https://lecerveau.mcgill.ca/avance.php
Related: Neurosciences • Apprendre à apprendre • Apprendre suite NRS suiteEt si les neurosciences bousculaient le management ? Dopées par les progrès foudroyants de l'imagerie cérébrale, les neurosciences ont le vent en poupe. Leurs découvertes, au-delà de la sphère clinique, concernent au final tout type de relation humaine, y compris celles dans le monde du travail. « Nous avons pu localiser et comprendre quelles zones cérébrales s'activent lorsque nous ressentons des émotions, positives et négatives. Fait remarquable, ce sont les mêmes circuits qui s'activent dans notre cerveau lorsque nous sommes en relation avec autrui, confronté à ses émotions. Achetez l'article Pour J'achète Vous n'êtes pas abonné ? S'abonner Déjà inscrit ou abonné ?
Partageons nos savoirs Simple Ways to Integrate Four Evidence-Based Teaching Strategies When educators understand the science behind teaching practices they can more readily incorporate them into their daily instruction, says Cult of Pedagogy’s Jennifer Gonzalez. In her podcast and accompanying post, Gonzalez highlights the four key teaching strategies researcher that Pooja Agarwal and K–12 teacher Patrice Bain feature in their new book, Powerful Teaching: Unleash the Science of Learning. They explain the science behind the suggestions, many of which are familiar, as well as best practices and applications for each one. Retrieval practice: The goal is for students to recall information from memory and reinforce learning through quick daily assessments. Evidence shows that actively accessing learned material—rather than merely reteaching it—boosts retention. Bain decided that daily mini-quizzes were a better way than her regular homework assignments to engage students in retrieval practice. Retrieval isn’t just about things that have been covered recently.
Sitographie Toutes les pages Web citées dans le site "Apprendre à apprendre" sont regroupées et détaillées ici de manière thématique, selon onze entrées. Ces adresses ont été vérifiées en février 2007. Dans le corps de notre texte, la présence de liens hypertextes se manifeste par la petite main qui apparaît en survol de la souris, et par la couleur du texte. Le rouge clair permet de distinguer les liens dirigeant sur d'autres parties du site "Apprendre à apprendre" , tandis que le rouge foncé indique les liens dirigeant sur d'autres sites. Pour faciliter votre lecture, éviter des recherches fastidieuses, ou de se perdre dans des sites souvent très riches et complexes, ces liens sont aussi souvent que possible des liens profonds, qui permettent d'accéder directement à l'information voulue. Apprendre ? L'approche cognitive de l'apprentissage, les principes fondamentaux, par Jacques Tardif. Auteur : Jacques Tardif, 1992.
La compréhension, le parent pauvre de l'enseignement de la lecture la compréhension : une didactique très récente La compréhension, comme élément à enseigner, a été définie assez récemment dans les textes officiels. Il faut attendre les instructions de 2002, puis plus récemment celles de 2015, pour qu'elle soit présentée comme un objet à enseigner avec une progression, des démarches et des activités spécifiques, des supports identifiés. Il s'agit d'un enseignement complexe à mettre en oeuvre, encore peu travaillé en formation, pour lequel les outils didactiques sont récents.En observant les pratiques dans 131 classes ayant participé à la recherche Lire et Ecrire, le constat suivant a été dressé (il s'agit de moyennes qui ne rendent pas compte des fortes disparités constatées) : comprendre, c'est élaborer une représentation mentale les compétences lexicales et linguistiquesles compétences stratégiquesles compétences référentielles et inférentiellesles compétences d'autorégulation et de métacognition. dix éléments essentiels pour enseigner la compréhension
5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens. Suite à la présentation que j’ai eu l’occasion de réaliser au forum, je vous invite donc à découvrir ci-dessous 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux former et apprendre : Découvrez 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux favoriser l’apprentissage dans vos formations. 1. Tous les êtres humains disposent d’une mémoire de travail. De plus, les recherches montrent que l’attention des apprenants chute naturellement au bout d’environ 10 minutes. 2. 3. 4. 5. Source : J.
Ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport Publications — LRN Allaire-Duquette, G., Belanger, M., Grabner, R. H., Koschutnig, K., & Masson, S. (2019). Individual differences in science competence among students are associated with ventrolateral prefrontal cortex activation. Journal of Neuroscience Research, 97(9), 1163-1178. doi:10.1002/jnr.24435 ABSTRACT: Functional neuroimaging studies have revealed that, compared with novices, science experts show increased activation in dorsolateral and ventrolateral prefrontal brain areas associated with inhibitory control mechanisms when providing scientifically valid responses in tasks related to electricity and mechanics. However, no study thus far has explored the relationship between activation of the key brain regions involved in inhibitory control mechanisms, namely the ventrolateral prefrontal cortex (VLPC) and dorsolateral prefrontal cortex (DLPC), and individual differences in conceptual science competence, while controlling for scientific training.
Lisez de la fiction, c'est bon pour votre cerveau La littérature n'est pas simplement bonne pour votre orthographe, votre langage et votre très grand plaisir. Elle l'est aussi pour votre capacité à raisonner. C'est ce que montre une étude réalisée au Canada sur des étudiants de l'université de Toronto, rapporte le Pacific Standard Magazine: «Un trio de chercheurs de l'université de Toronto, mené par la psychologue Maja Djikic, explique que les sujets qui viennent juste de lire une nouvelle ont moins besoin de ce que les psychologues appellent la closure.» C'est-à-dire qu'ils sont moins gênés par les situations ambiguës. «Comparés à ceux qui viennent de lire un essai, ceux qui viennent de lire une nouvelle expriment d'avantage de confort avec le désordre, l'incertitude –une attitude qui permet à la fois une réflexion plus élaborée et une plus grande créativité.» «De ce double phénomène –réfléchir sans un sens de l’urgence ou de permanence, et réfléchir de manière différente de la sienne propre– peut résulter une ouverture de l’esprit.»
Intelligence émotionnelle : un tableau pour comprendre les émotions, les apprivoiser et accompagner celles des enfants Intelligence émotionnelle : un tableau pour comprendre les émotions, les apprivoiser et accompagner celles des enfants Un humain, adulte ou enfant, qui enfouit ses émotions, qui ne peut pas ou n’a pas le droit de manifester sa joie ou sa colère, n’apprend pas à tenir compte de ce que lui ou les autres ressentent. Cet humain ne développe ni empathie, ni bienveillance que ce soit pour pour lui-même ou pour les autres. C’est la raison pour laquelle il est important que les adultes cultivent leur propre intelligence émotionnelle afin d’accompagner avec empathie les émotions des enfants. Quand un adulte et un enfant apprennent à nommer leurs émotions et à repérer le message envoyé par leur corps, ils arrivent mieux à s’adapter à la vie en groupe et à comprendre ce qui compte pour eux-mêmes (affirmation des limites personnelles et des valeurs importantes) mais aussi pour les autres (empathie et respect des règles quand elles ont du sens au service de la vie en groupe).