Les risques naturels et technologiques majeurs. Risques naturels et technologiques. Événements à caractère de catastrophe, probables mais non forcément prévisibles, dus soit au déchaînement des forces de la nature (risques naturels), soit à la proximité d'activités humaines dangereuses (risques technologiques).
La nature et l'homme Les risques naturels varient selon les continents, selon le sol et le sous-sol, le relief et le climat. Il n'y a pas de séisme sans zone de faille ou de cyclone loin des mers tropicales. Ce sont des risques généralement indépendants de l'intervention humaine. Les Risques Majeurs. -> Les risques majeurs-> La thématique santé-environnement-> Le changement climatique Les risques majeurs se définissent comme la « possibilité d'un événement d'origine naturelle ou anthropique, dont les effets peuvent mettre en jeu un grand nombre de personnes, occasionner des dommages importants et dépasser les capacités de réaction de la société. […] Un risque majeur est caractérisé par sa faible fréquence et par son énorme gravité » (BARPI) Source : BARPI Les risques majeurs peuvent être « naturels » ou « technologiques » selon leur origine :
Définition générale du risque majeur. Définition Les différents types de risques auxquels chacun de nous peut être exposé sont regroupés en 5 grandes familles :- les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique- les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriel, nucléaire, biologique, rupture de barrage...- les risques de transports collectifs (personnes, matières dangereuses) sont des risques technologiques.
On en fait cependant un cas particulier car les enjeux (voir plus bas) varient en fonction de l'endroit où se développe l'accident- les risques de la vie quotidienne (accidents domestiques, accidents de la route...) ;- les risques liés aux conflits.Seules les trois premières catégories font partie de ce qu'on appelle le risque majeur. Exemple : Un aléa sismique en plein désert n'est pas un risque.
Un séisme à SAN FRANCISCO : voilà le risque majeur. " Qu'est-ce qu'un risque majeur ? La prévention.
Bangladesh. Japon. Risques technologiques et industriels. Les risques dans la région Rhône-Alpes. Parcours thématique Anne-Marie Granet Abisset Introduction Fortement urbanisée et industrialisée, la région Rhône Alpes concentre un grand nombre de risques, industriels comme naturels.
Il n'est que d'évoquer Feyzin, Val d'Isère ou encore le tunnel du Mont-Blanc : ces noms rappellent des événements catastrophiques, avec leur lot de morts et de destructions matérielles. Pour les populations qui ont été confrontées à ces événements ou à d'autres de même nature, ils restent une angoisse latente. Une région qui combine l'ensemble des aléas naturels. Comment les espèces invasives débarquent en masse dans les ports de la planète.
Les porte-conteneurs géants qui parcourent le monde de port en port ne transportent pas seulement des fruits et légumes, vêtements ou voitures.
Ils acheminent également des espèces invasives, l’une des principales menaces pour la biodiversité maritime. Pour la première fois, des scientifiques ont établi un modèle mondial permettant d’analyser les routes empruntées par ces organismes et de déterminer les points les plus vulnérables. Si certains de ces spécimens – des cellules d’algues microscopiques, des œufs de poissons ou encore des crustacés – se déplacent accrochés aux coques des bateaux, la plupart flottent dans les milliers de tonnes d’eau des ballasts, ces réservoirs qui équipent les grands navires pour assurer leur stabilité.
Quand les bateaux déversent leurs eaux de ballast dans le port – ce que l’on appelle le déballastage –, les espèces peuvent s’implanter dans des eaux étrangères, souvent avec des conséquences néfastes sur la faune indigène. Vingt points chauds. L’Europe convoite les terres rares et les diamants du Groenland. Jusqu’où les Etats vont-ils pousser leur quête effrénée de ressources naturelles ?
Dernière étape en date, relatée par le Guardian : l’Europe cherche à ouvrir une nouvelle frontière, en explorant les glaces encore vierges du Groenland, à la recherche de minerais – or, fer, uranium, zinc, terres rares et autres diamants. Dans un monde où le prix de l’énergie flambe, poussant les pays à rechercher toujours plus loin et plus profond de nouvelles sources d’approvisionnement en hydrocarbures et minerais, les immenses ressources du sous-sol du Groenland, largement inexploitées, attirent les convoitises. Et ce, d’autant plus fortement que l’accélération de la fonte de la calotte glaciaire de la plus grande île du monde – 97 % de la surface de l’Inlandsis avait dégelé à la mi-juillet, selon les dernières données satellites – ouvre la possibilité d’accéder à ces richesses dans les décennies à venir. Mais l’Europe n’est pas la seule en lice. Audrey Garric.
Effet de serre. Cartes interactives.