Sexisme, parlons-en : une campagne pour sensibiliser les jeunes au sexisme et ses conséquences
Vendredi 29 novembre 2019, Le Centre Hubertine Auclert lançait la campagne "Sexisme, parlons-en", Une campagne de sensibilisation conçue et diffusée en partenariat avec le média Rose Carpet et l'afficheur JCDecaux. Premiers retours sur son impact. Les chiffres de la campagne (au 22 janvier 2020) 1,9 Million de vues sur les différents réseaux sociaux de Rose Carpet (Instagram, Youtube...) 626 000 Interactions (commentaires, partages, like...) 16 000 reprises/incarnations du message sur le réseau social TikTok Plus d'une dizaine de millions de vues sur TikTok Plusieurs millions d'interactions sur TikTok Des relais dans la presse (HuffPost, Au féminin, Le Journal des Femmes etc...)... Près de 700 lycées franciliens diffusant la campagne
A Normale-Sup, les concours sans oraux ont fait bondir la part de femmes admises
La crise sanitaire liée au coronavirus a chamboulé les procédures d’admission dans les grandes écoles. Etudiants sommés de réviser confinés sans bibliothèques, épreuves modifiées ou décalées dans le temps… Mais c’est surtout l’annulation de toutes les épreuves orales qui constitue, pour ces établissements dont la notoriété est intimement liée à la sélectivité de leurs sacro-saints concours, une situation inédite. A même de modifier, dans certains cas, le profil des lauréats.
Égalité Femmes-Hommes
Déclarée grande cause nationale du quinquennat par le président de la République, l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes passe par une mobilisation de tous. Le ministère du Travail agit pour en finir avec les inégalités salariales entre les femmes et les hommes et pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles. Égalité salariale entre les femmes et les hommes dans les entreprises Plus de 46 ans après l’inscription du principe "à travail de valeur égale, salaire égal", il demeure 9% d’écarts de salaire injustifiés entre les femmes et les hommes.
ESRI : chiffres-clés de l'égalité femmes-hommes (parution 2020) - Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation
Présentation Quelles sont les différences observées entre les jeunes femmes et les jeunes hommes dans leurs choix de formations supérieures? En quoi et à quel moment les carrières académiques des femmes et des hommes divergent-elles ? Dans quelle mesure les femmes sont-elles encore peu présentes dans les organes de gouvernance ? La situation en France se distingue-t-elle des autres pays ? Quel est le chemin qui reste à parcourir sur le chemin de l'égalité dans l'enseignement supérieur, la recherche et l'innovation ?
Masculins, est-ce ainsi que les hommes se vivent (1/4) : Interroger le genre : « C’est quoi un garçon ? »
Christophe et Eddy témoignent de la difficulté sociétale à composer avec cette masculinité embarrassante. Estéban, née fille, explique en miroir, sa démarche existentielle pour entrer dans la masculinité. J'étais l'enfant que l'on qualifiait de "garçon manqué" dans la cour de récréation.
Femmes et hommes
Données31 décembre 2020La pauvreté selon le sexe Les taux de pauvreté féminin et masculin sont quasiment identiques. On considère en effet qu’au sein d’un couple, les revenus du ménage sont partagés à égalité. Pour comprendre la précarité d’une partie des femmes, il faut s’intéresser à leurs ressources (...)
Égalité femmes-hommes en entreprise: que dit la loi?
Alors que le gouvernement vient de mettre en place un indice mesurant la politique de mixité en entreprise, et que ce vendredi 8 mars se tient la Journée internationale des droits des femmes, ces dernières pâtissent encore d'inégalités. À travail égal de valeur égal, salaire égal. Depuis 1972 et la loi du 22 décembre, «tout employeur est tenu d'assurer, pour un même travail ou pour un travail de valeur égale, l'égalité de rémunération entre les hommes et les femmes».
violences conjugales : le confinement révélateur
Le nombre d’appels reçus par le service d’écoute des victimes de violences conjugales a bondi d'environ 400% entre la semaine du 9 mars 2020 (soit avant le confinement) et la semaine du 20 avril 2020 (pendant le confinement). Le nombre d’appels est ainsi passé de 2 145 à 8 213. Pour la MIPROF, ce chiffre ne signifie pas nécessairement que le nombre de violences a augmenté durant cette période : "Le nombre de victimes accompagnées a augmenté, sans pouvoir en tirer la conclusion que le confinement a eu un effet "déclencheur" des violences dans le couple".