A lullaby under the nuclear sky. Naoto Matsumura, le Japonais retourné vivre à Fukushima pour s’occuper des animaux abandonnés. Après la catastrophe nucléaire de Fukushima, Naoto Matsumura, un homme de 55 ans est retourné vivre en zone d’exclusion où il s’occupe depuis trois ans des animaux abandonnés d’urgence lors de l’évacuation des villes environnantes.
Lorsque le 11 mars 2011 le Japon a été frappé par l'accident nucléaire de Fukushima, tous les habitants des villes environnantes ont été évacués d’urgence, laissant derrière eux leurs effets personnels mais aussi leurs animaux. Ces laissés-pour-compte ont aujourd’hui trouvé leur protecteur : un homme de 55 ans, Naoto Matsumura, désormais connue sous le nom de gardien des animaux de Fukushima. En dépit des mesures de sécurité imposées par les autorités, ce Japonais est retourné vivre dans la zone d’exclusion qui s’étend sur une vingtaine de kilomètres autour de la centrale. Il est l’un des seuls à s’être établi de nouveau dans cette région sinistrée et complètement désertée. Nucléaire 3 : Après Fukushima (rediffusion de l'émission du 20 octobre 2012)
Pan Macmillan Australia: About the Book. On 11 March 2011, Japan was rocked by the most violent earthquake in her history and one of the largest ever recorded.
The quake itself was just the start of a chain of disastrous events, creating a massive tsunami that slammed the shores of north eastern Japan. Close to 20,000 people were killed or disappeared under waves that reached more than 40 metres high as they smashed their way several kilometres inland. Message d’une Française au Japon aux députés de France. De Tokyo, Japon, le 30 mai 2013 Mesdames et Messieurs les députés, Je vous écris du Japon, je viens d’apprendre qu’un débat au sein de l’Assemblée Nationale, ce soir, fera enfin sortir de l’ombre la douloureuse question du nucléaire.
Vous allez notamment évoquer l’accident de Fukushima. "Fukushima, le monde de l'absurdité" : entretien avec Kenichi Watanabe. Lundi 4 mars 2013, dans une péniche parisienne pleine comme un œuf, Le Monde après Fukushima est projeté en avant-première en présence de son réalisateur Kenichi Watanabe.
Un documentaire poignant et beau, dans lequel il revient sur la catastrophe du 11 mars 2011 et sur la vie des habitants depuis lors. Les lumières se rallument. Stupeur et tremblements. Une semaine plus tard, je le retrouve dans un café du côté de Montparnasse. L’homme semble serein, plein de douceur. Le jour du séisme, Kenichi Watanabe est au Japon. Dès son arrivée en France, désastre chevillé au cœur comme une bombe de volonté et de colère, il prépare avec Arte pour son prochain documentaire. "LA RADIOACTIVITÉ, COMME L’ARGENT, N’A PAS D’ODEUR", dit le commentaire. L’Etat japonais récemment devenu actionnaire principal, aide Tepco à gérer les conséquences de la catastrophe, à hauteur d’environ 13 milliards d’euros. L’installation fuit toujours. Le réalisateur insiste : "les gens de Fukushima -tous !
TEPCO’s Feb 2013 Release of Fukushima Diiachi photos taken March 2011. Enformable’s reproduction of the photos: Unit-3-after-explosion Unit 3 Unit 4 Unit 3 water spraying Unit 2 and 3 Like this: Like Loading...
Le dernier homme de Fukushima. Haruko Boaglio : "L'accident nucléaire est une réalité" Haruko Boaglio (Photo P-Mod) Haruko Boaglio, militante antinucléaire japonaise, habitait à moins de 50 km de la centrale de Fukushima.
Elle a fui le Japon immédiatement après la catastrophe et depuis deux ans, elle parcourt l’Europe pour témoigner qu’un accident nucléaire n’est pas de la science-fiction. 'I am one of the Fukushima fifty': One of the men who risked their lives to prevent a catastrophe shares his story - Asia - World. As he said goodbye to his colleagues they saluted him, like soldiers in battle. The wartime analogies were hard to avoid: in the international media he was a kamikaze, a samurai or simply one of the heroic Fukushima 50. The descriptions still embarrass him. “I’m not a hero,” he says. “I was just trying to do my job.” Silence Deafening, Fukushima Fallout... A Mother's Response.
FukushimaVoice. Fukushima un an après. Fukushima: Speech by 15 year old Kokoro Fujinami. This video is a speech by Miss Kokoro Fujinami at an anti-nuke rally at Yoyogi Park in Tokyo on February 11, 2012, where approximately 12,000 people participated.
(Translated by Caitlin Stronnel) Hello everyone, I’m Kokoro Fujinami. It’s been almost a year since the Great Eastern Japan Earthquake. My values have changed so much over this year. Even though this nuclear accident will go down in human history as a major disaster, the government and the media are trying to portray it as nothing important. Greetings from FD. Hello everyone.
I’m Mochizuki Iori. Thank you for reading Fukushima Diary all the time. I’m trying to make a video like Arnie Gundersen or C busby. I stayed in Japan for 9 months after 311. I knew I was exposed but I couldn’t leave. And now cesium pollen is starting to fly. A 200 km de Fukushima, un Francais temoigne de sa vie. " Le Japon pour moi c'est fini " – Environnement – Actualité – Loir-et-Cher. Vous êtes partie dès la catastrophe de Fukushima le 11 mars dernier, pourquoi ?
« J'étais au courant des risques nucléaires, puisque je militais timidement contre. En octobre 2010, nous avions manifesté devant la mairie de Fukushima contre l'arrivée du mox, mais nous n'étions que six à nous relayer ! Notre maison était à Miharu, à 45 km de Fukushima ; nous sommes immédiatement partis dans la région de Tokyo mais nous étions conscients que les dangers des radiations allaient jusque-là. Mon mari étant français, nous avons fait le choix très douloureux de partir, pour notre petite fille de 4 ans. Ce Japon qui n'existe plus... J'ai commencé ce blog sous l'impulsion de mon second voyage au Japon, en 2010.
Ce pays m'a donné l'inspiration, le courage de me lancer sur la toile, d'y exposer en public mes photos, mes écrits, mes avis, ma sensibilité. Depuis le début de l'année, ma présence s'est faite discrète. Mon étang, mon espace, est indéniablement lié au Japon et aujourd'hui, à sa douleur. Le 11 mars 2011. Jean-Paul Jaud revient de Fukushima : "c’est simple, j’ai filmé un crime" Jean-Paul Jaud. (PHOTO F. L) Le réalisateur de "Nos enfants nous accuseront" était à Saint-Julien-de-Peyrolas hier. Message in a bottle from the kids of Fukushima to the world.pdf - Powered by Google Docs. Récits de Fukushima - Bande-annonce.