NuitDebout. Faut Pas Mollir ! EP08 : #NuitDebout. La Verrière. «Nuit Debout» débarque à Orly Parc. Cet après-midi, les habitants et visiteurs de la commune de La Verrière ont été interloqués par la mise en place de deux banderoles avec l’inscription «Nuit Debout» devant le centre commercial Orly Parc et sur le rond point le jouxtant.
A l’origine de ce mouvement qui s’installe dans la ville, Alain Hajjaj, l’ancien édile de la commune (PCF) qui a suivi la démarche sur Montigny-le-Bretonneux. Malgré la participation d’élus de la majorité, cette action se veut indépendante et citoyenne. «Nous souhaitons que les habitants reprennent possession de l’action. Il n’y a pas de récupération de la part de la commune», prévient Isabelle Le Coz, adjointe au Maire, déléguée à la démocratie locale et au développement durable. «C’est très courageux de lancer ce mouvement. Le devenir du mouvement va dépendre des discussions engagées avec les habitants. Nuit debout à Carhaix. Une vingtaine de personnes rassemblées. Disputes, dissensions et diffamation autour de Nuit debout. Alors qu'ils occupent la place de la République à Paris depuis bientôt un mois, les militants de Nuit debout cherchent désormais à donner un nouvel élan à leur mouvement.
Mais depuis quelques jours, deux courants s’opposent fortement sur la suite à donner à la mobilisation, et ce jusque sur le terrain judiciaire. Insultes, accusations, diffamation. Deux camps s’opposent aujourd’hui au sein de Nuit debout. Deux visions politiques et une question au cœur des débats : Nuit debout est-il un mouvement ouvert à tous ? Au coeur de cette querelle, notamment, on trouve la gestion du site internet et des réseaux sociaux du mouvement. D’un côté, le Media Center de Nuit debout, composé d’une quinzaine de personnes, qui se charge de poster sur les réseaux sociaux ou d’administrer le site internet. Le vendredi 29 avril 2016 “Ces gens-là”, ce sont les employés et le fondateur de la société Raiz, une petite start-up aux modestes locaux nichés dans le sous-sol d’un immeuble du 12e arrondissement à Paris.
Nuit debout au village ? Bien sûr ! On phosphore à Aumessas, dans le Gard. Aumessas (Gard), reportage Avec grande motivation, Céline, Corinne, Héloïse, Tof et Kevin ont organisé, mardi 26 avril, la première Nuit debout de leur village, Aumessas, 233 habitants, niché dans un vallon des Cévennes.
Depuis près d’un mois, ils ont participé à de nombreuses Nuits debout, à Montpellier puis plus près de chez eux, au Vigan et à Brissac. À l’extérieur de la gare convertie en salle communale, une dizaine d’enfants s’amusent sur les anciennes voies, devenues terrain de foot. Depuis 1952, les trains qui permettaient de grimper sur le Larzac ou de descendre à Nîmes ne circulent plus, ce qui a aggravé l’exode rural. Ce mardi 26 avril, les clameurs des enfants se font parfois entendre à l’intérieur, couvrant les paroles de l’assemblée. Cinquante personnes ont fait le déplacement. À Lisieux, une quarantaine de personnes pour une première Nuit Debout. Alors que le mouvement a démarré il y a près d'un mois, à Paris, le mouvement Nuit Debout a été lancé ce vendredi 29 avril à Lisieux.
Le rendez-vous avait été fixé à l'occasion de la diffusion du film "Merci Patron ! " du journaliste François Ruffin, au cinéma le Majestic. Malgré le temps peu favorable, une quarantaine de personnes s'est réunie à l’issue du film pour débattre, jusqu'à une heure du matin. Il a notamment été question des différentes luttes sociales dans le pays d'Auge (fermeture de la blanchisserie, réorganisation de la Poste...), mais aussi de la Constitution et de la représentativité en politique. A Lyon, l’extrême droite s’attaque à Nuit Debout.
Lyon, place Guichard – La soirée Nuit Debout s’éteint tranquillement ce vendredi 22 avril, vers 1h30.
Quelques dizaines de personnes boivent un dernier verre au centre de la place quand une petite dizaine de gudards débarque. Stéphane, jeune Lyonnais participe à sa première Nuit Debout. Il est témoin de la scène : « On a entendu gueuler dans un coin de la place. Les mecs annonçaient qu’ils étaient du GUD. Les hommes en noir du groupuscule étudiant d’extrême droite, connu pour sa violence, auraient selon le site d’info militant Rebellyon (link is external) « attaqués violemment 2 participants » posés à l’écart du rassemblement. La Poste de Perpignan "occupée" par le mouvement Nuit debout ce samedi matin. {*style:<a href='javascript:void(0);'>*} 1 / 3 2 / 3 Ce samedi matin à 10 heures, une quinzaine de personnes se revendiquant du mouvement Nuit debout se sont installées dans le grand hall de La Poste afin de soutenir les postiers de Rivesaltes en grève depuis plus de 150 jours.
"Nous sommes pacifistes et non-violents dans cette action, précisait un membre du mouvement. Certains salariés de La Poste sont menacés par leur direction pour avoir fait grève. (14) A Nice, Nuit debout donne des idées. A Nice, quelques jours après la sortie de Nicolas Sarkozy qui a jugé que les participants «n’ont rien dans le cerveau», un tandem, habitué de Nuit debout, se lance.
Il se présentera dans la Ve circonscription des Alpes-Maritimes, lors de la législative partielle fixée au 22 et 29 mai pour pourvoir au remplacement de Christian Estrosi (LR), démissionnaire pour cause de cumul des mandats. Il s’agit de Pascal Reva, 52 ans. Son suppléant se nomme Guillaume Barut, 19 ans. Nantes. Nuit Debout se déplace au quartier Malakoff ce vendredi soir. À Nantes, la Nuit Debout continue d’évoluer.
En plus du rassemblement quotidien place du Bouffay, un deuxième a lieu ce soir sur la place Rosa-Parks, dans le quartier du Bouffay. Plus d’une cinquantaine de personnes sont réunies pour des prises de parole au micro, sur des thèmes libres. L’idée d’une Nuit Debout à Malakoff s’est développée pendant trois semaines, depuis que des organisateurs ont rencontré les membres de l’Association nantaise pour la jeunesse de Malakoff. « Ce n’est que le début, affirme Christophe, participant à la Nuit Debout depuis la naissance du mouvement. On veut que les cités reprennent la parole. » Nuit debout, nuit d’émeute [vidéo] Quelques Axiomes pour les Nuits Debout. De longs débats portant sur de petits problèmes peuvent être aisément résolus ou bien par une analyse de leurs postulats ou bien par la prise en compte d’un point de vue qui fait disparaître le problème.
Il s’agit ici de prendre un tel point de vue, depuis lequel certaines interrogations deviendront visiblement lettre morte et nullité. Il y aura certainement un point de vue adverse pour lequel ce qui s’écrit ici est réfutable. Qu’importe ! Si ce qui sera dit dans les axiomes suivants emporte l’adhésion des ami.e.s, même de peu. Axiome - I. Philippe Martinez chez #NuitDebout : la révolution est dans les détails. A part ça, le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez était finalement, hier soir, à « Nuit debout », place de la République, à Paris.
Je vous le dis parce que les radios du matin ne l’ont pas dit, et n’ont parlé qu’arrestations, voitures incendiées, gardes à vue, violence (la condamner ou pas ?)... Bref, qui ont réduit la journée de mobilisation et de manifs d’hier à un bilan policier. Pas seulement, d’ailleurs. Lundimatin. Nuit debout : comment être offensif ensemble, sans idéaliser la violence ni la non-violence ? Depuis le 31 mars, la place de la République à Paris est investie par des milliers de personnes unies par un rejet du gouvernement et du système politique, économique et social actuel.
Les AG et commissions quotidiennes sont la partie la plus visible de ce qui se vit sur la place, mais Nuit debout est aussi le point de départ de multiples actions. Le 5 avril, des centaines de personnes ont bloqué pendant plusieurs heures le boulevard Saint-Germain devant le commissariat du Ve arrondissement pour exiger la libération de camarades en garde à vue après les manifestations de l’après-midi ; la veille, un grand groupe s’est détaché de l’AG pour redécorer de mille couleurs des agences Société générale et BNP ; à plusieurs reprises, une foule nombreuse est allée soutenir un campement de réfugié-e-s menacé d’expulsion à Stalingrad ; sans parler des rassemblements devant des gares ou des pôles emplois... Des « gens non politisés qui n’ont rien à voir avec le mouvement » Nuit debout pas sans nous. Voilà quatre semaines que la « nuit debout » occupe les places et tente de créer des convergences entre les différentes luttes avec comme axe centrale la lutte contre la loi « travail ».
C’est peu dire que le mouvement arrive à un tournant et que de nombreuses forces médiatiques et politiques s’échinent à lui imposer d’effectuer un virage doux et consensuel. Lordon l’a très bien expliqué dans son intervention du 20 avril à la bourse du travail : « Et les constants efforts de cette chefferie, c’est de pousser le mouvement qui les déborde complètement, dans un sens qu’ils croient contrôlable.
Et en l’occurrence dans le sens de ce que j’appellerai le citoyennisme intransitif. C’est-à-dire le citoyennisme pour le citoyennisme, qui débat pour débattre, mais ne tranche rien, ne décide rien et surtout ne clive rien. Dans cet effort pour contrôler nos nuits et nos jours le système fait jouer tous ses réseaux. D'Occupy à Nuit Debout : l'inconscient politique du mouvement des places. Quand un mouvement politique émerge, la position de l'intellectuel est toujours compliquée, surtout quand il souhaite que la mobilisation réussisse.
Soutenir inconditionnellement, c'est se dissoudre comme intellectuel et ne pas assumer que la pensée puisse nourrir la pratique surtout quand elle est en désaccord avec la manière dont la pratique se pense. Mais critiquer, c'est prendre le risque de nuire à la mobilisation ou d'être perçu comme un adversaire. Je conçois ce texte comme une discussion interne au mouvement social. Il partage la même ambition : la prolifération des luttes et des contestations. Mais c’est au nom même de cette ambition que je crois nécessaire de proposer une réflexion sur Nuit Debout et la conception de la politique dont elle est le produit. Nuit debout, téléréalité du politiquement correct. Passé voir un vendredi, place de la République, le mouvement Nuit debout. J'ai vu une triste Cour des miracles, une foire de fin du monde. Des étudiants coiffés et maquillés, vêtus d’habits de friperie élégants et détendus, avec de gros pin’s aux ourlets, boivent au nez et à la barbe des vendeurs de bière à la sauvette qui s’agitent entre eux, balbutiant quelques mots de la langue du pays.
Une fillette rom aux jambes étiques, qui devait avoir dix ans, recouverte d’un voile rose, proposait des bières à deux euros, passant entre des bandes d’amis ressemblant à une publicité de mode. A côté de la commission féminisme, un jeune homme discutait avec deux filles : au moment où l’une d’entre elles lui fit une bise de confraternité, il fléchit le visage pour l’embrasser sur la bouche, ce qu’elle évita d’un coup, presque fière de n’en pas dire un mot. Intermittents et Nuit deboutistes occupent la Comédie-Française. VIDÉO - Des salariés du monde du spectacle rejoints par des membres de Nuit Debout, des zadistes et des étudiants ont fait annuler mardi soir, les représentations théâtrales de Phèdres(s) à l'Odéon et Lucrèce Borgia au Théâtre Français. Ils menacent d'annuler les représentations de mercredi. Des représentations ont été annulées mardi 26 avril à la prestigieuse Comédie-Française et à l'Odéon à Paris, deux théâtres publics occupés par des salariés du monde du spectacle en pleine négociation sur leur régime spécifique d'assurance chômage.
APÉRO POUR MACRON (& SCIENCES PO) Allez les #NuitDebout ... ACTION ! La lutte des intermittents et de Nuit debout converge à l’Odéon. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Laurent Carpentier Stéphane Braunschweig a des tas de raisons d’être anxieux : la première de Britannicus qu’il répète à la Comédie Française aura lieu dans dix jours et voilà que l’Odéon-Théâtre de l’Europe, dont il est le directeur en remplacement de Luc Bondy, a été investi par les intermittents du spectacle réclamant d’y tenir leur assemblée générale ce lundi 25 avril. L’occupation est le moyen de faire pression sur les négociations qui se déroulent au même moment au ministère du travail sur le régime d’assurance-chômage des travailleurs du spectacle. « A La Colline, plusieurs fois j’ai ouvert la salle aux intermittents pour une assemblée générale, explique le metteur en scène.
Là, ils sont plus dans une logique d’occupation, ce qui rend la chose difficile. Occuper un lieu n’est pas anodin, même s’ils l’ont fait de manière responsable et pas agressive. » Lire aussi : Pourquoi les intermittents du spectacle se mobilisent-ils ? Vœu exaucé. Nuit debout, convergences, horizontalité, par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 25 avril 2016) D’après-vous, qu’est-ce qui a bien pu décider le gouvernement à proposer un tel projet de réforme, et de quoi la loi El Khomri serait-elle le symbole ? Nuit debout. Coups de fil anonymes et plainte au commissariat : Du rififi à Nuit Debout. Noémie Tolédano préfère sourire de l’anecdote.
Lundi 18 avril au matin, la jeune femme vient d’arriver au bureau lorsqu’elle reçoit son premier coup de fil de la journée. « Allô ? Une nuit à l'Odéon, avec les intermittents. Des participants de "Nuit debout" bloquent le gala de Sciences Po. NUIT DEBOUT - Ils sont venus protester contre "l'école des élites". Occupations, blocages, désobéissance civile, grève : que peut réellement Nuit Debout.
Faut pas parler pour nous, faut parler avec nous. Didier Porte : « Fumons avec Finky ! » Nuit debout : il faut (encore) sauver le soldat Finkielkraut. Frédéric LORDON : "Il faut chasser les gardiens du cadre" Contre la loi travail et son monde, manifestation sauvage du 14 avril. Emmanuel Todd : « Nuit debout contre le grand vide » 20 avril 2016. Pour etre tenu au courantde temps en temps @ffinités. Nuit debout : et maintenant ? Frédéric Lordon à la bourse du Travail : "Nuit Debout : L'Étape d'Après" Entre Nuit debout et la CGT, François Ruffin rêve de lien.
Frédéric Lordon : « Il faut bloquer pour que tout se débloque » LORDON NUIT DEBOUT. « Nuit Debout » : quand la démocratie reprend vie dans la rue - Basta !