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Please Rob Me

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Hacker Croll, le « gentil pirate » encourt deux ans de prison - « Je suis un gentil pirate ». Cette phrase de François C., plus connu sous le nom de Hacker Croll, est reprise en boucle depuis hier par tous les médias français. Journaux télévisés, radios, quotidiens, magazines se sont emparés de l’histoire de ce jeune homme de 25 ans, un « monsieur tout le monde » qui a infiltré le site Twitter et les comptes de plusieurs célébrités dont celui du président Barack Obama. Arrêté mardi matin au domicile de sa mère dans le Puy-de-Dôme, il a été interrogé conjointement par les policiers de l'OCCLTIC (*) et les officiers du FBI, puis relâché après 24 heures de garde à vue. Depuis, le jeune homme répond aux sollicitations de la presse pour défendre sa cause et répéter qu’il n’a pas voulu nuire mais simplement « prévenir, montrer les failles du système ».

Réseaux sociaux : la formation des salariés est stratégique pour Hier encore méfiantes, les entreprises ouvrent aujourd'hui leurs bras aux réseaux sociaux. Facebook, Twitter et autres LinkedIn sont aujourd'hui utilisés en interne mais aussi et surtout en externe afin d'intégrer ce média dans l'activité commerciale. Ainsi, selon une enquête de Forrester menée auprès de 900 DSI (Amérique du Nord et Europe), 26% des entreprises ont déjà intégré l’utilisation des réseaux sociaux à des fins externes ou internes et la moitié de ces entreprises a prévu d’étendre ou de mettre à jour ce qu’ils ont déjà implémenté. Enfin, 6% des répondants ont prévu d’intégrer l’utilisation des réseaux sociaux à leur activité. Les bénéfices sont connus mais les risques sont multiples.

Le profilage aboutit L'analyse des informations engrangées par les systèmes capables de pister la navigation d'un internaute n'est pas une science exacte. D'autant plus avec les réseaux sociaux. Analyser les habitudes des visiteurs d'un site est déjà une pratique courante. Rapportée aux réseaux sociaux, cela menace l'anonymat de données récoltées. 45% des DRH/USA enquêtent sur les réseaux sociaux Attention, si vous êtes à la recherche d’un emploi, prenez garde à ce que vous publiez sur les pages personnelles de vos réseaux sociaux favoris. D’après les résultats d’un sondage mené aux Etats-Unis et publié par le site CareerBuilder.com, 45% des employeurs consultent les réseaux sociaux pour se faire une idée sur des candidats à l’embauche. L’étude s’est faite auprès de 2 600 responsables recrutement et DRH de grandes entreprises dans les secteurs IT et services. 29% d’entre elles ont déclaré utiliser Facebook, 26% LinkedIn et 21% MySpace.

Les internautes mod Les recruteurs regardent désormais les pages des candidats sur les réseaux sociaux. Une attitude qui pousse les jeunes diplômés à gérer le contenu affiché pour qu'il leur ressemble sans les trahir. Les jeunes diplômés savent désormais se servir à bon escient de leurs pages de profil sur les réseaux sociaux. L'université de Dayton, qui publie une étude sur le sujet, s'est ainsi rendue compte que les étudiants sont conscients du rôle que jouent les réseaux sociaux dans le processus de recrutement. Ils ne considèrent du coup plus ces plates-formes comme des pages privées où le recruteur ne peut aller.

Facebook met dans l'embarras le prochain patron du MI6 britanniq Facebook est un service utile et amusant (rayez la mention inutile) mais peut vite se transformer en véritable piège lorsque son profil est mal protégé. Chacun y publie tout et n'importe quoi sans trop de soucier des conséquences. On le sait, les recruteurs n'hésitent plus à aller visiter les pages de leurs candidats pour en savoir plus sur leurs vies privées. Ce qui peut ruiner en quelques secondes une candidature. Laxisme Mais l'aventure qui vient d'arriver à Sir John Sawers est encore plus piquante.

Pourquoi sommes-nous si impudiques ? - Recherche en histoire vis Les enquêtes sur les usages d’Internet font systématiquement apparaître deux résultats absolument contradictoires. Les usagers se montrent de plus en plus soucieux des risques de contrôle, de détournement et d’exploitation commerciale des données personnelles qu’ils laissent sur Internet. Mais par ailleurs, ils – et ce sont pourtant souvent les mêmes – se révèlent de plus en plus impudiques dans leurs pratiques d’exposition de soi, notamment sur les sites de réseaux sociaux et les blogs. Cette ambivalence n’est qu’apparente si l’on est attentif au fait qu’elle oppose une pratique à une représentation. La sociologie des usages rencontre souvent de tels désajustements et elle a appris qu’en la matière, il était préférable de se fier aux pratiques. Tout, en effet, laisse à penser que la tendance «expressiviste» qui conduit les personnes à afficher de plus en plus d’éléments de leur identité personnelle sur le web n’est pas prête de s’éteindre.

La génétique communautaire manque encore d'un cadr Le partage de données génétiques se popularise, alors que rien n'existe dans le domaine pour protéger l'utilisateur des risques inhérents à ces services. Une nouvelle mission pour les spécialistes de l'assurance santé ? Plus de cent entreprises proposent des tests génétiques aux particuliers. Et quelques-unes comme 23andMe proposent même de créer un profil public et de partager ces données via des réseaux sociaux. Une étude menée par la Stanford University School of Medicine rappelle cependant que l'affichage public de ces données représente potentiellement une atteinte à la vie privée des utilisateurs et un risque d'erreur pour les spécialistes de la santé.

Réseaux sociaux : un succès fulgurant mais fragile Entre avril 2008 et avril 2009, le nombre de minutes passées par les internautes américains sur les sites de réseaux sociaux a presque doublé (+ 83%), selon l’étude livrée par Nielsen Online. Il en ressort aussi un classement qui place Facebook largement en tête avec ses 200 millions d’adhérents qui ont passé 13,9 milliards de minutes en avril de cette année, contre 1,7 milliards l’année dernière. MySpace arrive en seconde position bien que son audience ait baissée de 31% de 7,3 milliards de minutes à 4,9 milliards en avril de cette année.

le profil est une image fidèle Les pages personnelles sur un réseau donnent une impression assez juste de la personnalité réelle d'un individu. L'une des raisons : les internautes connaissent un grand nombre de leurs contacts et ne se risquent pas à mentir. La page personnelle d'un individu sur un réseau social véhicule une image de cette même personne proche de la réalité. C'est ce qui ressort d'une étude réalisée par une équipe de psychologues américains pour le Journal of experimental social psychology. Au départ, les chercheurs se sont penchés sur le degré de sociabilité d'une personne, dans la vie réelle et sur Internet.

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