Nuclear Innovation 2050 (NI2050) - A Roadmap to a Carbon-free Energy Future. The Nuclear Energy Agency (NEA) has, since its inception, worked with interested countries to facilitate co-operation and technical exchanges for the purpose of advancing nuclear technology and enhancing its ability to provide safe and secure energy.
While there are more nuclear power plants under construction and being planned than at any time since the 1970s, innovation in many countries has slowed. As a result, the advanced technologies needed to develop next-generation nuclear energy technologies, to find new and better approaches to managing radioactive waste and to deploy more environmentally-friendly, cost-effective methods to decommission and dismantle old reactors, are not being developed as rapidly as they are likely to be needed. A Fukushima, entre rêve de normalité et complexité nucléaire. Près de six ans après la catastrophe, l’activité peine à repartir et les habitants doivent faire avec un lourd suivi médical.
La situation de la centrale, elle, inquiète encore. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Philippe Mesmer (Tokyo, correspondance) « L’ombre et la lumière. » C’est par ces mots que Masao Uchibori, le gouverneur de la préfecture de Fukushima, résume la situation de son département près de six ans après la catastrophe nucléaire qui l’a touché. Flamanville: faut-il s'inquiéter de cet "incident technique significatif"? Une explosion a retenti, ce jeudi matin, dans une zone non nucléaire de la centrale de Flamanville (Manche), mais le feu a "immédiatement [été] maîtrisé" par le personnel, selon EDF.
Peu avant midi, le préfet de la Manche a annoncé que l'incident, qui n'a pas fait de blessé grave, était clos. Brexatom: the UK will now leave Europe's nuclear energy authority. The UK government’s European Union (Notification of Withdrawal) Bill is short, extremely short, at just 137 words, but will nevertheless have huge ramifications.
Explicit cookie consent. THE boom in nuclear energy began in the 1950s, when America, Russia, Britain and France rushed to develop reactor technologies for electricity generation.
Next-Generation Nuclear Power? Not Just Yet. New kinds of safer, simpler nuclear reactors are having a hard time becoming a reality—at least in certain countries.
Bloomberg reports that the nuclear industry is currently struggling to build out power production facilities that are supposed to make use of new generation III+ pressurized water uranium fission reactors. While generation III reactors have been in use since 1996, the newer "plus" versions are supposed to incorporate extra safety features and require less operator input. Problem is, they’re proving rather tricky to actually build. Projects in France, Finland, and the U.S. are running behind schedule and over budget. And newly committed projects, such as the U.K.’s Hinkley Point, are shaping up to be eye-wateringly expensive.
What gives? La facture du démantèlement des centrales nucléaires explose - Challenges.fr. Le démantèlement des centrales nucléaires françaises sera plus long, plus difficile et surtout plus coûteux qu'anticipé par EDF, estime mercredi un rapport parlementaire qui pointe l'excès d'optimisme en la matière de l'exploitant du parc atomique tricolore.
"D'autres pays se sont engagés dans le démantèlement de leurs centrales; les retours que nous en avons contredisent assez régulièrement l'optimisme dont fait preuve EDF, tant sur les aspects financiers que sur les aspects techniques", souligne le rapport. "Les exploitants européens provisionnent généralement entre 900 millions et 1,3 milliard d'euros par réacteur à démanteler quand EDF ne provisionne que 350 millions environ par tranche", ajoute le document de la mission d'information de la Commission du développement durable et de l'aménagement du territoire de l'Assemblée nationale.
Une étrange méthode de calcul Problème de stratégie globale. Mitsubishi va investir 250 millions d’euros dans Areva. Le groupe nucléaire français est en grande difficulté financière.
Le conglomérat industriel japonais Mitsubishi Heavy Industries (MHI) a annoncé vendredi 3 février un accord pour investir 250 millions d’euros dans le groupe nucléaire français Areva, qui se trouve en grande difficulté. « MHI va acquérir une part de 5 % pour un montant d’environ 250 millions d’euros » dans NewCo, le nouvel Areva qui sera recentré sur le cycle du combustible après la cession de l’activité réacteurs (Areva NP) à EDF, prévue au second semestre 2017, a déclaré le groupe dans un communiqué.
Incident à la centrale de Flamanville, pas de risque nucléaire. MPO - La radioactivité très diluée de la centrale nucléaire de Fukushima devient un traceur océanique. Il existe diverses méthodes pour étudier la circulation océanique; la majorité d'entre elles sont planifiées, toutefois, il peut arriver de certaines ne le soient pas comme c'est le cas pour un traceur qui a accidentellement fini dans l'océan Pacifique le 11 mars 2011.
Ce jour-là un tremblement de terre sous-marin au large de la côte nord-est du Japon a déclenché un tsunami, causant des dommages considérables à une centrale nucléaire à Fukushima au Japon. Cette catastrophe naturelle a entrainé un rejet de césium 137 (137Cs) et de césium 134 (134Cs) radioactifs, qui sont des produits courants de la fission nucléaire, directement dans le nord-ouest de l'océan Pacifique. Le panache de césium radioactif s'est finalement propagé vers le nord-est, notamment dans le courant du Kuroshio. La modélisation informatique du transport océanique prédisait que la radioactivité prendrait plusieurs années pour se rapprocher de la ligne de côte canadienne. Programme de surveillance des océans canadiens M. L’Assemblée nationale favorise les indemnisations de victimes d’essais nucléaires en Polynésie.
La notion de « risque négligeable » jusqu’alors en vigueur a été supprimée, lors d’un vote qualifié d’« historique » par plusieurs orateurs.
L’Assemblée nationale a favorisé jeudi 9 février l’indemnisation des victimes d’essais nucléaires en Polynésie, en supprimant à l’unanimité la notion de « risque négligeable » jusqu’alors en vigueur, lors d’un vote qualifié d’« historique » par plusieurs orateurs. Initialement favorable à un simple abaissement du seuil de risque pris en compte, le gouvernement s’est finalement rangé à cette mesure souhaitée par députés et sénateurs de tous bords, après des discussions lors d’une interruption de séance de plus d’une heure. Il a fait préciser qu’une commission serait chargée, un an après la promulgation de la loi, de veiller à ce que l’indemnisation soit réservée aux personnes dont la maladie est causée par les essais.