2. La présentation efficace d’un objet de formation : Le savoir-faire. Le savoir-faire est souvent lié exclusivement à la pratique que réalise un apprenant en atelier ou en laboratoire.
Le savoir-faire comporte deux mots, savoir et faire. On peut faire sans savoir et on peut savoir sans être capable de faire. L’assemblage de ces deux mots fait en sorte de nous guider dans la façon de présenter, de façon efficace, ce savoir-faire. Le faire consiste concrètement dans l’exécution d’un travail. La formation sur le tas utilise exclusivement cette façon de procéder. Malheureusement, à l’école, on se concentre trop souvent sur le savoir et sur le faire, comme deux objets distincts, en espérant que le faire va favoriser la compréhension de la pertinence du savoir. L'apprentissage vicariant. 1.
L'apprentissage vicariant pourrait correspondre, dans le contexte scolaire, à ce que l'enfant peut apprendre en marge du discours du maître proprement dit : en regardant faire et en écoutant ceux qui savent faire ou encore, par extension, en analysant la production de ceux qui savent faire. Bien que la réalité de ce processus particulier ne soit niée par personne, celui-ci est cependant mal connu et généralement considéré comme marginal. Mais son rôle dans la problématique de l'échec scolaire pourrait avoir été indûment sous-estimé. 2. C'est à un ancien instituteur, devenu professeur d'université, que revient le mérite d'avoir signalé l'importance potentielle du phénomène. 3. 4. 5. 6. REE-HS-8.pdf. Questions de pédagogie et de didactique. Les Mémos de l'IPM. | agenda | répertoires | bibliothèques | offres d'emploi | plan d'accès | urgence | | mon bureau | s'identifier | Louvain Learning Lab > UCL > L'Université > Organisation de l'UCL > Services généraux > Administration de l'enseignement et de la formation (ADEF) > Intranet > Les services de l'ADEF et entités associées > Louvain Learning Lab > Les Mémos du Louvain learning Lab | éditeur responsable : LLL | secrétariat : Brigitte Kerpelt | | règlements |
DevPro PD Flipped. Neurosciences. Apprentissage, motivation, émotion : comment apprenons-nous. Le cerveau est l’objet le plus complexe de l’univers connu, et c’est de sa compréhension que dépendra l’avenir de nos technologies futures et singulièrement l’intelligence artificielle et la robotique.
A l’Inria, Frédéric Alexandre dirige le projet Mnémosyne, chargé de développer des modèles computationnels de notre fonctionnement cérébral, dans le but de développer à terme des agents autonomes, robotiques ou logiciels, qui soient physiologiquement crédibles. Autrement dit, dont l’architecture sera analogue à celle du cerveau humain. Au cours d’une conférence à Bordeaux, lors d’un atelier organisé conjointement par l’expédition Bodyware de la Fing et l’Inria, Frédéric Alexandre nous a présenté quelques fondamentaux concernant les mécanismes de notre mental. Les 2 grandes approches. Les deux grands types d’approches qui devraient faire l’objet d’un choix Suivant les écoles et dans les deux approches, les caractéristiques de ce tableau peuvent être plus ou moins nuancées.
Nous avons regroupé sous les expressions « approches alternatives » « approches différentes », les différentes écoles se réclamant des pédagogies Freinet, Montessori, Decroly, Steiner-Waldorf, pédagogies actives (Dewey)… parce qu’elles ont un fondement semblable : l’enfant est la source et l’auteur de ses apprentissages, ceux-ci dépendent des interactions et des interrelations qui peuvent avoir lieu dans son environnement et ne s’effectuent pas suivant une linéarité, suivant les mêmes processus pour chaque enfant. Les pédagogies alternatives. Des pédagogies « différentes » par Antonella Verdiani Pédagogie Montessori Fondatrice : Maria Montessori (1870 – 1952)
Courants pédagogiques. Conférence de Stanislas Dehaene : Les grands principes de l apprentissage. L'Explicite en bref. L'évolution de l'apprentissage à travers le temps. Quelle est la meilleure manière d’enseigner à des élèves. En cette période de rentrée scolaire, j’ai décidé de vous parler de la science de l’enseignement, et de l’enseignement de la science !
Oh, rassurez-vous, je ne vais pas essayer d’expliquer aux enseignants comment ils doivent faire leur métier en général, mais plutôt parler d’un débat spécifique dont j’ignorais qu’il avait fait l’objet de nombreuses publications : les bénéfices de la pédagogie active. Dans ce billet, nous allons voir pourquoi il paraît évident que la pédagogie active est bien meilleure que les méthodes d’enseignement classiques, et pourquoi finalement ça n’est peut-être pas si sûr que ça ! C’est vous le prof ! Faisons une expérience de pensée : vous êtes prof de physique en collège.
Vous devez enseigner à vos élèves la chute des corps, et notamment le fait que – dans le vide – tous les corps tombent de la même manière, quelle que soit leur masse ou leur nature. On vous donne le choix entre deux méthodes : « J’entends, j’oublie. Je vois, je retiens. Je fais, je comprends. » Entretien avec Philippe Meirieu. Philippe Perrenoud.