Présentation - Martine Mottet
Pourquoi? La prise de notes est une étape cruciale du processus de recherche d’information, parce qu’elle permet de réunir l’ensemble des idées importantes à retenir et à traiter dans la recherche. Former les élèves à cet exercice permet de diminuer grandement les risques de plagiat puisque, lorsqu’ils sont bien outillés, les élèves ont moins tendance à copier-coller de larges extraits des textes consultés. D’ailleurs, prendre des notes de manière efficace leur permet de mieux s’approprier le contenu du texte, de retenir les idées importantes et de les reformuler dans leurs propres mots. Comment?
Références
Liste des notions [afficher] B (base de données, bruit...) D (document, droit de l'information...)
Prendre des notes en 3e
Je propose aux collègues de Français une séance de 2 heures sur la prise de notes, en vue de la préparation à la classe de seconde. Cela permet d'aborder les différentes techniques de condensation, d'abréviation, de schématisation. Je projette aux élèves une vidéo de 5 minutes tirée du site.tv (ici un entretien avec Pierre Miquel sur les poilus). Ils doivent essayer de prendre des notes. On analyse ensuite les difficultés qu'ils ont rencontrées.
Travailler différemment la prise de notes en 4ème : introduction de la notion de "document de collecte"
22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 11:21 Avec une enseignante d'histoire-géographie, nous réfléchissons à la mise en place d'une séquence de recherche en 4ème autour des Lumières. Je veux m'appuyer sur deux idées qui sont développées par Nicole Boubée. La première est l'idée que lorsque nous cherchons sur internet, notre questionnement se construit au fur et à mesure de nos lectures.
WikiNotions
Liste des notions [afficher] B (base de données, bruit...) D (document, droit de l'information...) I (identité numérique, indexation...)
L'Agence nationale des Usages des TICE - Jeux serieux pour internet responsable
Patricia Mac Kenzie, professeure documentaliste au collège du Pays de Banon évoque, à l’occasion des « Rencontres de l’ORME 2013 », l’intérêt des jeux sérieux dans la responsabilisation des élèves sur Internet. Origine du projet Nous nous sommes intéressés aux « serious games » en 2009, lors de la proposition du jeu « 2025 exmachina » par Internet sans crainte pour la semaine « Safer Internet Day », accompagnant des propositions d’actions autour de la thématique « Tu publies, tu réfléchis… ». Le collège de Banon a alors postulé pour une expérimentation académique autour de divers jeux sérieux et notamment « 2025 exmachina ». Celle-ci a été inscrite dans le projet CESC (Comité d’éducation à la santé et à la citoyenneté) du projet d’établissement.
[FADBEN]
Avec la volonté de faire évoluer positivement la profession des enseignants documentalistes, dans sa mission pédagogique liée au domaine d’enseignement de l’information-documentation, la FADBEN propose de contribuer activement à la construction d’un curriculum en information-documentation. Lors des Assises nationales « Éducation à l’information et à la documentation », en 2003, Jean-Louis Charbonnier, alors formateur en IUFM, est revenu sur la définition historique du « curriculum », « programme d’étude ou de formation organisé dans le cadre d’une institution d’enseignement ou, plus précisément, ensemble cohérent de contenus et de situations d’apprentissage mis en œuvre dans une progression déterminée », d’après le Dictionnaire encyclopédique de l’éducation et de la formation (Nathan, 1998) [1]. Depuis 2003, les réflexions autour du curriculum en information-documentation ont été poursuivies. Cette construction s’appuie sur les douze propositions énoncées par le GRCDI.
Se représenter le Web : image mentale et compréhension du sens
« 7 à 12 ans : stade des opérations intellectuelles concrètes : les mots ne peuvent être compris que par le support de l’évocation mentale sémantique : comprendre à cet âge, c’est imaginer, sinon percevoir. La démarche cognitive est avant tout inductive. Le pédagogue doit vérifier si sous les mots se cache l’image mentale des référents et si cette image est correcte. La langue est porteuse de sens. Elle doit permettre aux locuteurs l’évocation d’images mentales (ou représentations sémantiques). Ces représentations évoquées doivent être partagées entre les sources de langages et les récepteurs pour qu’il y ait compréhension du sens. »