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Our age is thirteen

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La photographie documentaire contemporaine aux États-Unis 1 Ce travail est le résultat d’une enquête conduite au premier trimestre 2013. Elle n’aurait pas été (...) 2 Olivier Lugon, Le style documentaire d’August Sander à Walker Evans, 1920-1945, Paris, Macula, 2001 3 Il a pu être dit que le journalisme relevait du temps court voire de l’instantané, et le documentai (...) 4 J’exclus de la discussion dans le présent article l’art politique qui utilise souvent la photograph (...) 5 L’humanitaire est l’un des grands pourvoyeurs et financeurs d’images documentaires. Nombreuses sont (...) 1Le documentaire photographique n’est ni un style — même si l’on a pu parler de « style documentaire » — ni une pratique spécifiques2. C’est plutôt un statut, le statut donné à une image ou, plus généralement, à une série d’images qui partent du réel et y reviennent, via des médiations complexes impliquant, entre autres, le processus photographique.

Quatre soeurs photographiées chaque année pendant 40 ans Chaque année, c’était le rituel des “Brown Sisters”. Pendant plusieurs décennies, ces quatre soeurs ont été prises en photo. En filigrane, le passage du temps capturé par le remarquable travail du photographe Nicholas Nixon.

Blind - L'histoire de la photographie documentaire, 2e partie La photographie documentaire a ceci de particulier qu’elle fut, dès les origines de la photographie, un projet pour la photographie dans sa globalité. L'historien Guillaume Blanc continue ici son parcours en profondeur ce que beaucoup considèrent comme la noblesse de la photographie. Lire la première partie du cours ici si besoin.

Accrochez-vous pour le prochain siècle ! L’atelier de Jean-Pierre Gapihan se trouve en bordure du Père Lachaise à Paris. Cet ancien photographe, qui s’est tourné vers l’encadrement, apporte la touche finale à l’accrochage des oeuvres de ses anciens pairs pour des galeries comme Agnès B., André Magnin, Polaris ou Revue Noire. Une touche discrète car, affirme-t-il, le destin du cadre, c’est de se faire oublier, hélas ! Jean-Pierre Gapihan dans son atelier parisien © Didier Robcis Documenter la vie quotidienne de gens ordinaires "Une civilisation démocratique ne se sauvera que si elle fait du langage de l’image une provocation à la réflexion et non une invite à l’hypnose". Cette citation d’Umberto Eco (d’un écrit des années 50 ou 60), est encore d’une grande actualité en 2014". Jacques Windenberger Parcours : "Représenter au mieux la complexité du monde" Jacques Windenberger est né en 1935 à Bourg-en-Bresse. D’abord rédacteur pour la presse écrite, il rejoint en 1959 l’agence de presse photographique Keystone à Paris.

Le coup de coeur de l’ANI : Thomas Cristofoletti Comme chaque année depuis 12 ans, l’ANI, association nationale des iconographes, s’est installée au cœur du Palais des Congrès de Perpignan pour la semaine professionnelle du festival international du photojournalisme : Visa pour l’Image. Du 2 au 9 septembre, l’ANI rassemble ses dix iconographes et effectuent, tout au long de la journée, des lectures de portfolios pour les jeunes photojournalistes. Aujourd’hui, Our Age is Thirteen publie le portfolio de Thomas Cristofoletti, premier coup de cœur de ces lectures. L’ANI, l’association d’une profession

Photographier la société soviétique Recensé : Annette Melot-Henry, La Photographie soviétique de 1917 à 1945, Presses Universitaires de Paris Ouest, 2012, 372 p., 25 €. L’historienne de l’art Annette Melot-Henry souligne à juste titre dans la postface de son ouvrage que la réception éditoriale de son livre suit l’évolution de l’intérêt pour la photographie soviétique en France. Les conditions ont changé. La photographie soviétique connaît depuis quelques années un regain d’actualité tant en France qu’en Russie. À Moscou, les lieux d’exposition se multiplient. La maison de la photographie, ouverte en 1996, le récent Centre de la photographie des Frères Lumière organisent régulièrement des rétrospectives mettant en valeur le patrimoine photographique soviétique et ses représentants les plus célèbres.

À propos d'une couverture de Politis : questions sur la photographie Des photos pour « changer de société » ? Le hors-série n° 53 de Politis, daté octobre-novembre 2010 et titré « Changer de société », se présente ainsi. Le numéro présente donc, en couverture, une photographie d’un jeune homme, métis et souriant. Il porte des dreadlocks, une chemise blanche et un gilet de laine bleu lumineux.

Censure, éthique et propagande au sein de la revue URSS en construction Full text 1 URSS en construction, 1930, no 1, p. 3. Afin d’empêcher nos ennemis de l’intérieur comme de l’extérieur de l’Union soviétique de la possibilité de déformer et de discréditer le langage verbal et mathématique, nous avons décidé de nous tourner vers le dessin par la lumière (svetopis), le travail du soleil, c’est à dire la photographie1.URSS en construction, 1930.

MONTRER LA GUERRE - France Culture Plus Comment montrer la guerre ? L’absence d’images de la guerre au Mali révèle en creux l’importance politique, stratégique et morale de la monstration (ou non) de la guerre dans le contexte médiatique que nous connaissons depuis la fin du 19ème siècle. Dès lors, comment les états, les journalistes, cinéastes et photographes se sont-ils emparés de cette question ? Raconter la guerre aujourd'hui Pendant une semaine, Bayeux était le rendez-vous de nombre de correspondants de guerre. Un rendez-vous désormais établi, avec des débats, des rencontres, des expositions et différents prix liés à une actualité toujours agitée. Ecoutez le président de cette 18ème édition du Prix Bayeux-Calvados, Mort Rosenblum, ancien journaliste de l'agence AP, rédacteur en chef de l'International Herald Tribune. Il a couvert environ 200 pays, entre 1965 et 2004, dont le Biafra, le Nigéria et le Vietnam. Il se confie à Tara Schlegel : Découvrez ici le palmarès officiel complet, avec en catégorie radio Etienne Monin, de France Info, récompensé pour un reportage à Misrata, en Libye, en avril dernier.

Retour de Fordlândia, une archive à ciel ouvert Fordlândia est une ville construite à partir de 1928 par Henry Ford en Amazonie sur la rive du Tapajòs, afin d'exploiter intensivement l'hévéa et le caoutchouc qu'il produit, nécessaire à la fabrication des pneumatiques. Le projet a échoué et Fordlândia est aujourd’hui un petit village, au milieu d’un patrimoine industriel au statut incertain. En août 2018, Suspended spaces a organisé une résidence flottante jusqu’à Fordlândia avec vingt artistes et chercheurs internationaux, en collaboration avec Fotoativa, collectif brésilien de Belém. Les images qui tuent L’objectif de l’appareil photo fournit au journalisme toutes sortes d’images: serrements de mains, défilés, portraits, couronnements, matchs, manifestations politiques et chiens courant sans laisse dans le parc. Or, depuis que les photographies ont commencé à s’imposer dans les journaux voilà plus d’un siècle, une autre sorte d’image, qui ne vient pas illustrer une histoire mais qui constituerait plutôt l’histoire elle-même, est devenue un sous-genre distinct du photojournalisme —la photo de mort. L’émergence et la signification culturelle des photos de morts, de mourants et de personnes condamnées apparaissant dans la presse et sur les écrans est le sujet du nouvel ouvrage, dense et instructif, de Barbie Zelizer: About To Die: How News Images Move the Public [Juste avant la mort: l’effet des photos de presse sur le public]. Un grand tabou La mise en place de l'interdit

Carnet de recherche visuel, par Muriel Berthou Crestey Une œuvre se regarde différemment selon que nous ayons pris connaissance ou non de son intitulé. Prenons, à titre d’exemple, un plâtre de Rodin dont se détachent deux silhouettes aux traitements différenciés. La lumière glisse sur la première, définissant la physionomie d’un personnage masculin en contrapposto alors qu’elle s’arrête sur les courbes féminines de la seconde, plus allusive, y dessinant quantité d’ombres. Comme le voulait la coutume, le titre a probablement été soufflé par l’un des ses collaborateurs. Il nous incite à y voir La Muse et le sculpteur, thèmes récurrents dans la production de Rodin pour qui le « mystère [le] plus précieux à pénétrer, c’est celui de l’art, de la beauté. » (cité p. 274). Cependant, l’explication se double d’une inscription apposée légèrement sur le socle, à la mine graphite : « La Belgique et son roi ».

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