Pourquoi sortir de l'effet bulle et des biais de confirmation. BonPote Facebook Twitter Instagram Linkedin Menu Facebook-f Pourquoi sortir de l’effet bulle et des biais de confirmation Personne n’y échappe : l’effet bulle est partout.
Toujours dans cette quête utopique d’être moins bête que la veille, j’ai creusé la question. Biais de confirmation, prémices de l’effet bulle Il existe plus d’une centaine de biais cognitifs. L’utilité d’une croyance prime sur la véracité ou la fausseté de son objet. Entre paresse, peur et malhonnêteté Au strict plan de la dépense énergétique, privilégier l’information qui confirme notre façon de penser est beaucoup moins exigeant que de la mettre en doute. Illustrons cela avec un exemple, où la façon de chercher est absolument subjective, toujours dans l’optique de prouver que notre croyance initiale est juste (plutôt qu’à savoir si elle exacte) : Ce principe s’applique pour tous les sujets.
Dernier point sur le biais de confirmation. L’effet bulle, 2ème danger GAFAM, Réseaux Sociaux… Effet bulle 2.0 Le mot de la fin. Climat : les 12 excuses de l'inaction, et comment y répondre. BonPote Facebook Twitter Instagram Linkedin Menu Facebook-f Climat : les 12 excuses de l’inaction, et comment y répondre Nous ne pouvons que nous réjouir d’avoir (presque) convaincu les climatosceptiques.
C’est ainsi qu’un papier de l’université de Cambridge a mis en exergue les 12 discours retardant l’action climatique, perçus comme les 12 excuses habituelles qui justifient l’inaction climatique. Quelques points avant de passer en revue ces 12 excuses : il est nécessaire de s’attacher aux faits et de laisser (le plus possible) de côté les émotions.
PS : exceptionnellement, je mettrai à jour cet article, avec les meilleurs arguments (sourcés) que je lirai en réponses. La faute à notre cerveau, vraiment ? Les erreurs du Bug humain de S. Bohler. BonPote Facebook Twitter Instagram Linkedin Menu Facebook-f La faute à notre cerveau, vraiment ?
“Ce n’est pas de notre faute si nous détruisons l’environnement, c’est notre cerveau ! Voilà le type de phrases que l’on peut entendre dans de nombreuses conférences ou dans les grands médias français. Texte de Thibault Gardette « Pourquoi, alors que nous sommes dotés d’outils extrêmement précis qui nous informent clairement de la tournure que vont prendre les événements dans quelques décennies, restons-nous impassibles ? Taraudé par cette question, Sébastien Bohler a décidé de l’étudier via le prisme du cerveau. Ainsi, ce serait notre cerveau même qui nous empêche d’agir et nous pousse à détruire l’environnement.
Les éléments développés dans le livre sont certes intéressants. Qui est Sébastien Bohler ? Si l’on ne juge pas un livre à sa couverture, il est toutefois important de savoir qui l’a écrit pour avoir une première idée de sa pertinence et de ses biais. S. Ensuite, S. Si pour S. Psychologie et climat (1/2) : déni, colère... Les 5 étapes du deuil. BonPote Facebook Twitter Instagram Linkedin Menu Facebook-f Psychologie et climat (1/2) : déni, colère… Les 5 étapes du deuil Voilà au moins 50 ans que des scientifiques alertent sur les conséquences graves de notre consommation à outrance.
Comme toujours, la réponse n’est pas aussi simple que cela. Avant d’aborder les notions de Solastalgie et d’éco-anxiété dans une seconde partie, il est important de comprendre les étapes qui précèdent ces états psychologiques et pourquoi notre refus de changement est si fort. Le déni, partout, tout le temps ‘Si nous voulons contenir le réchauffement climatique à un niveau bas, nous devons questionner nos choix de consommation et de styles de vie‘. MOOC Energie/Climat S03E02 : De l’information à l’action, qu’est-ce qui coince ?
Climat : les 12 excuses de l'inaction, et comment y répondre. How ‘discourses of delay’ are used to slow climate action. You have probably already heard a discourse of climate delay.
Perhaps it came from a friend, a colleague, someone famous or someone powerful. This person did not deny that climate change is a problem, or even that it’s a serious problem. Nonetheless, they gave you the impression that solving climate change is not our job, that it will not require substantial changes, that it is too expensive, or that it is pointless to try. In our new research, published in the journal Global Sustainability, we set out to gather these types of arguments, which we call “discourses of climate delay”.
Just as scientists and volunteers have compiled lists of climate-sceptic talking points, we wanted to categorise delay discourses – statements that exploit discussions on how we should reduce emissions, with the purpose, or effect, of limiting action on climate change. We outline the common features of climate delay discourses and a guide to identifying them. Four strategies Look squirrel Too late anyway.