Counting for Nothing: What Men Value and what Women are Worth - Marilyn Waring. Safe drinking water counts for nothing.
A pollution-free environment counts for nothing. Even some people - namely women - count for nothing. This is the case, at least, according to the United Nations System of National Accounts. Author Marilyn Waring, former New Zealand M.P., now professor, development consultant, writer, and goat farmer, isolates the gender bias that exists in the current system of calculating national wealth. As Waring observes, in this accounting system women are considered 'non-producers' and as such they cannot expect to gain from the distribution of benefits that flow from production. Counting for Nothing, originally published in 1988, is a classic feminist analysis of women's place in the world economy brought up to date in this reprinted edition, including a sizeable new introduction by the author.
Reproduction et lutte féministe dans la nouvelle division internationale du travail – Période. Introduction « Partant du constat que le patriarcat et l’accumulation à l’échelle mondiale constituent le cadre idéologique à l’intérieur duquel la réalité actuelle des femmes est inscrite, le mouvement féministe dans le monde ne peut faire autrement que défier ce cadre, en même temps que la division sexuelle et internationale du travail qui lui est liée. » – Mies, 1986.
Patriarcat et accumulation à l’échelle mondiale « …le développement capitaliste a toujours été non durable à cause de son impact humain. Pour comprendre ce point, il nous suffit d’adopter le point de vue de ceux qui ont été et continuent d’être tués par lui. . – M. Rencontres avec Silvia Federici autour de "Caliban et la sorcière" Samedi 7 juin 18h30 à la librairie Violette and Co Dimanche 8 juin 16h à la librairie Envie de lire Mardi 10 juin 19h45 au CICP avec la librairie Quilombo Paraît (enfin) en juin un traduction du livre de Silvia Federici "Caliban et la sorcière" (dans une co-édition Senonevero et Entremonde) et son auteure est à Paris pour trois présentations publiques dans des librairies de Paris.
Les trois sont en présence de l’auteure, et celle du samedi 7 est une discussion partagée avec Morgane Merteuil, porte-parole et secrétaire générale du Syndicat des travailleurs et travailleuses du sexe (auteure notamment d’un texte autour de l’illégalité du travail sexuel sur Paris-Luttes.info). L’introduction du livre a été publié dans son intégralité [sur le site de la revue périodes, Il faut à tout ce monde un grand coup de fouet. Mouvements sociaux et crise politique dans l’Europe médiévale : On peut y ajouter les propos de Federici dans sa préface au livre : Et si les sorcières renaissaient de leurs cendres ? - Idées.
Longtemps persécutée, moquée ou salie, la sorcière revient aujourd'hui sous un éclairage positif.
Féministes, écologistes, anticapitalistes : tous pourraient la revendiquer. « Tremate, tremate, le streghe son tornate » (« tremblez, tremblez, les sorcières sont de retour »)… Au cœur des années 70, les féministes italiennes s'étaient emparées de la sorcière pour en faire le symbole subversif de la révolte féminine. Leurs consœurs françaises avaient suivi, et une revue littéraire féministe arbora le titre de Sorcières (sous-titre Les femmes vivent…), sous la houlette de Xavière Gauthier, Marguerite Duras ou Nancy Huston.
Et puis, chassées par le rouleau compresseur des années 80, qui referma brutalement les pistes lancées par la contre-culture, les sorcières se sont éclipsées. Starhawk history witch hunt. À propos du livre de Silvia Federici : "Caliban et la Sorcière" S.
Federici, Caliban et la sorcière. Femmes, corps et accumulation primitive, Paris, Entremonde, 2014, traduction de l’anglais (États-Unis) par le collectif Senonevero, revue et complétée par Julien Guazzini. À l’occasion de la publication en français de son livre, Antoine Artous discute de façon critique des analyses de Silvia Federici sur « l’esclavage et l’anéantissement des femmes » qui seraient portés par l’accumulation primitive et la période de transition du féodalisme au capitalisme. Résumé « Il n’y a rien de naturel dans la famille, dans le travail et dans les rôles sexués », expliquait Silvia Federici au moment de la publication de la traduction de son livre, devenu un des classiques de la littérature anglo-saxonne sur l’asservissement des femmes lors de la transition du féodalisme au capitalisme, en soulignant également des similitudes avec les effets de la mondialisation néolibérale. Introduction On voit que le champ balayé par ce livre d'environ 400 pages est vaste.
Aux origines du capitalisme patriarcal : entretien avec Silvia Federici. Silvia Federici est une théoricienne et une militante féministe marxiste.
Elle a notamment écrit l’ouvrage majeur Caliban et la sorcière qui paraît enfin en français le 22 avril 2014 aux éditions Entremonde. Federici a compté parmi les membres fondatrices de International Feminist Collective, collectif né dans les années 1970 et qui est à l’origine de la campagne « Un salaire pour le travail ménager » (Wages for Housework) également portée par des figures comme Selma James ou Maria Dalla Costa.
En décembre dernier, Tessa Echeverria and Andrew Sernatinger, qui animent le socialist podcast Black Sheep, ont eu l’opportunité de l’interviewer. Tessa Echeverria : Pourriez-vous nous parler un peu de vous ? Comment en êtes-vous venue à vous engager dans la lutte féministe et comment êtes-vous devenue essayiste ? Les origines de mon implication dans le féminisme sont plus profondes encore. L’Italie était alors une société très patriarcale. SF : Tout à fait ! SF : En effet ! Source originale : Feder final1. Feminist Socialism and the Commons. Hilary Wainwright, of the Transnational Institute and co-editor of Red Pepper magazine, made a lasting impression on the Commons Transition/P2P Foundation team with her panel presentation at the recent Commons Collaborative Economies event in Barcelona.
During her presentation, Wainwright shared her insights on the hidden commons of care. “Women have been creating a Commons for a long time: the domestic labor and economy is, de facto, an invisible economy”. She argues that to integrate feminism we need to overcome the gender-based division of labor in the domestic economy, and to make that Commons visible. “It’s a bit strange that the Commons and P2P movements are male dominated.