CORRUPTION : COMMENT BLACKROCK A INFILTRÉ L'ÉTAT FRANÇAIS. « Mon amie la finance » : comment le Brexit a jeté la France dans les bras des banques. Ce 4 juin, l’hôtel Shangri-La, dans le 16ème arrondissement de Paris, accueille une conférence organisée par le Financial Times et son magazine The Banker, sous le patronage de Bank of America Merill Lynch.
Son titre « Pourquoi la France maintenant ? ». Du président de la Banque de France à la patronne « internationale » de la banque états-unienne Morgan Stanley, on y retrouve tout le gratin de la banque et des régulateurs financiers français, britanniques et européens. La veille, l’Autorité bancaire européenne, chassée de Londres par le Brexit, a officiellement pris possession de ses nouveaux locaux à La Défense. Deux événements qui montrent à quel point le vent a tourné depuis qu’un précédent candidat à la présidence de la République, François Hollande, avait clamé à qui voulait bien le croire que « mon adversaire, c’est le monde de la finance ».
En réalité, les velléités de réforme qui ont suivi l’effondrement financier de 2008 ont été marquée d’une profonde ambivalence. GILETS JAUNES : GRÈVE GÉNÉRALE ? RÉPRESSION JUDICIAIRE, FEMMES GJ, DENIS ROBERT ET ÉVASION FISCALE. Extraits_-_kerviel_une_affaire_detat_-_julien_bayou.pdf. Goldman Sachs a dépensé plus de 700.000 euros en lobbying à Bruxelles en 2014. Emprunts toxiques : l'État préfère défendre les banques plutôt que les collectivités flouées. C’est un nouveau rebondissement dans l’affaire des emprunts toxiques, dont les collectivités locales et les établissements publics [1] se seraient bien passés.
Le 24 juillet dernier, le Conseil constitutionnel a validé une loi empêchant les collectivités locales d’attaquer les banques qui leur ont vendu, quelques années plus tôt, des « emprunts toxiques ». Jusqu’alors, plusieurs collectivités avaient assigné la banque Dexia, le Crédit agricole, la Société générale ou la Royal Bank of Scotland devant les tribunaux - et réussi à obtenir réparation. Le principal argument des collectivités : elles n’avaient pas été informées du taux effectif global (TEG) du prêt. Autrement dit, elles s’étaient engagées sans connaître précisément le coût réel des intérêts des emprunts auxquels elles souscrivaient. Une situation intenable pour les acteurs publics locaux, qui ont décidé d’attaquer les banques en justice. Compte rendu de lecture du livre d'Éric Toussaint, Bancocratie. L’entrée au gouvernement Hollande d’Emmanuel Macron, ex-associé-gérant ou fondé de pouvoir de la banque Rothschild, comme ministre de l’économie, venant après tant d’autres nominations très importantes du même type, donne toute son actualité au titre du livre.
Celui-ci cependant n’est pas un pamphlet, mais un travail dont l’auteur fixe la barre très haut. Éric Toussaint annonce que son livre « décortique le fonctionnement des banques et met à jour leurs accointances avec les gouvernements et l’ensemble des grandes entreprises privées. Il révèle l’un des visages du capitalisme : la bancocratie. (…) Le livre apporte un nouvel éclairage permettant (aux 99 %) de mieux connaître l’ennemi, de comprendre ses motivations et la logique des politiques qu’il impose. Réponse à François Chesnais. François est convaincu que pour « que tous les lectrices et les lecteurs puissent pleinement profiter de la masse d’informations contenue dans ce livre épais, il aurait fallu un cadre théorique solide », je crois que son argument est pertinent mais qu’il est à relativiser.
Je suis convaincu que les lecteurs et les lectrices trouveront dans Bancocratie des informations et des arguments solides qui leur permettront de se joindre au mouvement de rejet du capitalisme pour agir en faveur de solutions radicales favorables à l’émancipation. D’autres, qui sont déjà profondément engagés dans le mouvement y recueilleront des informations et des arguments supplémentaires et pourront les partager avec leur entourage. Une troisième catégorie, sans se joindre au mouvement alter, y puisera des antidotes aux fables racontées par ceux qui nous gouvernent. En effet, il est important de prendre en compte que le livre porte pour l’essentiel sur un processus qui est en cours. Rothschild, une banque au cœur du pouvoir. Quand les banquiers infiltrent les sommets de l’Etat. Support the Anti-Corruption Act: get money out of politics.
Les banques spéculent sur les devises, manipulent le marché des changes et la taxe Tobin est dans les limbes. Les banques sont les principaux acteurs sur le marché des devises.
Elles entretiennent une instabilité permanente des taux de change. Plus de 95 % des échanges de devises sont de type spéculatif. Une infime partie des transactions quotidiennes en devises concerne des investissements, du commerce de biens et de services liés à l’économie réelle, des envois de migrants,… Le volume quotidien des transactions sur le marché des devises tournait en 2013 autour de 5 300 milliards de dollars ! LOBBYING FINANCIER confrérie de Banquiers.
Comment les lobbies détricotent la taxe sur les transactions financières. Tribune : "La démocratie malade de la délinquance financière" Eric Alt sera ce samedi à la librairie Kléber pour présenter son livre (Document remis) Eric Alt est magistrat, conseiller référendaire à la Cour de cassation depuis 2007, membre du syndicat de la magistrature et de l’association Anticor.
Alors que démarre le Forum mondial de la démocratie à Strasbourg, il sera ce samedi à la librairie Kléber à l’occasion de la parution de son livre « L’Esprit de corruption ». Il s’exprime ici sur les millions dérobés aux États du fait de la corruption. Parmi les principaux thèmes du Forum mondial de la démocratie, les organisateurs ont judicieusement choisi : « Peuple contre argent : rupture de confiance ? » Une table ronde sur « l’argent et la démocratie » est programmée mercredi 10 octobre. Car l’incendie part, aux États-Unis, d’une fraude gigantesque au crédit hypothécaire. La propagation de l’incendie en Europe révèle d’autres malversations. 8% des avoirs mondiaux dans les paradis fiscaux Endiguer l’appauvrissement des États.
La montée en puissance de l'économie dans le débat public. Acces rapide a la navigation principale acces rapide a la navigation secondaire acces rapide au contenu acces rapide au contenu de droite acces rapide au footer Recevez la lettre d'information retour en haut de page retour en haut de page retour en haut de page L'Economie en questions.
Hervé Kempf: « L’autorité publique est aux mains du système financier » Pour Hervé Kempf, journaliste et écrivain français, les sociétés occidentales marchent vers la dictature, les modèles qui régissent aujourd’hui les sociétés démocratiques d’Occident sont une démocratie en carton pâte qui obéit seulement à un maître : le système financier.
En 2011, il a publié L’oligarchie ça suffit, vive la démocratie, dans lequel il décrit la dérive des sociétés démocratiques occidentales vers des régimes oligarchiques, c’est-à-dire dans lesquels un petit nombre de personnes détient les pouvoirs politique, économique et médiatique.