’installe aussi la certitude que c’est un génocide des Indiens qui est en cours. Maria Fernanda Ribeiro. Stoppez le génocide au Brésil - Survival International. Signez la pétition mondiale pour mettre fin au génocide au Brésil Monsieur le Président, Je vous prie de respecter la constitution, ainsi que les lois internationales ratifiées par le Brésil, et de veiller à ce que les territoires autochtones soient protégés contre les invasions illégales et les interventions extérieures, afin que les peuples autochtones en aient l’usage exclusif.
Cela comprend la terre des peuples non contactés. Le Brésil abrite plus de peuples non contactés que tout autre pays de la planète. Leurs terres doivent être protégées pour éviter leur génocide et pour leur permettre de survivre et de prospérer. Les premiers peuples du Brésil sont au cœur de votre nation et leur survie est importante pour toute l’humanité.
Je me fais écho des revendications des peuples autochtones à travers le Brésil : veuillez permettre à la FUNAI de protéger les territoires des peuples autochtones et veuillez vous assurer que leurs droits soient pleinement respectés. Appel des peuples indigènes : « Depuis l’élection de Jair Bolsonaro, nous vivons les prémices d’une apocalypse » Coupe du monde 2014 : le scandale de la nouvelle expulsion violente d'indigènes de l'aldeia Maracanã. Aledia Maracanã : une enfant sommairement expulsée par une brigade anti-émeute le dimanche 15 décembre 2013 C'est la série noire pour l'administration de Dilma Rousseff et la FIFA.
Après l'effondrement récent, à Sao Paulo, d'une partie du stade inaugural de la Coupe du monde (2 morts), ils doivent faire face à l'indignation suscittée par la nouvelle expulsion violente, dimanche 15 décembre 2013, des indigènes de l'aldeia Maracanã, alors que celle du 22 mars avait déjà choquée le monde entier. Les indigènes et des militants les soutenant avaient décidé de réintégré les lieux deux jours plus tôt, après avoir constaté qu'avait débuté la démolition des bâtiments situés sur leur terrain annexé, alors qu'il leur avait été promis que ceux-ci seraient maintenus en l'état.
Ce lieu serait resté inconnu du grand public sans la tenue prochaine de la Coupe du Monde au Brésil, qui a fait basculer toute la surface de l'aldeia Maracanã dans le domaine de la spéculation financière mondiale. [Belo Monte] Sous pression, le gouvernement suspend les études de barrages sur le rio Tapajós. Sous pression depuis deux mois d'affrontements et de résistance des indigènes Munduruku, le gouvernement fédéral a suspendu les recherches pour la construction de barrages hydroélectriques.
L'annonce a été faite pendant la réunion sur la place publique en fin d'après-midi de ce dimanche 23 juin, à Jacareacanga, à l'extrême ouest du Pará. Les chercheurs qui étaient dans la zone indigène ont quitté la ville. "La Funai et le gouvernement fédéral, comme un tout, suspendent tout type de recherche en cours dans votre région", a affirmé la porte parole de la présidence de la Fondation Nationale de L'Indien, Lucia Alberg, malgré le fait que le ministre Gilberto Carvalho ait annoncé publiquement qu'il ne suspendrait ni les travaux, ni les études. "Nous nous sentons très heureux", souligne le chef des guerriers Paygomuyatpu Munduruku.
"Elle ne nous a encore fourni aucune preuve de cela, mais nous sommes très satisfaits avec ce qu'elle a dit". "Nous avons libéré les chercheurs. Sources : CIMI.