Pourquoi l’histoire de la concession française de Tianjin ? Réflexions “existentielles” au fil de la thèse… La légitimité et la portée de son travail de recherche représentent des questionnements centraux dans le parcours tâtonnant, tantôt inquiétant, tantôt stimulant mais aussi source d’épanouissement que peut connaître tout doctorant.
Les motivations de ce choix crucial qui engage plusieurs années de jeunesse rythmées par un sentiment confus entre obsession et acharnement, constituent l’un des piliers maintenant et consolidant l’édification patiente d’une thèse. C’est donc tout naturellement que, pour l’ “inauguration” de cette rubrique intitulée “Au fil de la thèse”, j’ai choisi d’interroger la pertinence de mon objet d’étude et les raisons qui m’ont conduite à lui consacrer cette forme de “dévotion” voire de “sacerdoce”, pour oser jusqu’au bout le parallèle religieux, tant l’investissement intellectuel et personnel m’apparaît immense dans ce type de décision et d’engagement. Pourquoi la thèse ? “Est-ce tout ? Non. L’image du combat semble en effet bien choisie.
Habiter, le propre de l'humain, par Thierry Paquot. L'homme en son espace. La notion d’habiter (et sa déclinaison en habitat ou en habitation) est parfaitement transdisciplinaire.
Elle est aussi directement actuelle et fait l’objet de discours variés, souvent marqués par des situations d’urgences dans certains lieux (mal ?) Habités comme les banlieues. Un ouvrage qui aborde cette notion sous les angles de la philosophie, de l’anthropologie, de l’architecture, de la géographie et de la sociologie est donc bienvenu et utile. Celui que proposent un philosophe (T.Paquot), un géographe (M.Lussault) et une psychosociologue (C.Younès) a plusieurs qualités rares. Il est réellement multidisciplinaire, en ce sens qu’il couvre des champs scientifiques divers et de manière très largement ouverte. Le plan est assez classique (du général au particulier) et repose sur deux parties inégales, ce qui est inévitable dans ce type d’ouvrage.
Habiter, habitat, habitant, trois temps de la géographie ? Pour commencer, je tiens à préciser les trois termes de cet exposé : Habiter est une notion qui a pris son sens ctuel de manière très récente.
Cela inclut de nombreux éléments, c'est une notion globalisante, comme peut l'être aussi la mondialisation ou le développement durable. Habitant est une notion des années 1950-1990, qui s'intéresse surtout à la localisation des habitants, une vision quantitative liée aux progrès statistiques mais aussi aux changements paradigmatiques de cette période. Je fais aller cette notion inclut jusqu'aux idées développées par Armand FREMONT, autour de la région, étudiée comm un espace vécu : c'est à ce moment qu'à lieu le tournant épistémologique. Habitat nous renvoie aux premières heures de la géographie scientifique, lorsque la géographie classique française cherche à étudier les habitats, les régions, genre de vie et les relations verticales. La forêt publique française sous la menace de nouvelles coupes budgétaires. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Angela Bolis (envoyée spéciale à Embrun, Hautes-Alpes) Dominique Delorme, uniforme vert sapin et barbe blanche, règne depuis dix ans sur un domaine de 1 800 hectares peuplé de pins et de mélèzes, dans les montagnes de l'Embrunais (Hautes-Alpes).
Une forêt d'altitude, sombre et belle, mais « pas très productive », décrit ce garde forestier de l'Office national des forêts (ONF), secrétaire départemental du principal syndicat des personnels forestiers, le Snupfen. 40 % de sa superficie n'est pas exploitable, et le terrain montagneux nécessite des travaux d'entretien réguliers du fait des risques naturels – torrents, éboulis, érosion, risques d'incendie… Comme plus de 500 autres agents de l'ONF (selon le Snupfen), M. Delorme a quitté ses arbres, jeudi 25 septembre, pour venir manifester devant le siège de l'Office à Paris, dans le cadre d'un mouvement de grève lancé par le syndicat. . « Notre forêt nous coûte déjà. Habiter. Un monde à mon image. _20140603_habiter-l-atypique_quelles realites-presentes-pour-quels-avenirs - 29.pdf. Diaporama : Le gigantesque étalement des banlieues américaines vue du ciel par Christoph Gielen.
Ces études photographiques aériennes de Christoph Gielen révèlent les géométries cachées de la croissance de l’étalement urbain qui deviennent apparents seulement lorsque nous les percevons du ciel.
Ces photos montrent clairement l’étalement en tant que phénomène dépendant de la voiture et comme un mode de vie. Selon Robert Hammond, Co-fondateur et Directeur exécutif du High Line à New York : » Les prises de vues rares de Christoph Gielen depuis le ciel mettent en lumières et interrogent les pratiques de développement dominants. En montrant une monoculture qui manque d’intégration entre les lieux résidentiels, commerciaux et publics, ces photos montrent la nécessite de penser une utilisation plus intelligente de l’espace urbain ».
2008 Géographicité et médiance. Mathis Stock : L’habiter comme pratique des lieux géographiques. Mathis Stock Comment appréhender les dimensions spatiales des sociétés humaines ?
Afin d’y apporter des éléments de réponse à l’un des questionnements fondamentaux de la géographie, on propose ici une perspective particulière centrée sur les manières dont les individus pratiquent les lieux, bref l’habiter. En effet, deux éléments de contexte concourent à proposer un questionnement centré sur l’habiter : d’abord, un contexte scientifique qui fait que les questions des valeurs ou significations assignées aux lieux géographiques sont investies par les géographes depuis une trentaine d’années.
Habiter un quartier RDP. 1 « Coloured » fait référence aux catégories raciales d’apartheid institutionnalisées par le Populat (...) 1La question de l’évolution des villes sud-africaines constitue un sujet d’étude essentiel depuis la fin de l’apartheid alimentant une littérature fournie (Houssay-Holzschuch, 1999 ; Guillaume, 2001 ; Lemanski, 2001 ; Oldfield, 2000 ; Gervais-Lambony, 2003 ; Morange, 2006).
L’héritage des pratiques de ségrégation s’observe aujourd’hui encore dans les structures des villes où les populations non-blanches ont longtemps été reléguées en périphérie dans des zones d’habitat homogènes racialement, les townships. Au Cap, ville fondée par les colons hollandais, les mouvements d’expulsions des populations non-blanches débutent en 1901 et sont systématisés au XXe siècle, avec la mise en place de la législation d’apartheid. Les plaines sableuses en périphérie du Cap (Cape Flats) sont alors investies pour reloger ces populations. Themines_SD_L-Habiter-CR-Conference.pdf. Habiter les îles fluviales. Cette étude a bénéficié de financements dans le cadre du programme ANR « Gestrans » sous la responsabilité d’Alain Recking, ainsi que d’une action de l’Accord Cadre ZABR-Agence de l’Eau RM&C « Mieux comprendre les discours de crise sur le fleuve Rhône : extrêmes hydrologiques et plantes invasives » (2012-2013) sous la responsabilité d’Yves-François Le Lay.
Les auteurs remercient André Buisson, Yvon Thévenot ainsi que les deux évaluateurs anonymes pour leur relecture et leurs conseils. 1Si les îles fluviales européennes occupent une place relativement restreinte dans la littérature géographique (Grivel, 2008), cet objet n’a été ignoré ni par les géomorphologues sensibles aux dynamiques fluviales (Grivel et Gautier, 2012), à l’interface nature/sociétés (Bravard, 1998 ; Bravard et Piégay, 2002) ou encore aux questionnements géo-archéologiques (Arnaud-Fassetta, 2008), ni par les historiens que les problématiques à caractère environnemental intéressent fortement (Roux, 1996 ; Fierro, 2000). Actualité philosophique: habiter le monde au XXIème siècle - Idées. Par Adèle Van Reeth Réalisation : Mydia Portis-Guérin Lectures : Marianne Basler.
Notion à la une : habiter. Bibliographie | citer cet article La notion d'habiter pose quelques-uns des débats problématiques majeurs des sciences sociales et humaines.
Habiter l'espace. Bibliographie Habiter. Épistémologie de l’habiter - ANDERS, Günther (2013). - La Bataille des cerises : dialogue avec Hannah Arendt, Paris, Rivages, 215 p.