http://www.youtube.com/watch?v=Umlbhss33nU
Related: Apprentissage • La formation Intégrer du ludique dans vos pédagogies • veille_sophie_lavi • Andragogie • FORMATEURS DE FORMATEURS-ENSEIGNANTSPédagogie et andragogie : soyons précis ! (Part 3) - Sydologie Cet article est le 3e d’une trilogie ; cliquez ici pour voir le 2nd et là pour voir le 1er ! Etymologiquement, le terme « andragogie » vient du grec andros qui désigne l’homme – au sens adulte de sexe masculin – et de agô, « mener, conduire, élever ». Ainsi, l’andragogie désigne la formation pour adultes (essayons de faire abstraction mesdames du fait que l’adulte est ici assimilé à l’homme uniquement !). La différence principale entre la pédagogie et l’andragogie est donc le public visé même si, par abus de langage, « pédagogie » est généralement employé pour les enfants et les adolescents comme pour les adultes.
Formalerte, un outil gratuit de veille pour les indicateurs 23 et 25 de Qualiopi Tous les organismes de formation connaissent maintenant l’indicateur 23 de Qualiopi: “Le prestataire réalise une veille légale et réglementaire sur le champ de la formation professionnelle et en exploite les enseignements” Ainsi que l’indicateur 25: “Le prestataire réalise une veille sur les innovations pédagogiques et technologiques permettant une évolution de ses prestations et en exploite les enseignements” Formalerte est un nouvel outil gratuit proposé par Digiforma pour vous accompagner dans cette veille réglementaire et pédagogique. Les meilleures sources d’information sont surveillées automatiquement, et vous recevez une alerte email regroupant les nouveaux articles détectés.
La pédagogie et l’andragogie : deux façons d'apprendre. Apprendre permet de monter en compétence et connaissance. Cependant, les besoins sont différents : certains souhaitent approfondir leurs connaissances tandis que d’autres cherchent à découvrir de nouvelles compétences. L'andragogie ; la capacité d'approfondir ce qui est acquis Flore Barcellini : travail collectif, collectif de travail et collaboration video1 On distingue le travail collectif du collectif de travail et préconise de penser les situations de travail qui soutiennent la qualité du travail . Elle propose, plutôt que de « mettre les gens ensemble et leur demander ce qu’ils pensent », de leur donner à voir le travail réel, formaliser les difficultés et les dilemmes des professionnels, pour les aider à repérer, comprendre et transformer, individuellement et collectivement, leur activité. Travail collectif : qu’est-ce qui est réellement commun ? Quand des personnes se réunissent autour d’un objectif commun, on parle de travail collectif. L’objectif prescrit est descendant et chaque métier a une certaine représentation de cet objectif.
Pédagogie et andragogie : soyons précis ! (Part 2) Cet article est le 2nd d’une trilogie ; cliquez ici pour voir le 1er et là pour voir le 3e ! En Occident, on distingue généralement trois modèles en matière de pédagogie : le modèle de l’empreinte, le modèle béhavioriste et le modèle constructiviste. Ces modèles reflètent les évolutions de la société et ont chacun des avantages et des faiblesses à prendre en considération en fonction de la situation, du contenu à transmettre, de l’enseignant, de l’apprenant etc. Le modèle de l’empreinte Dans ce modèle, dit aussi modèle « transmissif », l’apprenant est considéré comme une page blanche, vierge de toute connaissance sur le sujet abordé, que l’enseignant a pour mission de remplir. L’apprenant est passif dans ce processus : il doit écouter et observer mais on ne lui demande pas ou peu de réfléchir ni de poser des questions.
Décryptage du phénomène EdTech. Vers l’éducation du futur ? EdTech, un acronyme pour « Educational Technology ». Un nom de code pour un panel de solutions technologiques développées par des startups désireuses de disrupter l’éducation et la formation. Désormais incontournables, comment impactent-elles le supérieur français ? Eléments de réponse. Qui dit EdTech dit éducation.
Le rôle du groupe dans la transmission - Le Guide de la formation présentielle, par l’EAP Chapitre 3 Un processus de transmission et de socialisation Nous avons évoqué plus haut le modèle ICAP (2014) et le continuum des modes d’engagement cognitif selon lequel l’apprentissage varie en fonction du mode d’engagement cognitif des apprenants : plus l’engagement est constructif et interactif, plus l’apprentissage se fait en profondeur. Quelques éléments de psychologie cognitive pour aider les professionnels à concevoir des situations d'apprentissages Cette captation vidéo a été réalisée le 3 juin 2015 lors d'une journée de formation intitulée : Les dispositifs, la classe, l’établissement ; quels soutiens à l’engagement des élèves ? Cette journée a été l’occasion de réfléchir aux enjeux d’une aide apportée de manière cohérente et ajustée aux besoins des élèves, dans un contexte marqué par la controverse autour de l’insuffisante efficacité des dispositifs d’accompagnement des élèves. Quels pas de côté ces dispositifs font-ils faire aux enseignants, aux praticiens, afin de mieux comprendre la nature des difficultés des élèves ? La réflexion s'est appuyée notamment sur le travail d’une équipe de recherche qui a étudié durant deux années les formes de soutien proposées aux élèves en difficulté dans des configurations locales très différentes. Écouter les enregistrements de la journée
4 besoins humains nécessaires pour l'engagement (en classe, dans le travail de groupe...) Les enseignants ont besoin de prendre en compte 4 besoins humains basiques qui font (ou défont) l’engagement. Le désintérêt et le désengagement ne sont pas des fatalités (que ce soit à l’école ou même plus tard dans le travail). Motiver et faire adhérer les élèves au travail scolaire est un des défis principaux des enseignants. La plupart du temps, cela passe par des moyens de contrôle externes (récompenses/ punitions, couleurs de comportement) pour gagner l’engagement par le contrôle et par la force. Or les études (et notamment celles de Daniel Pink) ont montré que la motivation extrinsèque est beaucoup moins efficace (si ce n’est inefficace à long terme) sur le degré d’engagement.
POURQUOI LA PEDAGOGIE EN FORMATION POUR ADULTES EST-ELLE DIFFICILE A FAIRE EVOLUER ? La formation pour adultes est encore parfois trop imprégnée de pédagogie trop "scolaire"... à tout le moins celle que le formateur a vécu lui-même lorsqu'il était sur les bancs de l'Ecole. Il est difficile de faire évoluer sa pratique de formateur si l'on garde trop les stigmates de cette période. De même, un apprenant se remémorant ses apprentissages passés peut être fortement imprégné de vieux réflexes qui le feront évoluer difficilement vers les chemins de nouvelles connaissances ou compétences. Que retrouverez-vous dans la 4e boite à outils des formateurs ? Nouveaux contenus, nouvelle présentation, la 4e édition de la boite à outils des formateurs est parue le 27 mai 2020. Vendu à plus de 35 000 exemplaires, cet ouvrage est destiné aux formateurs permanents ou occasionnels, aux chefs de projets formation, aux ingénieurs pédagogues, aux coach ou managers de la formation. La boite à outils des formateurs permet de trouver des repères pour former des publics variés avec une vision globale de leur métier : de l’évaluation des besoins et du positionnement de l’action de formation jusqu’au transfert en situation de travail, en intégrant l’usage de modalités et techniques digitales qui inscrivent la formation dans des contextes différents (en salle, parcours dans la durée, formation en situation de travail…) Un contenu actualisé intégrant les outils et méthodes clés pour animer Cette 4e édition déroule l’action de formation en 8 dossiers et 71 fiches outils pratiques.
Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique.