2. L'apport de l'IRM Fonctionnelle - Comment l'IRM permet-elle une meilleure exploration de la vie humaine ? Nous avons auparavant étudié les limites de l’IRM.
Analysons maintenant les perspectives ! Sachant que l’IRM est l’examen complémentaire de prédilection pour le système neurologique, nous avons tout d’abord décidé de décrire une évolution intéressante : l’étude du fonctionnement du cerveau humain. En effet, l’Imagerie par Résonance Magnétique Fonctionnelle (IRMf) est utilisée pour localiser in vivo les différentes régions fonctionnelles chez l’Homme. Autrement dit, elle permet de « cartographier » les activités fonctionnelles du cerveau. Cette technique ne représente pas de danger pour la santé des patients, malgré l’emploi fréquent de 3 à 7 Tesla. En recherche, l’IRMF est utilisée pour les études neuropsychologiques et cognitives. Biblionet. Novembre 2000 par Jean-Paul Baquiast et Christophe Jacquemin Antonio R.Damasio Antonio R.
Damasio est chef du département de neurologie au Collège de médecine de l'Université de l'Iowa1. Précédemment chef de la division de neurologie comportementale et de neuroscience cognitive dans cette même université, il est aujourd'hui mondialement connu pour ses travaux sur le cerveau humain, dont il explore la complexité, notamment au regard de la mémoire, du langage et des émotions. Eric Kandel : l'esprit disséqué. Lauréat du prix Nobel de physiologie-médecine en 2000, Eric Kandel décode les mécanismes fondamentaux de la mémoire en étudiant les quelques neurones d'un mollusque : l'aplysie.
Il est aujourd'hui l'un des neuroscientifiques les plus renommés au monde. David Dobbs David Hobbs est journaliste scientifique à New York. À quoi ressemble Aplysia Californica ? À une aubergine. Pourtant, il y a 50 ans, le neurobiologiste Eric Kandel a disséqué l'aplysie et y a trouvé un trésor qu'il utilisa pour élaborer les fondations des neurosciences modernes. Ces découvertes, pour lesquelles E. Neurone miroir. Les neurones miroirs sont une catégorie de neurones du cerveau qui présentent une activité aussi bien lorsqu'un individu (humain ou animal) exécute une action que lorsqu'il observe un autre individu (en particulier de son espèce) exécuter la même action, ou même lorsqu'il imagine une telle action, d'où le terme miroir.
Ils sont connus pour être à l'origine du bâillement[1]. Il existe également des neurones échos. Les neurones miroirs sont considérés comme une découverte majeure en neurosciences. Si, pour certains chercheurs[3], ils constituent un élément central de la cognition sociale (depuis le langage jusqu'à l'art, en passant par les émotions et la compréhension d'autrui), pour d'autres[4], ces conclusions restent très hypothétiques quant au rôle de ces neurones dans ces processus psychologiques. Découverte[modifier | modifier le code] Propriétés fonctionnelles des neurones miroirs[modifier | modifier le code] Rôle des neurones miroirs[modifier | modifier le code] Neuropsychologie et stimulation. OLIVER SACKS RACONTE LA NEUROPSYCHOLOGIE QU'IL APPELLE LA "NEUROLOGIE EXISTENTIELLE" NEWS NEWS NEWS.
Le docteur Oliver Sacks, neuropsychologue, l’auteur de « L’homme qui prenait sa femme pour un chapeau », « Un anthropologue sur Mars » et de « Musicophilia » (Seuil 2009), publie un nouveau livre de "contes cliniques" consacré aux pathologies de la vision : "L'oeil de l'esprit" (Seuil 2012). Dans l'article qui suit, publié en partie en janvier 2009 dans le Monde Magazine, j'ai tenté de dresser le portrait de l'aventure intellectuelle d'Oliver Sacks et de ce qu'il appelle "la neurologie existentielle".
J'ai mené ce travail avec son aide directe, au cours d'"échanges de mails et suite à deux entretiens. Un taureau en colère a changé la vie du docteur Oliver Sacks. C’était en Norvège, en montagne. Recousu par un excellent chirurgien, Oliver Sacks devrait guérir vite. En neurologue, Oliver Sacks se demande si son cerveau n’a pas été touché pendant l’accident, ce qui affecterait la perception de sa jambe - sa « proprioception ». Contre la médecine « vétérinaire » Olivier Houdé : « Se développer, c'est apprendre à inhiber » Psychologie cognitive - Patrick Lemaire. Psychologie cognitive expérimentale - Stanislas Dehaene. Stanislas Dehaene est ancien élève de l'École normale supérieure et docteur en psychologie cognitive.
En septembre 2005, il a été nommé professeur au Collège de France, sur la chaire nouvellement créée de Psychologie Cognitive Expérimentale, après avoir occupé pendant près de dix ans la fonction de directeur de recherches à l'INSERM. Ses recherches visent à élucider les bases cérébrales des opérations les plus fondamentales du cerveau humain : lecture, calcul, raisonnement, prise de conscience. Ses travaux ont été récompensés par plusieurs prix et subventions, dont le prix Louis D. de la Fondation de France (avec D. Le Bihan), le prix Jean-Louis Signoret de la fondation IPSEN et la centennial fellowship de la fondation américaine McDonnell. Les nombres dans le cerveau Stanislas Dehaene est l'expert reconnu des bases cérébrales des opérations mathématiques, domaine dont il a été le pionnier.
Théorie de la psychologie tridimensionnelle. .
Théorie de la psychologie tridimensionnelle Depuis une vingtaine d’année, je m’intéresse au comportement humain, plus spécifiquement à la compréhension du système qui sous-tend les émotions et la personnalité. Dans un premier temps, j’ai étudié le modèle des trois cerveaux de MacLean, puis graduellement, les modèles neurobiopsychologiques ont attirées mon attention. Voilà brièvement les auteurs qui m’ont inspiré. MacLean (1970) s’est intéressé grandement aux émotions qu’il situait au niveau du système limbique dans sa théorie évolutive des trois cerveaux. Ledoux et Muller (1975) vont préciser que les émotions sont des circuits cérébraux spécifiques qui relient les structures des trois cerveaux de MacLean et sont le résultat d’une longue sélection au cours de l’évolution.