Etre végane en France : mode ou r-évolution ? Chiffres et tendances en France et ailleurs Que représentent les végans en France ?
5% des Français seraient végétariens ou végans, selon plusieurs sources, dont un sondage mené en 2017 par l’institut d’études marketing et de sondages d’opinion Harris Interactive et l’association L214. Une infime minorité de ces personnes seraient véganes, mais il faut garder à l’esprit que : 30% seraient flexitariens, selon les estimations de la direction marketing de la marque Herta, qui a lancé il y a peu toute une gamme de simi-carnés,50% déclarent vouloir augmenter leur consommation de produits végétaux selon un sondage de 2017 IFOP/Lesieur,46% souhaiteraient que les restaurants classiques de type restaurants à table proposent un ou deux plats vegans à leur carte, selon une étude de septembre 2016 réalisée par CHD Expert, l’un des leaders mondiaux des études de marché dans le secteur alimentaire. Comme un signe, l'association a vu passer son nombre d'adhérents de 500 en 2008 à… 5000 en 2016.
Cuisine végétale : les faux pas à éviter absolument. Le véganisme : l’abolition par la nutrition. Comment se complémenter en vitamine B12. Abstract : This article shows how the invention and practice of a vegan diet, which excludes all animal foodstuffs, is based on a food technology: the use of vitamin B12 supplements.
On the one hand, veganism constitutes an anthropological rupture with the incorporation of animals, with a view to repairing the living world and thus contributing to the moral progress of human beings. On the other hand, it is a way of overcoming the ills of the human body and thereby silencing its resistance to veganism. Becoming a vegan is a self-practice that relates to both asceticism and human enhancement.
Résumé : Cet article montre comment l’invention et les pratiques d’un régime végane, fondé sur une alimentation végétalienne, s’appuient sur une technologie alimentaire : la complémentation en vitamine B12. D’un côté, celle-ci consacre une rupture anthropologique avec l’incorporation d’animaux, pour œuvrer à la réparation du monde vivant et contribuer ainsi à l’amélioration morale des hommes. Végétarien, végan ou flexitarien ? - Édouard Pélissier. Ce livre, rempli d'informations scientifiques et de statistiques, pèse le pour et le contre entre les trois façons de se nourrir.
En trois chapitres concernant la santé, le bien de la planète et celui des animaux, l'auteur explique avec clarté ce qui lui semble le meilleur. Pour lui, cela ne fait pas de doute, le semi-végétarien (ou flexitarien pour employer un terme plus à la mode) ne risque guère de souffrir de carences alimentaires, en comparaison de ceux qui optent pour les autres régimes et ce docteur privilégie avant tout celui-ci. Un végétarien - et, à plus forte raison un végan - doit sélectionner avec soin les aliments les plus bénéfiques et acquérir une certaine science dans ce domaine s'il veut rester en bonne santé. Tout est question d'équilibre et de variété. A lire si l'on se pose des questions sur le sujet. Ce livre, rempli d'informations scientifiques et de statistiques, pèse le pour et le contre entre les trois façons de se nourrir.
Santé et véganisme. À l’occasion du salon VeggieWorld qui se tient ce week-end à Paris, Le Figaro revient sur les conséquences d’un régime sans aucun produit d’origine animale.
Du sac en cuir au pull en laine en passant par des produits de maquillage testés sur l’animal, le véganisme est un mode de vie qui rejette tous les produits de consommation issus de l’exploitation animale. L’objectif? Alimentation - Végétarien mais pas toujours sain. Meilleur pour la santé, le régime végétarien ?
Tout dépend de la façon dont les consommateurs remplacent les protéines animales. Deux types de menus se dessinent : l’un, basé sur des produits végétaux pas ou peu transformés, est effectivement plus sain. L’autre, qui substitue viandes et produits laitiers par des produits industriels, affiche une qualité nutritionnelle très médiocre. Contrairement à leur réputation, les régimes végétarien et végétalien ne sont pas toujours plus sains que leurs pendants carnés. En cause, les substituts végétaux à la viande et aux produits laitiers, trop souvent de piètre qualité nutritionnelle. Les chercheurs ont étudié les menus de 19 812 consommateurs de viande, 646 pesco-végétariens (qui consomment du poisson mais pas de viande), 500 végétariens (produits laitiers et œufs mais ni viande ni poisson) et 254 végétaliens (aucun produit d’origine animale). Convertis de longue date et néophytes Intégrez l’étude NutriNet-Santé !