Pot de départ de la Police d'Alexandre LANGLOIS. Bonjour à tous, je quitte la Police nationale, suite à ma révocation décidée par Gérald DARMANIN le 12 mars 2021, contre l'avis du conseil de discipline du 20 janvier 2021 à 9h15 à la Préfecture de Police de Paris.
Je quitte donc la Police nationale et un pot de départ s'impose. S'impose pour fêter presque 15 ans au service de la population, en tant que gardien de LA paix. S'impose pour faire un nouveau pied de nez au ministre de l'Intérieur DARMANIN et autres politiques, qui veulent nous imposer une Police gardienne de LEUR paix et non une Police gardienne de LA paix. S'impose car le plus beau cadeau de pot de départ que vous pourrez m'offrir est votre confiance.
Votre confiance, pour garantir l'expression de nos convictions sans aucune pression, grâce à une autonomie financière, permettant de préserver ma famille, que vous avez toujours protégé face au ministère de l'Intérieur qui veut la détruire. Seuls les tyrans tentent d'emprisonner la Liberté. Aux urnes citoyens ! 17 mars 2021 La guerre de Darmanin contre les policiers intègres.
Dans ce nouvel épisode du Regard d'Anouar, nous revenons sur la révocation brutale d'Alexandre Langlois, policier et secrétaire général du syndicat Vigi.
De tous les combats au sein de la police, Alexandre Langlois, policier et secrétaire général du syndicat Vigi, a été brusquement révoqué de l’institution policière. « Ils veulent que je serve d’exemple pour les autres » Accusé d’avoir manqué de respect à l’ex-directeur général de la police nationale dans des tracts syndicaux, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a pris la décision unilatérale de le révoquer après que le Conseil de discipline s’est estimé incompétent en matière de liberté syndicale. Alors que la radicalisation des syndicats d’extrême-droite est accompagnée par le pouvoir politique, ce dernier persécute les syndicats de police républicains.
Nous reviendrons sur sa révocation dans cet épisode spécial du Regard d’Anouar avec Alexandre Langlois et Maître Daoud Achour, avocat au barreau de Paris. 16 mars 2021 Mélenchon : Débat à HEC - #JLMHEC. Le vendredi 12 mars 2021 se tenait la 2e édition des forums de L’Avenir en commun, émission consacrée au programme de Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle de 2022.
Ce 2e numéro était dédié aux questions écologique alors que sortait en librairie la même semaine le 2e Cahier de l’Avenir en commun consacré à la planification écologique. Dans cette émission animée par Clémence Guetté et Ludovic Delaherche, Jean-Luc Mélenchon a d’abord présenté sa vision de la planification écologique : un moyen de requérir le temps long quand la loi du marché impose le court-terme permanent. 12 mars 2021 L'IMPUNITÉ POLICIÈRE EN PROCÈS. 5 mars 2021 NOAM ANOUAR : NOUVELLES REVELATIONS SUR LA POLICE NATIONALE. 5 mars 2021 Race, racisme, racisé, privilège blanc, indigéniste… Comprendre ce qui se cache derrière les mots.
Basta !
: Qu’est-ce qu’une personne raciste ? Est-ce similaire à « suprémaciste » ? Sarah Mazouz [1] : Une personne raciste croit en l’existence de races, c’est-à-dire des groupes qui sont hiérarchisés, certains étant supérieurs à d’autres. Selon les contextes, cette hiérarchie s’opère en fonction de l’origine réelle ou fantasmée de ces groupes, de leur culture, de leur religion. Cela a toujours à voir avec l’altérité et l’infériorité supposées d’une origine ou d’une culture. Qu’est-ce qu’une personne « racisée » ? Le terme « racisé » apparaît plus tard, dans le cadre de la réflexion sur l’idéologie raciste. Ces classifications peuvent changer selon les époques : des groupes racisés ne le sont plus ensuite.
Affirmer l’inanité scientifique de la notion de race pour combattre le racisme ne suffit pas, écrivez-vous. Que signifie « racialisation » ? Justement, quand on parle de race en sciences sociales, on pense aux processus de racialisation. C’est une des formes. Recueillis par Ivan du Roy. 3 mars 2021 Assa Traoré condamnée en appel pour atteinte à la présomption d’innocence des gendarmes. Assa Traoré, devenue un emblème de la lutte contre les violences policières depuis la mort de son frère Adama Traoré, a été condamnée au civil par la cour d’appel de Paris pour atteinte à la présomption d’innocence des gendarmes qui ont interpellé la victime, selon une décision consultée mardi 2 mars par l’AFP.
Les trois gendarmes responsables de l’interpellation d’Adama Traoré le 19 juillet 2016 avaient assigné en décembre 2019 en référé (procédure d’urgence) Assa Traoré pour cinq messages publiés entre septembre et novembre 2019 sur la page Facebook du comité « La vérité pour Adama » qui les présentaient comme ayant causé le décès. Ce jeune homme noir de 24 ans est mort dans la caserne de Persan près de deux heures après son arrestation dans sa ville de Beaumont-sur-Oise (Val-d’Oise), au terme d’une course-poursuite un jour de canicule. Des juges d’instruction parisiens enquêtent sur ce décès, dont les causes font l’objet d’expertises médicales contradictoires.