Proche-Orient : Trump présente un « plan de paix » favorable à Israël. Le président américain a présenté, mardi 28 janvier, son plan pour résoudre le conflit israélo-palestinien, qui accorde à Israël nombre de concessions, parmi lesquelles la souveraineté sur la vallée du Jourdain.
Ce plan de 80 pages, « le plus détaillé » jamais mis au point selon lui, permettrait de « faire un grand pas vers la paix », a assuré M. Trump, qui s’exprimait depuis la Maison Blanche, en présence du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou. Ce dernier, qui a pris la parole après M. Trump, a salué une « journée historique ». Le Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, a en revanche immédiatement rejeté ce plan de paix, tout comme le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas.
Washington va reconnaître les colonies comme partie d’Israël. Conflit israélo-palestinien : le cavalier seul de Donald Trump. Annoncé peu après l’entrée en fonctions de Donald Trump en 2017, l’« Accord du siècle » (appelé « la Vision » dans sa version officielle) supposé mettre fin au conflit israélo-palestinien a été rendu public ce 28 janvier.
Les États-Unis avaient déjà adopté une série de décisions et mesures – reconnaissance de Jérusalem comme capitale indivisible de l’État d’Israël, fermeture des locaux de la délégation palestinienne à Washington, cessation du financement de l’UNRWA (agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens) et, dernièrement, reconnaissance de la légalité des colonies israéliennes installées en territoire palestinien – qui laissaient entendre que la conception des paramètres d’une solution de règlement épouserait très largement les positions israéliennes.
La lecture attentive du « Plan » dans tous ses aspects ne fait que conforter ce pressentiment. Une « solution » qui ne se préoccupe guère du droit international. Apple et Google ont-ils vraiment supprimé la Palestine de Maps? Apple et Google ont été accusés d’avoir supprimé la Palestine de leurs cartes en ligne, bien qu’elle n’ait jamais été étiquetée en premier lieu.
La recherche de Palestine sur Apple Maps et Google Maps montre un aperçu des territoires de la bande de Gaza et de la Cisjordanie, mais pas d’étiquettes pour la Palestine. Les allégations selon lesquelles il a été retiré semblent provenir d’un post viral sur Instagram par un utilisateur appelé « Astagfirvlah » mercredi, qui a accusé les géants de la technologie de « retirer officiellement » la Palestine de leurs cartes. Téléchargez la nouvelle application Independent Premium Partager toute l’histoire, pas seulement les gros titres Une mise à jour a depuis été ajoutée au message, indiquant qu’il contient de «fausses informations».
La Palestine est reconnue par les Nations Unies et 136 de ses membres comme un État indépendant, mais pas aux États-Unis où Apple et Google ont leur siège social. GOOGLE : Mettez la Palestine sur vos cartes ! « La Palestine n’apparaît pas sur Google maps.
Pourquoi? Israël, établi sur la terre palestinienne, est clairement désigné. Mais il n’y a aucune mention de la Palestine. Selon Google, la Palestine n’existe pas. La Palestine rayée de Google Maps ? Pas vraiment. « Selon Google Maps, la Palestine n’existe plus ! » De nombreux internautes ont relayé ces derniers jours une rumeur affirmant que la mention « Palestine » aurait récemment été rayée des cartes de Google Maps, laissant seulement celle d’Israël. Des utilisateurs de Twitter s’en sont émus, accusant la firme américaine de manipulation. Sauf que les informations qui ont circulé à ce sujet sont erronées. Explications. Tout est parti d’un message sur le site du Forum des journalistes palestiniens, un collectif de journalisme basé à Gaza, le 3 août. Israel : Évolution des frontières, du partage de l'ONU aux accords d'Oslo (1947-1993) Aller au contenu principal Israel : Évolution des frontières, du partage de l'ONU aux accords d'Oslo (1947-1993) Image: Titre affiché (optionnel): Les accords d’Oslo Description: Les accords signés par Yasser Arafat et Yitzhak Rabin en 1993 conduisent à une reconnaissance mutuelle entre Israël et l’OLP.
Israël-Palestine : multiples limites mais quelle frontière. On trouve d’abord la « Ligne verte », tracée lors de l’armistice de 1949 entre Israël et ses voisins.
Les accords stipulaient qu’elle ne préfigurait pas des frontières futures, celles-ci ne pouvant être déterminées que par un processus diplomatique. Mais en 1967, l’État hébreu envahissait des espaces situés au-delà de cette limite – Golan, Gaza, Cisjordanie, Sinaï. Le Conseil de sécurité de l’ONU réagissait par la résolution 242, enjoignant l’État d’Israël de se retirer des Territoires occupés et reconnaissant ainsi la Ligne verte comme une frontière de facto. Du côté égyptien, le traité de paix Sadate-Begin de 1979 permettait le retrait israélien du Sinaï et l’établissement de la frontière sur une partie de la Ligne verte. Du côté jordanien, le royaume hachémite renonçait officiellement à la Cisjordanie en 1988. Redécouper les frontières : une solution pour la paix au Moyen Orient ?
Israël-Palestine : Quelles frontières ? A Mulhouse, le vendredi 17 janvier 2020, dans le cadre du festival Les Vagamondes 2020 organisé à La Filature, une conférence de Michel Foucher, géographe, diplomate et essayiste, porte sur le sujet : « Israël-Palestine : Quelles frontières ?
» Un mot de rappel de mes travaux sur ce sujet. J’ai publié voici 35 ans mon premier article dans Hérodote et il portait le même titre que celui de cette conférence. C’est un sujet qui n’a jamais été un sujet de recherche ou académique mais sur lequel j’ai travaillé en tant que conseiller d’Hubert Védrine, lorsque nous tentions de faire avancer, finalement sans succès après l’assassinat d’Yitzhak Rabin, le processus de paix. Mobilités, frontières et conflits dans les espaces israélo-palestiniens MEDIAMED. La chaîne MOFIP vise à diffuser publiquement les travaux de deux équipes de recherches travaillant sur les évolutions et les enjeux du conflit israélo-palestinien depuis la signature des accords d’Oslo (1993) : ceux de l’équipe du projet jeunes chercheurs MOFIP : « Mobilités Frontières et Conflits dans les Espaces Israélo-Palestiniens » soutenu par la Région Provence Alpes Côte d’Azur et l’Agence Nationale de la recherche; et ceux du groupe de travail Ramses² « Le conflit Israélo-Palestinien à travers les mobilités transfrontalières ».
Le projet MOFIP réuni une vingtaine de chercheurs et doctorants, travaillant sur Israël et sur la Palestine. Il a démarré en septembre 2007 et s’étalera jusqu’en automne 2010. Ce projet analyse les mobilités et les échanges transfrontaliers entre Israël, les Territoires Palestiniens et les pays voisins depuis la signature des accords d’Oslo (1993). Le projet RAMSES² est plus récent. Quelles frontières pour l’État d’Israël ? Le conflit israélo-palestinien par les cartes, le témoignage de Khalil Tafakji.
Depuis son dévoilement, le plan américain pour le Moyen-Orient rencontre de fortes oppositions.
Le découpage territorial proposé validerait la souveraineté israélienne sur des territoires déjà occupés depuis la Guerre des Six Jours en 1967. Des territoires appropriés, régulièrement désapprouvés par les Nations Unies, que Jared Kushner, soutenu par Donald Trump, propose d’attribuer officiellement à l’Etat d’Israël et un plan qui satisfait le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Un casse-tête permanent Si la proposition américaine veut fixer un découpage territorial jusqu’ici instable, elle laisse les territoires palestiniens à l’état d’îlots, un casse-tête permanent qui condamne toute unité d’un espace physique palestinien.
La bande de Gaza : un territoire fermé sur lui-même par une fronti. Légende de l’image Cette image de la bande de Gaza, sur la côte orientale de la mer Méditerranée au Proche-Orient, a été prise le 28 setembre 2018 par un satellite Sentinel 2.
Il s’agit d’une image en couleurs naturelles de résolution native à 10m. Acceder à l'image globaleContient des informations © COPERNICUS SENTINEL 2018, tous droits réservés. Conflit israélo-palestinien : le cavalier seul de Donald Trump. Assemblée générale: adoption des résolutions sur la Palestine et le Moyen-Orient et annonce par Israël d’un texte sur les réfugiés juifs. L’Assemblée générale a adopté aujourd’hui ses cinq résolutions annuelles sur la question de Palestine et la situation au Moyen-Orient, en attendant le texte promis par Israël pour réparer « l’injustice historique » faite aux 850 000 réfugiés juifs dont personne ne parle. Pendant le débat, les délégations ont de nouveau demandé la relance du processus de paix, insistant sur la solution des deux États vivant côte à côte, dans la paix et la sécurité et dans des frontières internationalement reconnues; en clair, Israël et un État palestinien indépendant et viable, avec Jérusalem-Est pour capitale.
La plupart des membres de la communauté internationale, a constaté Israël, ont aujourd’hui pris fait et cause pour les Palestiniens contre les Israéliens. Les États-Unis se sont opposés à toutes les résolutions car les États Membres continuent, année après année, de cibler un seul pays, Israël, sans dire un mot sur les groupes armés de Gaza ou sur le Hamas. Déclarations Débat M. Nous, a affirmé M.