http://www.youtube.com/watch?v=etvZ7fDxQdc
Related: Du bon usage des réunions et des séminairesLes chiffres : Statistiques sur la conduite de réunion October 16th, 2013 – 0 Comments and Reactions Quelqu’un a dit un jour : “Une réunion est un événement où l’on perd des heures à gagner quelques minutes”. Cet état de fait est malheureusement encore beaucoup plus répandu que la plupart des gestionnaires ne veulent l’avouer. Considérez les statistiques relatives à la conduite de réunion suivantes, rassemblées à partir de différentes sources : D’après une enquête réalisée en 2012 par Salary.com, le plus grand facteur de perte de temps au travail est dû à un excès de réunions, cause qui n’occupait que le 3ème rang dans une enquête similaire datant de 2008. Une enquête sur Microsoft Office cite les trois facteurs de perte de temps les plus importants comme étant l’inefficacité des réunions, le manque de clarté des objectifs et une mauvaise communication entre les intervenants.
Les bons reflexes pour perdre moins de temps en réunion J’ai déjà eu de nombreuses occasions de vous mettre en garde contre les trois tueurs de productivité : l’email, les fichiers bureautiques et les réunions. Nous avons déjà étudié de nombreuses alternatives aux deux premiers, mais pas récemment traité du dernier point. Je pense ne rien vous apprendre en vous disant que les réunions sont toxiques et qu’elles sont un ingrédient majeur des dysfonctionnements en entreprise. La conduite de réunion L’animateur effectue une tâche complexe en favorisant la progression du groupe vers ses buts. Il doit savoir gérer l’ensemble des processus qui s’établissent dans les différentes étapes de la vie d’un groupe. (important : voir les présupposés liés à la communication dans les groupes) Les styles de conduite de groupe l’animation autoritaire qui décide des buts, des moyens et de la répartition des tâches entre les membres du groupe sans tenir compte de ce qu’ils pourraient penser.
Pourquoi perdre son temps en réunion ? Vous passez en moyenne un tiers de votre journée en réunion. À la clé : du « vrai » travail qui s’accumule, des journées interminables pour rattraper le temps perdu et de la démotivation. Rien qu’au Royaume-Uni, une étude d’Epson montre que les entreprises ont perdu 41 milliards de dollars dans des réunions improductives en 2011. Comment soigner la réunionite ? 1. Un cadre passe en moyenne seize ans en réunion Si 98 % d'entre eux estiment qu'elles sont nécessaires, les trois quarts considèrent aussi y perdre leur temps. Ne dites pas à un cadre qu'il perd son temps en réunion! Il y consacre en réalité seize années de sa vie professionnelle (sur une carrière de quarante ans), selon une étude du cabinet Perfony, spécialisé dans la coordination en entreprise. Trop coûteuse, trop longue et peu efficace: pour beaucoup, la réunion est pourtant bel et bien une perte de temps. Plus de 340 cadres ont été interrogés par Perfony sur leurs impressions au sortir des réunions au mois de novembre dernier.
Il n'y a jamais trop de réunions dans les entreprises Confondre symptôme et mal Il y a une raison très simple à cette erreur de diagnostic : c’est un fait que le temps passé en réunion paraît très long et inutile à beaucoup de participants ; que l’on a tous assisté à des réunions où la moitié des participants ont l’œil rivé sur le smartphone, et souvent le PC ouvert devant soi ; que l’on est souvent invité à des réunions sans vraiment savoir ce qui est attendu de nous, quel objectif est visé, quelle décision doit être prise ; bref, on perd son temps et on incrimine celle qui semble responsable : la réunion elle-même. Mais c’est confondre le symptôme et le mal. Si la réunion semble inutile, c’est d’abord parce qu’elle est mal animée ; elle a généralement été créée pour une raison tout à fait valable et ce n’est pas parce qu’elle est inefficace qu’elle doit disparaître. S’attaquer aux réunions, c’est abattre la bête parce qu’elle est essoufflée ; c’est jeter le bébé avec l’eau du bain. La réunion est la raison d’être de l’entreprise
Augmenter l'efficacité des réunions Nous en sommes convaincus et ne sommes pas les seuls ! Preuve en est un sondage*, réalisé par l'IFOP en ligne du 19 au 24 mars et mené auprès d'un échantillon de 1.001 personnes représentatif de la population cadre, qui révèle que : 32% des cadres se sont déjà assoupis en réunion La mauvaise organisation du travail coûte 12 000 euros par an et par salarié ... Mozart consulting et le groupe Apicil ont présenté les résultats de l’IBET 2014, un indice qui permet de mesurer le bien-être au travail. Ils nous apprennent notamment que le désengagement socio-organisationnel des entreprises françaises représente 12 000 euros par an et par salarié. Afin de conseiller les entreprises sur les actions à mettre en place pour améliorer le bien-être au travail, il faut d’abord élaborer un indice qui permette de mesurer la situation.