Les greffes cutanees ou cutanées
Aller directement : allogreffe, modalités, les prélèvements, Les problèmes, Greffe d'Os Les brûlures Une brûlure est une atteinte de la peau voire des tissus sous-jacents, sous l'effet de différents agents en particulier thermiques, électriques et chimiques.Le diagnostic repose sur l'évaluation de la surface du corps atteinte, exprimée en pourcentage, et sur celle de la profondeur des lésions, exprimée en degré du 1er au 3ème. Ce traumatisme est encore aujourd'hui un des plus graves que puisse subir un être humain : la mortalité reste importante en dépit des progrès thérapeutiques et il persiste très souvent des séquelles dramatiques. Les autogreffes cutanées Il est évident que plus la surface brûlée augmente, plus l'étendue des surfaces où il est possible de prélever de la peau diminue. Allogreffes cutanées Les allogreffes cutanées sont utilisées pour soigner les grands brûlés. Rôle des allogreffes cutanées Cadre des prélèvements et de l'utilisation Modalités d'utilisation Note Lexique
Les bénéfices de la greffe d’organes
Une vie de plus en plus « normale » Si la greffe d’organes est pratiquée depuis plus de cinquante ans, la survie et la qualité de vie des personnes greffées ne cesse de s’améliorer. Avec les progrès réalisé dans l’immunosuppression, aujourd’hui, 90 à 95 % des reins greffés fonctionnent toujours après 12 mois et 80 % des greffons sont encore parfaitement fonctionnels 5 ans après la greffe. Enfin, ces dernières années, les traitements immunosuppresseurs se sont perfectionnés et individualisés pour en limiter les effets secondaires. Grâce à toutes ces avancées, la vie d’une personne greffée est aujourd’hui beaucoup plus agréable et proche de la normale qu’il y a 30 ans. Chaque greffe d’organe est un cas particulier, avec ses propres bénéfices. Recevoir une greffe de rein permet d’améliorer significativement la qualité de vie des malades. Pour d’autres organes comme le cœur, les poumons ou le foie, la greffe sauve la personne d’un décès à court ou moyen terme. Un suivi médical nécessaire
Don d’organes - Agence de la biomédecine
FRANCE ADOT
Transplantation d’organes
La transplantation rénale reste de loin la plus fréquente : environ 3 000 chaque année en France (3 232 en 2014). Qu'elle soit due au diabète ou à d'autres maladies, l'insuffisance rénale condamne les patients à subir régulièrement des séances de dialyse. La transplantation améliore leur survie et restaure une vie normale. Dans plus de la moitié des cas, la décision de greffer un foie fait suite à une cirrhose, qu'elle soit alcoolique ou due à des maladies comme les hépatites C et B ou des pathologies des voies biliaires. L'insuffisance cardiaque peut dériver d'un infarctus du myocarde, d'une hypertension artérielle sévère non traitée, d'anomalies des valves ou de la consommation de toxiques (médicaments, alcool...). Procédure plus récente, la greffe des poumons se développe actuellement (327 en 2014). Outre ces "classiques", des transplantations d'autres organes sont apparues ces dernières années.
Greffe et don d'organe : le rejet de greffe
La principale complication de la greffe d'organe est le phénomène de rejet. Ce rejet va dépendre essentiellement de la réaction immunologique du Receveur contre l'organe greffé. Cette réaction de défense immunologique développée par le Receveur est très proche de celle générée au cours de la défense contre une infection. Elle met en jeu des cellules (essentiellement les lymphocytes T), des anticorps, et la production de médiateurs solubles qui participent à cette réaction (les cytokines). Les cibles du rejet Les cibles de la réaction immunologique de rejet sont les antigènes de transplantation propres au Donneur et portés par le greffon. Les principaux antigènes de transplantation sont les antigènes d'histocompatibilité, appelés antigènes HLA. Les différentes formes de rejet Plusieurs formes de rejets existent. Dans tous les cas, ces rejets mettent en péril la fonctionnalité du greffon. Le rejet aigu: il survient à partir du 4è jour post-greffe. La prévention du rejet
Cellules souches et thérapie cellulaire
Les thérapies cellulaires désignent les greffes de cellules visant à restaurer les fonctions d’un tissu ou d’un organe lorsqu’elles sont altérées par un accident, une pathologie ou le vieillissement. Ces thérapies ont bénéficié des avancées scientifiques récentes sur les cellules souches et nourrissent chez des millions de patients l’espoir d’une médecine régénérative. Les cellules souches ont deux propriétés principales : l’autorenouvellement (elles se multiplient en donnant de nouvelles cellules souches) et la différenciation (selon certaines conditions de milieu, elles produisent des cellules spécialisées, par exemple de foie, de pancréas, de peau, de muscle, etc.). On les trouve dans l’embryon, le fœtus, le sang de cordon et divers tissus de l’individu après sa naissance. © Inserm, A. Résultats de la différenciation striatale in vitro de cellules souches embryonnaires humaines (lignée SA001) après 68 jours in vitro. Les greffes cellulaires ont déjà une histoire ancienne. Actualités
Dong du sang