Ce que les annonces de la BCE peuvent réellement changer. A l'unanimité, la Banque centrale européenne (BCE) a décidé de sortir les grands moyens ce jeudi pour tenter de faire grimper une inflation qui flanche dangereusement et encourager une croissance économique qui peine à décoller en zone euro.
La hausse des prix a atteint 0,5% en mai, selon une première estimation, après 0,7% en avril et 0,5% en mars. Soit très loin de l'objectif d'assurer une inflation proche mais en dessous de 2%. La BCE a également revu en baisse sa prévision de croissance du PIB pour 2014, à +1%, contre 1,2% il y a trois mois. Les quatre points forts de l'arsenal. > Taux directeur au plus bas historique Première mesure annoncée, l'institution a baissé une nouvelle fois ses taux d'intérêt, déjà au plus bas. > Territoire négatif pour le taux de dépôt Surtout, la BCE a fait une incursion en terrain inconnu en portant son taux de dépôt en territoire négatif, à -0,1%, une mesure qu'aucune banque centrale d'envergure n'avait expérimentée jusqu'ici.
> Prêts massifs aux banques. Loi sur l'Économie sociale et solidaire (ESS): le guide pour l'entreprise - L'Express. La France réduit fortement le déficit de son commerce extérieur. Les trois grandes faiblesses du commerce extérieur français. Un mauvais positionnement, une taille trop petite et des coûts trop élevés expliquent le retard hexagonal des entreprises françaises en matière de commerce international.
Les faiblesses françaises à l'export sont connues et identifiées depuis des années. Aucun gouvernement n'a réussi, malgré ses efforts et ses incantations, à corriger franchement la situation. Aujourd'hui, les excédents commerciaux allemands (près de 200 milliards d'euros en 2013!) Sont en grande partie le reflet des déficits français. 1) Un mauvais positionnement géographique et des produits Les exportations françaises souffrent à la fois d'une trop grande concentration sur certains secteurs et de destinations géographiques insuffisamment porteuses en terme de croissance.
Autre travers: alors que l'Allemagne a fait le choix du haut de gamme dans les biens d'équipement, la France exporte dans une gamme intermédiaire, à la fois en qualité et en coût. 2) Des entreprises qui ont du mal à grandir 3) Une compétitivité dégradée. Des ressources pour réinventer l'économie (économie sociale et solidaire) chp 4. Les dépenses de santé inférieures de 1,4 milliard d'euros aux prévisions de 2013 Chp 3. Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics et Christian Eckert, Secrétaire d’Etat chargé du Budget, notent avec satisfaction que l’avis rendu vendredi 11 avril par le comité d’alerte sur l’évolution des dépenses d’assurance maladie témoigne de la capacité du gouvernement à redresser les comptes de l’assurance maladie tout en préservant le niveau de protection des assurés sociaux et la qualité des soins apportés.
En effet, le respect de l’objectif national des dépenses d’assurance maladie (ONDAM) pour 2013 et l’avis positif du comité sur le respect de l’objectif 2014, dont la progression est fixée à + 2,4 %, confirment que le Gouvernement réussit à maîtriser durablement ces dépenses. Taux de chômage et chômeurs en France : où en est-on en mai 2014 ? Chp 1. Taux de chômage et chômeurs en France : où en est-on en mai 2014 ? Chp 1. En septembre 2017, le nombre de demandeurs d'emploi est en baisse de 1,8% sur un mois, à 3 475 500.
Au second trimestre 2017, le taux de chômage recule de 0,1 point sur trois mois à 9,2%. [Mise à jour le vendredi 10 novembre 2017 à 18h31] Le 9 novembre 2017, Pôle emploi et le ministère du Travail ont annoncé qu'à partir du mois de janvier 2018, la Dares (le service d'études et statistiques du ministère du Travail) publiera tous les trois mois le nombre de demandeurs d'emploi. Jusqu'à présent, les chiffres étaient rendus publics tous les mois. Cependant, le nombre de demandeurs d'emploi continuera à être mis en ligne sur le site du ministère. Mais il ne fera plus l'objet d'une publication. Le nombre de chômeurs de catégorie A, c'est-à-dire sans aucune activité est en baisse de 1,8% sur le mois de septembre, après une hausse de 0,6% en août. Les chômeurs en France.