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Combattre les neuromythes en éducation

Combattre les neuromythes en éducation

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Conseil scientifique de l’éducation nationale Notre société est confrontée à des défis majeurs de santé publique, de développement durable et d’information de masse. Afin d’effectuer des choix informés dans ces domaines ou dans d’autres, il est nécessaire d’être capable de distinguer les connaissances et les opinions, mais aussi de différencier les informations qui méritent notre confiance, de celles qui ne présentent pas de garantie suffisante de fiabilité. Le texte du groupe de travail « Eduquer à l’esprit critique » du CSEN tente d’identifier parmi les connaissances scientifiques déjà disponibles, les mécanismes naturels qui sont à l’œuvre dans l’exercice de l’esprit critique. C’est sur la base de ceux-ci et notamment de leurs limites, que les auteurs, Elena Pasquinelli et Gérald Bronner, proposent une série d’indications claires et pratiques pour son enseignement.

(18) Comment les neurosciences revisitent la formation professionnelle L'apport des neurosciences redéfinit les dispositifs d’apprentissage. Quels sont les grands principes pédagogiques qui bénéficient de l’apport des neurosciences ? Les méthodes pédagogiques actives ! Celles dont les techniques (comme la mise en situation, le jeu de rôles, les exercices pratiques) mettent le stagiaire en mouvement. Mémoire Il est démontré que les émotions peuvent moduler la façon dont une information est enregistrée, l’émotion renforçant ponctuellement l’attention. Ainsi, une émotion positive peut se traduire par une amélioration ponctuelle des performances mnésiques. Il apparaît également que la consolidation, et donc la rétention d’une information est favorisée par l’émotion : le rappel d’un souvenir émotionnel après un long intervalle est souvent plus important que lorsque ce souvenir est neutre. L’imagerie fonctionnelle montre d’ailleurs que le rappel des souvenirs est proportionnel à leur intensité émotionnelle qui peut être observée par l’activation de l’amygdale, siège des émotions. Enfin, la récupération d’un souvenir est aussi améliorée par la présence d’une émotion positive. Chez les personnes présentant un trouble cognitif, les expériences montrent un effet protecteur des émotions positives sur les capacités résiduelles de mémoire.

5 neuromythes invalidés par les neurosciences Steeve Masson explique dans cette vidéo qu’il existe beaucoup de fausses croyances sur le cerveau qui sont en fait des neuromythes. 1. Les styles d’apprentissage Les recherche en neurosciences n’ont pas encore réussi à démontrer qu’il existe des styles d’apprentissage propres à chaque individu (auditif, visuel, kinésthésique). A la découverte du cerveau Les activités physiques Rester actif est sans doute ce que l’on peut faire de mieux pour la santé de son cerveau. De nombreuses études l’ont démontré : faire de l’exercice physique régulier favorise le bon fonctionnement du cerveau. Il améliore l’humeur, diminue l’apparition de troubles cognitifs et stimule le renouvellement des neurones et l’apparition de nouvelles connexions entre eux.

Les quatre piliers de l'apprentissage, ou ce que nous disent les neurosciences L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale.

La perception des élèves ayant un trouble du spectre de l'autisme intégrés en classe ordinaire lors du passage vers le secondaire - Archipel Leroux-Boudreault, Ariane (2017). « La perception des élèves ayant un trouble du spectre de l'autisme intégrés en classe ordinaire lors du passage vers le secondaire » Thèse. Montréal (Québec, Canada), Université du Québec à Montréal, Doctorat en psychologie. Fichier(s) associé(s) à ce document : Démarrer en métacognition – TeacherShare.net Je vais résumer ici un article du Cambridge Assessment International Education qui s’appelle Getting started with metacognition que vous trouverez ici. La métacognition est la manière avec laquelle les élèves planifie, contrôle et évalue leur manière de penser lorsqu’ils apprennent. Notre rôle est donc de les aider : – à prendre conscience de ces stratégies qui existent et qu’ils peuvent utiliser (exemple : lire le texte en diagonale m’aide à comprendre le sens général), et de leurs capacités/compétences en général (exemple j’ai du mal à retenir les dates) ou de manière spécifique (les idées de ce texte sont complexes).

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. Place aux Sciences Co: C’est la semaine du cerveau! Par ElenaXLII Samedi j’ai été invitée au Palais de la Découverte pour une table ronde: thème Regards croisés sur l’esprit, la pensée. On m’a proposé un tour historique dans l’évolutions des sciences cognitives. Mais oui, c’était la Semaine du cerveau, tout s’explique! Je vous propose de refaire ce tour avec moi pour fêter ensemble…

Nos souvenirs, c'est du solide ! Contrairement à ce que l’on pensait, il suffit de quelques secondes pour qu’un souvenir se forme. Une fois enregistré, celui-ci peut être modifié ou rendu inaccessible, mais il ne s'efface pas. Explications avec Pascale Gisquet-Verrier et David Riccio dont les récents travaux reviennent ainsi sur le dogme de la consolidation de nos souvenirs. Dans le film "Eternal Sunshine of the Spotless Mind" (Michel Gondry, 2004), le personnage interprété par Jim Carrey fait appel à une étrange clinique spécialisée dans l'effacement des souvenirs...

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