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Budget Ecocitoyen Puy-de-Dôme - PÉPINIÈRE PAYSANNE en Livradois - un espace-test agricole collectif avec formations et hébergements. Une agriculture locale, éthique, qui diffuse sa production en circuit court est créatrice d’emplois.

Budget Ecocitoyen Puy-de-Dôme - PÉPINIÈRE PAYSANNE en Livradois - un espace-test agricole collectif avec formations et hébergements

Malgré tous les bénéfices qu’elle procure à la société, le nombre global d’agriculteurs diminue toujours dans le Puy-de-Dôme comme dans toute la France. C’est l’autonomie alimentaire de nos territoires qui est ainsi fragilisée. les objectifs du projet sont : - la sensibilisation de publics à travers des ateliers en lien avec l’agroécologie et la transformation alimentaire - la développement de projets de productions agroécologiques sur site durant des périodes de test d’un 1 à 3 ans.

L'Oasis de Serendip – Un lieu en permaculture dans la vallée de la Drôme. Ferme agriculturelle – Laetitia Beaumel. Ce n’est plus un secret, nous souhaitons monter, mon compagnon et moi, une ferme agriculturelle où éducation populaire, production alimentaire, actions culturelles et projets artistiques puissent cohabiter en harmonie et s’exprimer dans la plus grande qualité possible !

Ferme agriculturelle – Laetitia Beaumel

Mais avant tout, qu’est-ce que l’agriculturel ? Le phénomène est encore peu étudié, mais il semble prendre de l’ampleur, en particulier dans les régions francophones ou à culture francophile (France, Louisiane, région Fransaskoise, Québec, etc.). Pour des Alternatives Agri-culturelles - Alternatives agriculturelles en Côte d'Or. Qu'est-ce que l'agroécologie ? L'agroécologie est donc une discipline qui offre une agriculture moins consommatrice de ressources extérieures, plus diversifiée, davantage adaptée au territoire local et moins polluante et destructrice de biodiversité.

Qu'est-ce que l'agroécologie ?

Patrick observe également : « il est parfois difficile d’expliquer aux autres agriculteurs que je gagne plus d’argent qu’avant en produisant moins ! ». En effet, si l’agroécologie coûte moins cher aux agriculteurs et à l’environnement, l’objectif est aussi qu’elle rapporte plus aux agriculteurs : l’idée est d’augmenter la qualité environnementale, sociale et éthique des produits - donc leur valeur ajoutée – et de la faire rémunérer par le consommateur. En diversifiant leurs productions et leurs débouchés, les agriculteurs trouvent également une plus grande sécurité face aux fluctuations des prix de l'alimentaire. C'est une démarche au long cours, qui s'avère plus durable. Une association « agriculturelle » dynamise un village en Côte-d’Or ici : Mâlain (Côte-d’Or), reportage Après dix ans dans l’agglomération lyonnaise, Léo et Myriam ont souhaité changer d’air, mus par l’envie de favoriser les initiatives hors du milieu urbain.

En compagnie d’un autre couple, Claire et François, ils se sont installés à Mâlain, 740 habitant·es, relié à Dijon par le train. La mairie leur a permis de disposer d’un bâtiment d’environ 800 m2 habitables et de trois hectares de terrains agricoles. Le tout face à la gare, à l’extrémité du village, donc proche des champs. Plaidoyer pour une loi contre l’artificialisation des terres. Robert Levesque est président d’Agter (l’Association pour l’amélioration de la gouvernance de la terre, de l’eau et des ressources naturelles) et Freddy Le Saux est président de l’association nationale Terre de liens.

Plaidoyer pour une loi contre l’artificialisation des terres

L’expansion urbaine, toujours aussi vive, recouvre la surface agricole d’un département moyen tous les 5 à 6 ans. Elle détruit de manière définitive des terres support de biodiversité, réserve de carbone et d’eau. Bonjour nous montons un projet innovant, agricole, social et solidaire et nous peinons à trouver les 15 à 30 hectares (voire plus) où nous implanter :

(2) De militantisme écologique à la ferme collective. La belle histoire de l’installation de onze jeunes paysans sur une ferme du Limousin. C’est fait.

La belle histoire de l’installation de onze jeunes paysans sur une ferme du Limousin

Un an et demi après leur première visite, ils s’installent. « Ils » et « elles » en réalité : six garçons et cinq filles, soit onze futur.e.s paysan.ne.s, décidés à faire d’une exploitation agricole spécialisée en bovins-viande une ferme aux productions diversifiées. Avec près de 80 hectares de terres agricoles, deux maisons d’habitation et des bâtiments d’ores et déjà fonctionnels, la ferme de La Tournerie semble taillée pour correspondre au projet du collectif.

Pourtant, elle ne fait pas l’unanimité d’emblée. C’est au fil des visites que la réalité s’impose : le lieu idéal n’existe pas, et ce qui est vrai dans un parcours d’installation « classique » est encore plus vrai à onze. C’est parti pour les onze nouveaux occupants de la ferme de la Tournerie. Si les attentes personnelles sont multiples, le projet collectif, lui, est abouti, mûri depuis plusieurs années. Construire et rénover en bois local dans le Parc Livradois-Forez. SCOP Fiabitat Concept - Construction et ingénierie écologique. Mais tout cela ne vous suffit pas et vous souhaitez vous passer complètement de chauffage ?

SCOP Fiabitat Concept - Construction et ingénierie écologique

Qu’à cela ne tienne : c’est possible aussi ! Par contre autant vous le dire tout de suite, la maison ainsi conçue, bioclimatique ET passive, ne ressemblera pas à une maison. Camping glamour dans les fjords norvégiens. Une cabane, c’est le logis du cœur, le refuge dans les bois et les jardins de notre enfance, le lieu-dit de notre patrimoine imaginaire où, adulte, on revisite notre mémoire de cow-boy, d’Indien et de trappeur.

Camping glamour dans les fjords norvégiens

En Norvège, les rorbu, ces petites maisons où habitaient les pêcheurs qui partaient en bateau à rames, sont ancrés dans une mythologie venue des fjords. Celle des sagas nordiques, des légendes vikings et de leurs pêches miraculeuses. Plus d’un habitant sur deux y passe ses week-ends et ses vacances. Le culte de la nature, composante essentielle de l’identité norvégienne, les y ramène inlassablement. « Chez nous, on dit qu’une cabane n’est pas faite pour y rester, mais pour y retourner », sourit Stein Erik Sørstrøm, heureux propriétaire de cette cabane de pêcheur, près de Trondheim, à 500 km au nord d’Oslo. « On escalade, on pêche, on chasse, on nage.

Les cabanes sous terre se fondent dans le paysage... - Ecolodge La belle verte. Création du mur capteur en torchis de terre et paille :

les cabanes sous terre se fondent dans le paysage... - Ecolodge La belle verte

La toiture végétalisée - une mode aujourd'hui, une tradition depuis des siècles. Habitats modulables et démontables. TyKabane - Habitat insolite et écologique - TyKabane. La Relève et La Peste. Face à la disparition de nos paysans et agriculteurs en France, l’association SOL a lancé le projet Biofermes en partenariat avec de nombreuses associations, pour favoriser la création et le maintien de petites fermes françaises.

Aujourd’hui, les petites fermes produisent 70% de l’alimentation mondiale tout en occupant moins de 1/4 des terres à l’échelle globale. Alors que la France est un pays à forte tradition agricole, nous avons perdu la majeure partie de nos agriculteurs : plus que 2 % d’agriculteurs par rapport à une moyenne de 40% dans les années 1950. Dans les faits, 1 exploitation agricole disparaît tous les quart-d’heures en France, soit : 384 emplois, directs et indirects en moins, chaque jour… A terme, nous allons perdre 45 % de nos paysans d’ici 2020. Cette situation paraît invraisemblable alors que nous vivons une époque de profonde crise démographique et climatique, où nous avons le plus de besoin de nourriture et de prendre soin de l’environnement. La Relève et La Peste. Souvent citée en vrac aux côtés des mots d’agriculture biologique, d’agroécologie ou encore d’agriculture urbaine, la permaculture est une technique de culture à part entière pas si récente (on pourrait même dire qu’elle est ancestrale), qui va bien au-delà de l’image de caprice d’écologistes modernes qu’on lui affuble couramment.

La permaculture ne date pas d’hier ; le terme, mot-valise construit à partir des mots « permanent » et « culture », fait son apparition dans les années 1970 – il accompagne le mouvement baba-cool de retour à la terre – porté par des agriculteurs comme les Australiens Bill Mollison et David Holmgren et leur ouvrage Perma-Culture 1, une agriculture pérenne pour l’autosuffisance et les exploitations de toutes tailles (1978), ou l’agronome espagnole Emilia Hazelip, qui a popularisé en France les techniques de la permaculture, apprises en Californie la décennie précédente.

Essentiel territoires resilients. Pierre Lacroix PAYSAGES RESILIENTS 2017.


  1. stdec Jan 19 2019
    sur le plan... ou dans un autre doc ? on peut mettre "exemples d'habitats s'intégrant en taille et en matière dans le paysage derrière la végétation".. et là mettre diverses photos. En fait ce que je dis entre nous on peut se lâcher mais même pour les archi il faut se poser les questions "que veut-on ? pourquoi faire ? ". Après on trouvera des illustrations. Par contre Trouver des trucs chouettes et"amusant" et vouloir les calquer sur notre projet risque de nous emmener dans un projet sympa et délirant mais non viable = qui nous mène dans de mauvaises directions. C'est un sujet qui mérite une discussion de fond et pas par texto &co. quand à : "on en revient toujours au même attention à ne pas briser les rêves et les coeurs en étant toujours que dans le cérébral... " je pourrais répliquer "vivre d'amour-de rêve et d'eau fraîche n'a jamais nourrit personne.." Tu as raison sur ce point il faut qu'on reprenne le projet depuis le départ, qu'on prenne le temps : raison d'être, objectifs, etc... sinon le cabinet d'archi ne comprendra pas ce qu'on veut .
  2. maudsamp Jan 19 2019
    je pense que tu vas trop vite là... tu prends tout comme des engagements contractuels alors que la première étape est de parler d inspiration et d ésprit à donner avant de parler 'strategie'
  3. maudsamp Jan 19 2019
    dans construction je n imaginais pas nos choix effectifs mais plutôt nos inspirations. Un cabinet d archi par ex a besoin de savoir ce que tu aimes ou pas. quant tu fais du design il ne faut pas partir que sur des chois réfléchis mais bien aussi sur de l esthétique que tu aimes ou pas
  4. stdec Jan 18 2019
    En fait le choix du type de constructions conditionne l'orientation générale et inversement. Il faut bien réfléchir si on veut un patchwork comme l'annonce dans le boncoin avec un bateau, des cabanes dans les arbres, etc. ou si on veut quelque chose de plus homogène. Qui veut-on attirer ? des maraichers, des touristes, des bourgeois en quête de sens ou des roadmen-roadwomen ? tous ? dans quoi comme bâti pour les amener à quoi ?... en réfléchissant je trouve que ton illustration sur le plan en forme "cabane à l'ancienne" est déjà un choix d'orientation... je pense qu'il faut y réfléchir sérieusement d'ici l'envoi du mail dimanche soir.. dans Construction je mettrais plutôt nos choix effectifs, illustrations de ce qu'on veut construire, même si ce ne sera pas exactement pas ça mais en tous les cas pas les éléments qui servent pour une réflexion plus profonde (au risque de confusions avec les gens avec qui on partage ce dossier qui pourraient pas très bien comprendre où on veut aller). C'est mon avis et ça se discute.
  5. maudsamp Jan 18 2019
    Je pensais utiliser cette collection pour les orientations d'ordre général.... Pour tout ce qui concerne la construction plutôt y mettre dans la collection en question, non ?