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Management

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Décider comment décider. Chroniques d’experts Management Le 17/09/2019 © Getty Images Temps de lecture : 7 minutes Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise manière de prendre une décision, seulement une façon de trancher adaptée ou non à une situation donnée à un instant T. « Je suis fier de prendre le moins de décisions possibles au cours d’un trimestre.

Décider comment décider

Sans décision, rien n’est possible En la matière, l’idée reçue la plus répandue est en effet la suivante : le rôle du manager est de prendre la meilleure décision et celui des collaborateurs est de faire en sorte de l’appliquer. On peut ne pas aimer prendre des décisions, on peut ne pas apprécier la manière dont celles-ci sont élaborées, mais prendre des décisions demeure fondamental et incontournable dans une entreprise comme dans toute organisation. Décider comment décider. André Antibi : Le bac et la constante macabre. Il est fréquent d’entendre dire : « le bac, ça ne veut plus rien dire », ou « le bac, tout le monde l’a », ou encore « on fait cadeau le bac ».

André Antibi : Le bac et la constante macabre

Une première réponse à ce type de réflexions, basée sur des faits indiscutables : ce n’est pas vrai, il y a de nombreux élèves qui ne sont pas reçus à cet examen, de l’ordre de 10 à 20% selon les séries ; il y a donc une certaine forme de mépris pour ces malheureux élèves lorsque l’on déclare qu’ils ne sont même pas capables d’obtenir un tel diplôme. La constante macabre pour mieux comprendre la situation Rappelons d’abord en quoi consiste le phénomène (inconscient) de constante macabre, dont l’existence est reconnue par la plupart des partenaires du système éducatif français. Une évaluation n’est crédible que lorsqu’il y a un certain pourcentage d’élèves en situation d’échec, une constante macabre en quelque sorte. Ainsi par exemple, beaucoup d’enseignants pensent qu’une moyenne de classe de 10 sur 20 correspond à une situation normale.

Mettez en oeuvre les 8 étapes du changement de Kotter. John P.Kotter a synthétisé ses recherches dans l'ouvrage "leading Change".

Mettez en oeuvre les 8 étapes du changement de Kotter

En ressort une méthode très utile pour vous aider à transformer votre entreprise ou bien mener ponctuellement des changements ciblés. L'idée repose sur une approche globale de l’organisation et de la problématique (dite approche holistique pour les experts) plutôt que de travailler de manière isolée, fragmentée. 1- Créer l'urgence. Cette première étape agit comme un déclencheur . Vous devez trouver les arguments pour créer un sentiment d'urgence, voire dramatiser la situation.

Usez de leviers pertinents et impactants adaptés à la situation : communiquez les résultats d'une études marketing , exploitez les conclusions et l'impact d'une analyse SWOT , montrez les menaces issues de la concurrence , reposez-vous sur les réclamations clients ... 2 - Former une 'coalition' puissante Le pouvoir hiérarchique montre rapidement ses limites pour transformer une organisation . Comment des marques iconiques trouvent un second souffle. « Kindy, les chaussettes ne se cachent plus. » Si ce slogan vous parle, cela trahit peut-être un indice sur votre âge : de 1976 à 1992, cette signature a été au cœur d’une des plus grandes sagas publicitaires françaises.

Mais en dehors d’archives, les moins de 30 ans ne l’ont jamais vue sur une affiche, alors que pour les plus âgés, Kindy fait partie du patrimoine. Ce socle permet à la marque de rester numéro 1 des ventes en France, mais sans assez de dynamisme pour éviter le dépôt de bilan en 2017. Pour ses deux repreneurs, aucun doute : l’un des principaux défis est de rajeunir d’au moins 10 ans la clientèle. Nous avons interviewé l’un des deux dirigeants, Thierry Carpentier, qui nous raconte son projet pour relancer Kindy. Rajeunir sa clientèle, séduire les millennials (15-35 ans)… Ce n’est pas une question de jeunisme. L’implication de la direction générale pour rester à l’écoute des tendances Repenser les produits pour répondre aux nouveaux modes de vie.

Management : pas assez de bienveillance en France ? Si, dans les discours, le monde du management s'est converti à la bienveillance et à la co-construction avec ses équipes, il semble que la réalité soit bien différente.

Management : pas assez de bienveillance en France ?

Plusieurs intervenants du second Hackathon du Management tentent d'expliquer ce qui ne va toujours pas dans le management français. 6% des salariés français seraient véritablement engagés dans leur travail. C'est peu. C'est surtout le second pire score d'Europe occidentale selon l'institut de sondage Gallup, qui a réalisé cette étude dans le monde entier. Bien-être au travail : l'erreur médiatique. Le bien-être au travail est un sujet porteur, voire à la mode.

Bien-être au travail : l'erreur médiatique.

Les médias traitent de ce sujet régulièrement. Qu’ils soient radios, TV, journaux d’actualité, comme presse professionnelle et spécialisée. Mais dans la majorité des cas, les médias passent à côté de l’essentiel. Ne faites pas cette erreur. Effectivement, quand on parle ‘bien-être au travail’, les médias expliquent que « les entreprises se mobilisent pour que leurs salariés vivent mieux au travail. » Non !