Décrochage scolaire. PDF- Phobie scolaire, décriptage par un psychiatre. Thèse PDF- Phobie scolaire et suicide à l'adolescence. Phobie scolaire. La phobie scolaire. La phobie scolaire, c’est la peur irrationnelle (c’est-à-dire sans motif apparent) d’aller à l’école.
Elle se caractérise par une incapacité physique et psychique à se rendre sur les lieux et à suivre les cours. Elle est en outre le signe (le symptôme) d’une grande anxiété. Cette peur incontrôlable peut n’avoir aucun lien avec l’école en elle-même. La phobie scolaire est à différencier du décrochage scolaire où on peut certes ressentir de la démotivation, un grand désintérêt pour les cours et un certain mal-être, mais physiquement on peut se déplacer jusqu’à l’établissement. Quels sont les signes de la phobie scolaire ? Souvent des maux de ventre (allant jusque des vomissements) ou des maux de tête apparaissent.
Rester à la maison, faire les devoirs à domicile, s’occuper de la petite sœur, se reposer, se promener en ville font partie des choses rassurantes. Comment ça arrive ? Comment peut-on y faire face ? Phobie scolaire : troubles anxieux liés à l'école et phobie scolaire. Qu’est ce que la phobie scolaire?
La phobie scolaire est une angoisse allant crescendo survenant dès que l’élève doit se rendre dans son établissement, jusqu’à l’impossibilité pour certains de quitter la maison. Elle peut s’exprimer avec des signes de souffrance physique réels plus ou moins marqués : douleurs abdominales, nausées, palpitations, sensation de malaise insupportable, crises bruyantes. Phobie scolaire. Crises d’angoisse, maux de ventre, vomissements… Submergés par la peur, la détresse, certains enfants et adolescents se rendent complètement malades à la simple idée de mettre un pied à l’école.
Un phénomène en augmentation, affirment les spécialistes qui voient chaque année de plus en de cas se présenter en consultation. Anne-Laure Vaineau Sommaire « Phobie scolaire », « anxiété scolaire », « refus scolaire anxieux » : autant de dénominations derrières lesquelles se trouve la même manifestation : « une peur intense de l’école, qui conduit l’enfant à éviter systématiquement de s’y confronter » résume la psychologue Béatrice Copper-Royer dans son livre Peur du loup, peur de tout (Albin Michel). Difficile d’imaginer que l’école, lieu de socialisation de l’enfant par excellence, mais aussi des apprentissages, puisse rendre certains de ses écoliers aussi malheureux. Un phénomène encore flou Sans chiffres officiels, difficile de savoir combien d’enfants et d’adolescents sont concernés. Stress des examens : comment aider mon enfant à se préparer. La phobie scolaire - Enfants. « Qui a eu cette idée folle, Un jour d'inventer l'école, C'est ce sacré Charlemagne (…) » Même si ce refrain des années 60 fait sourire la plupart d’entre nous, il a témoigné en son temps des difficultés de certains enfants à s’adapter à l’école.
Ah, ce sacré Charlemagne ! Pas si responsable que ça finalement, mais dont le rôle de bouc-émissaire a servi pendant bien longtemps à tous les écoliers apeurés... ou même aux enfants souffrant de phobie scolaire. S’il a fallu attendre Jules Ferry en 1882 pour rendre l’école obligatoire, il a suffi de peu pour initier la mode de l’école buissonnière. Pour la première fois évoquée en 1941, on apprend que sécher l’école n’est pas toujours synonyme de paresse, mais parfois le fait d’angoisses et de craintes pas toujours exprimables. Intimidation à l'école: les souffre-douleur victimes de la génétique. «Nous avons été surpris par le degré de corrélation entre la victimisation et la génétique», explique Michel Boivin, psychologue à l'Université Laval, qui publie ses résultats dans la revue Child Development.
«C'est probablement parce que nous avons pris quatre mesures différentes. Mais le lien est indéniablement là.» Les chercheurs ont analysé le parcours de 800 jumeaux de la région montréalaise. Le tiers d'entre eux étaient monozygotes, c'est-à-dire génétiquement identiques. Ils leur ont d'abord demandé s'ils étaient victimes d'intimidation, puis ont demandé l'avis de leurs camarades de classe et de leur professeur. Conclusion: la génétique expliquait 70% du risque de victimisation. «Dans une autre étude qui sera publiée sous peu, nous montrons que les victimes d'intimidation, au début du primaire, ont souvent des problèmes de comportement ou d'hyperactivité, explique le chercheur. Avoir un jumeau rend plus populaire.
L'intimidation à l'école modifie l'expression d'un gène et la réaction future au stress. L'intimidation à l'école change la structure entourant un gène impliqué dans la régulation de l'humeur, ce qui rendrait les victimes plus vulnérables aux problèmes de santé mentale en vieillissant, selon une étude québécoise publiée dans la revue Psychological Medicine.
L'étude, menée par Isabelle Ouellet-Morin de l'Université de Montréal, visait à mieux connaître les mécanismes qui expliquent comment les expériences difficiles, telle qu'une "expérience de victimisation à l'enfance", dérèglent la réponse aux situations stressantes. Ces expériences modifient à la fois la réponse au stress et le fonctionnement de gènes impliqués dans la régulation de l'humeur. Une étude précédente de la chercheuse, réalisée à l'Institut de Psychiatrie de Londres (Grande Bretagne), avait montré que les enfants victimes d'intimidation sécrétaient moins de cortisol, une hormone du stress, mais présentaient davantage de problèmes d'interactions sociales et de comportements agressifs.
Voyez également: Site de l'association PHOBIE SCOLAIRE Accueil.